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LANTIFADAS - Page 64

  • Massacre à Villeurbanne. Terroriste ? Non… « Déséquilibré… »

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    Un « déséquilibré » poignarde, éventre, mutile, saigne des gens qui attendaient à une station de métro de Villeurbanne. Un jeune homme de 19 ans est mort, huit autres passants ont été blessés dont trois grièvement. Simple fait divers commis pas un « déséquilibré » proclament les autorités, relayées comme toujours dans le déni de réalité par les médias. Il aurait dit, en maniant le couteau dans de la viande forcément mécréante : « Ils ne lisent pas le coran ! » Il a été maîtrisé et remis aux flics par des employés de la société de transport et des passants, certains d’origine maghrébine, des résistants. Il faut aussi savoir que l’égorgeur est un « demandeur d’asile » afghan. Et donc une personne à laquelle notre pays a ouvert ses frontières et ses aides. « Faï de ben a Bertrand, té lou ren en cagan ! » dit-on chez nous (« Fait du bien à Bertrand, il te le rend en te chiant dessus »).

    Ingratitude ? Non, Taqîya, une doctrine qui autorise tout musulman à faire usage de tromperie afin de se défendre ou afin de répandre l’islam.

    Mais les « zautorités » refusent de considérer cet acte barbare comme un attentat terroriste. Déni de réalité, impuissance devant la menace islamique, lâcheté.

    Si ce tueur est un déséquilibré c’est pour une raison simple : il est la première victime - avant même ceux qu’il a agressé et tué parce « qu’ils ne lisaient pas le coran » – de l’islam, cette idéologie moyenâgeuse, mortifère, fanatique, intolérante, profondément inégalitaire et injuste, véritable cancer de l’esprit.

    Le demandeur d’asile tueur, cette « chance pour la France » vivant à nos crochets, na pourtant fait que se conformer à la lettre de son coran saignant, Il n’a fait qu’appliquer ce qui est prescrit explicitement dans le Coran :

    « Sourate 3, verset 59
    En quelques lieux, qu’ils soient, ils [les infidèles] seront couverts de malédiction. On les tuera partout où on les trouvera.

    Sourate 4, verset 56
    Ceux qui ne croient pas à Nos Versets, (le Coran) Nous les brûlerons bientôt dans le Feu. Chaque fois que leurs peaux auront été consumées, Nous leur donnerons d’autres peaux en échange afin qu’ils goûtent au châtiment. Allah est Puissant et Sage ! »

    Il y en a des centaines comme ça d’appels au meurtre. Pour réfléchir à cet état de fait : je vous conseille de lire, relire et méditer le livre de Michel Onfray – « Traité d’athéologie » – chez Grasset, dont voici quelques feuilles :

    « […] Près de deux cent cinquante versets - sur les six mille deux cent trente-cinq du Livre - justifient et légitiment la guerre sainte, le djihad. Assez pour que se trouvent noyées les deux ou trois phrases bien inoffensives qui invitent à la tolérance, au respect de l’autre, à la magnanimité ou au refus de la contrainte en matière de religion (!). Dans un pareil océan de sang, qui peut encore prendre la peine de s’arrêter sur deux ou trois phrases qui invitent plutôt à l’humanité qu’à la barbarie ? D’autant que la biographie du Prophète témoigne : on y trouve constamment le meurtre, le crime, l’épée et l’expédition punitive. Trop de pages invitent à l’antisémitisme, à la haine des juifs, à leur spoliation et leur extermination pour qu’un combattant musulman ne se croie pas légitimé à passer les juifs par le fil de l’épée.

    /… 

    Au sein même de la communauté musulmane de prétendus semblables, la hiérarchie persiste : les hommes dominent les femmes, les religieux dominent les croyants, les fidèles pieux dominent les pratiquants tièdes, les vieux dominent les jeunes. Phallocratie, théocratie, gérontocratie, le modèle tribal et primitif des origines ne cesse pas depuis treize siècles. Il est fondamentalement incompatible avec les sociétés issues des Lumières. Le musulman n’est pas fraternel : frère du coreligionnaire, oui, mais pas des autres, tenus pour rien, quantités négligeables ou détestables.

    /…

    Un livre datant des premières années de 630, hypothétiquement dicté à un gardeur de chameaux illettré, décide dans le détail du quotidien de milliards d’hommes à l’heure de la vitesse supersonique, de la conquête spatiale, de l’informatisation généralisée de la planète, du temps réel et universel des communications généralisées, du séquençage du génome humain, de l’énergie nucléaire, des premières heures du post-humain… La remarque vaut pour les loubavitchs accrochés à la Torah et au Talmud qui partagent eux aussi une semblable ignorance du temps qui passe.

    Expliquer que l’égalité des sexes, les droits de l’homme ET DE LA FEMME ont vocation à être généraux, transnationaux et supérieurs aux édits religieux, quels qu’ils soient, c’est peine perdue.

    Expliquer que la liberté d’apostasie, de blasphème, la caricature, l’humour noir jaune ou rose sont impératifs en démocratie c’est se retrouver face à un mur d’incompréhension.

    Expliquer aux nouveaux arrivants que nos lois, nos usages et nos habitudes s’appliquent de façon absolue sur notre territoire et que c’est à prendre ou à laisser (repartir si pas d’accord) aurait dû être obligatoire et aurait dû s’accompagner de la signature d’un engagement en ce sens pour chaque nouvel arrivant. Cela aurait dû être mis en place depuis des décennies et nous n’en serions pas là aujourd’hui. Nous pourrions dire « Vous avez signé, vous saviez qu’il n’y aurait aucune discussion possible sur ces points, si vous n’êtes plus d’accord, au revoir et merci ».

    Faute d’avoir fait cela, nous nous retrouvons avec quelques millions de personnes qui n’auront de cesse de torpiller morceau par morceau l’ensemble de nos valeurs pour introduire les leurs. D’accommodement en accommodement notre société se renie et se saborde.

    Mais si vous proclamez ces évidences, vous tombez immédiatement sous le coup de « l’excommunication » moderne : on vous traite d’islamophobe, terme bidon mais que ses adeptes s’ingénient à assimiler à « raciste ».

    Expliquer à un bobo/gaucho/humaniste que l’islamophobie n’a rien, mais alors rien à voir avec du racisme c’est peine perdue. L’islamophobie est un racisme imaginaire. Elle n’est que la conclusion intellectuelle qui s’impose tout naturellement si l’on veut défendre les valeurs intangibles, celles que nous devons préserver à tout prix… Au moins ici.

    « Islamophobe » ! Ce mot, loin de désigner un quelconque racisme – une religion est-elle une « race » ? - a été inventé de toutes pièces par les islamogauchistes pour disqualifier ceux qui résistent aux intégristes de tous poils. Pourquoi ne devrai-je pas avoir peur de l’idéologie chrétienne, de l’idéologie musulmane, comme de l’idéologie trumpienne, marxiste ou ultralibérale ?

    Pourtant, dès que vous prétendez critiquer cette dangereuse névrose collective qu’est l’islam (sans majuscule) on vous jette cet anathème définitif, censé vous rouler dans la fosse de la honte et de l’opprobre : « vous êtes islamophobe ! » Voilà l’arme nucléaire des islamogauchismes qui - hélas – sévissent dans bien des milieux « autorisés » et particulièrement dans les médias, du Monde à Libération (journaux de milliardaires) sans oublier – hélas – Médiapart.

    Les islamogauchistes, que j’appelle d’un nom plus précis - les « nazislamistes » - sont ces archéo-nostalgiques du Grand Soir. Comme ils ont léché le cul de Staline en d’autres temps, ils lèchent les babouches des tueurs d’allah (sans majuscule bien sûr). Ils voudraient nous rouler dans la culpabilisation : « Ces malheureux (ils parlent des tueurs, pas des victimes) sont victimes du colonialisme, ils ont subi l’esclavage, nous pillons leurs pays », et gnagnagna…

    En fait, ces planqués sont des lâches et de vulgaires collabos : ils pensent qu’en léchant les babouches de cette minorité de fanatiques voulant imposer partout la terreur théocratique, leurs « maîtres » leur seront reconnaissants et les remercieront chaleureusement… Comme les « idiots utiles » de Staline.

    Y a-t-il au monde peuples plus colonialistes que les arabo-musulmans ? Ils ont colonisé une partie du monde, de l’Indonésie à l’Atlantique, du Caucase à l’Atlas ! La colonisation la plus brutale qui soit : massacre systématique des hommes, table rase de toute trace de civilisation précédant leur arrivée, création de sous-hommes, les « dhimmis », établissement de l’esclavage à grande échelle, mépris des femmes, etc.

    Y a-t-il au monde peuples plus esclavagistes que les arabo-musulmans ? Les razzias des arabo-musulmans ont saigné l’Afrique bien avant et bien plus que la sordide traite atlantique. Et elle dure toujours, en Mauritanie, en Arabie saoudite entre autres ! Dans les sociétés musulmanes, l’esclave était (est ?) considéré comme une chose, un meuble, un outil. Il peut donc être vendu, donné, légué, loué. Il n’est, à ce titre qu’une « simple marchandise ». Il se range, en règle générale, dans la même catégorie que les animaux.

    Bon, n’en jetons plus, la coupe est pleine. Et pendant ce temps faut-il s’étonner que « La Bête » se réveille ?


    Illustration: Merci à Danzigzer

  • Au bistro de la Toile : « Allo, à l'eau... »

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    - … teng ! Je peux plus arroser mon jardin Loulle. Interdiction préfectorale. D’ici qu’ils t’empêchent de mettre un peu de flotte dans ton pastaga, y a pas loin !

    - Pourtant Victor, moi l’eau je n’en abuse pas, je la respecte. D’ailleurs je n’en bois jamais et pour ma toilette je pratique le nettoyage à sec : je me gratte !

    - Je retrouve bien là ton grand sens civique Loulle. Pourtant la France et l’Europe souffrent d’une succession de vagues de chaleur intense. Il y a un rationnement de l’eau dans certains départements, dont le nôtre, et des risques d’incendie dans de nombreux endroits. Les grandes villes comme Paris souffrent de températures records jamais enregistrées auparavant et la consommation d’eau ne fait qu’augmenter. D’autre part, les glaciers fondent à une vitesse croissante et l’eau devient de plus en plus rare. Les ressources en eaux souterraines, dont beaucoup d’eaux fossiles, constituent une réserve importante pour l’avenir et devraient rester intactes. Mais la cupidité des sociétés de mise en bouteilles fait qu'elles acquierentt de plus en plus de sources d’eau. Regarde dans les grandes surfaces la file des imbéciles qui achètent à prix d’or de la flotte embouteillée dans du plastique alors que celle du robinet est plus saine et quasi gratuite. La situation est la même partout sur la planète : les eaux non polluées restantes sont de plus en plus entre les mains de quelques entreprises.

    - C’est vrai. J’ai lu quelque part que dans la ville de Vittel la situation est absurde : des études effectuées par des agences du gouvernement français indiquent que l’aquifère duquel la population de Vittel puise son eau et où Nestlé collecte également des bouteilles d’eau sous le nom de « VITTEL » risque de s’épuiser. L’aquifère n’est pas en mesure de répondre aux demandes à long terme de la population locale et de la société d’embouteillage de Nestlé. Et qu’est-ce qu’ils ont trouvé, les têtes d’œuf du gouvernement ? La solution proposée par les autorités françaises : construire un pipeline d’environ 50 km de long pour chercher de l’eau dans une région voisine de Vittel afin de répondre aux besoins de la population, ceci pour laisser Nestlé libre d’exploiter à son seul profit et au détriment des populations locales les eaux de l’aquifère de Vittel !

    - Si de tels problèmes se produisent en France, on imagine ce qui doit se peut arriver dans des pays beaucoup plus fragiles dans leur organisation sociale et politique ! On touche là du doigt la privatisation de cette ressource essentielle qu’est l’eau. Le secteur des entreprises transnationales s’organise et s’articule très consciemment à divers niveaux de gouvernement pour faire en sorte que ses demandes et ses propositions politiques soient satisfaites.

    - Eh ! Les lobbies de la flotte font la loi, inspirent les lois. Nationales mais aussi internationales.

    - Tu crois pas si bien dire Loulle. En février dernier, le Gouvernement suisse a annoncé la création d’une fondation à Genève, dénommée « Geneva Science and Diplomacy Anticipator » (GSDA). L’objectif de cette nouvelle fondation est de réglementer les nouvelles technologies, des drones aux voitures automatiques, en passant par le génie génétique. Cette Fondation doit « anticiper » les conséquences de ces avancées pour la société et la politique. La Fondation sera également un pont entre les communautés scientifique et diplomatique, d’où son positionnement stratégique à Genève, qui abrite plusieurs organisations internationales, des Nations Unies à l’Organisation mondiale du commerce. En fait cette « fondation » est un puissant lobby inspiré et dominé par Nestlé, l’une des principales multinationales de l’alimentaire et en particulier de l’eau. Société suisse. Le président de cette nouvelle fondation n’est autre que l’ancien PDG de Nestlé, le ci-devant Peter Brabeck-Letmathe. Le vice-président est Patrick Aebischer, ancien président de l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL). Or il se trouve que le ci-devant Patrick Aebischer est également membre du comité directeur des sciences de la santé Nestlé depuis 2015, créé en 2011 par Nestlé et situé sur le campus de l’EPFL. Le choix de Peter Brabeck est un exemple du "partenariat" toujours plus étroit entre les gouvernements et les grandes entreprises transnationales, qui a conduit à la création d’une oligarchie des entreprises internationales qui prend progressivement le pouvoir au sein des démocraties occidentales. Le choix de Brabeck de présider cette Fondation indique que le but réel de cette initiative est précisément d’empêcher toute forme de réglementation gouvernementale susceptible de limiter les bénéfices tirés des avancées technologiques du secteur privé. L’objectif principal de ce genre de « fondation » - comme celles de Bill Gates et autres milliardaires soi-disant altruistes - est de défendre et de soutenir le secteur privé. Ce que l’on peut attendre de cette fondation, ce sont des propositions « d’autorégulation du secteur privé » dans les cas de conflits trop explicites. Ben voyons, on va les croire…

    - Eh oui Victor. Ces « fondations » représentent une menace énorme pour la démocratie. Allez, buvons un coup pour oublier. Mais pas de l’eau, fait l’économiser : du rosé de Tavel bien frais.


    Illustration: merci au regretté Chimulus

  • « Groenland ? How much ? I buy… »

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    Ce n’est pas une trumpade ordinaire, c’est une proposition réfléchie, récurrente chez les dirigeants de l’Empire. Dès 1867, les États-Unis voulaient racheter l’immense territoire, grand comme quatre fois la France. En 1947, une nouvelle offre sera faite sans succès, mais les États-Unis obtiendront d’y établir des bases militaires.

    En 1941, en pleine guerre mondiale, le Danemark autorisa son allié américain à implanter des bases aériennes au Groenland, à Thulé notamment. Accord renforcé dans le cadre de l’Otan en 1951. Le Danemark ne prit pas la peine de consulter la population locale pour donner son feu vert à l’agrandissement de la base aérienne américaine, et ordonna en mai 1953 le déplacement des autochtones de Thulé, une petite communauté inuite vivant de la chasse et de la pêche traditionnelles. Les 187 représentants du peuple le plus septentrional au monde furent contraints de quitter leurs terres et leurs glaces millénaires en quelques jours pour s’exiler à Qaanaaq, à 150 kilomètres au nord. Allez, dégagez les sauvages ! Place aux grands et beaux Yankees ! Ils ne recevront un dédommagement ridicule qu’en 1999.

    Cette base est un des maillons du bouclier antimissile étasunien mais aussi un maillon important de la chaîne de radars du NORAD (prévue pour détecter les éventuels tirs de missile balistiques venant d’Eurasie) depuis le début de la guerre froide, et une station de surveillance de satellites de l’Air Force Space Command. La base militaire, transformée en secret en base pour bombardiers stratégiques, devint une véritable enclave de l’armée yankee, accueillant des milliers de militaires. En 1959, la base de Thulé fut la principale base de soutien pour la construction du Camp Century à quelque 150 miles de la base. Creusé dans la glace, Camp Century était une base militaire souterraine visant à héberger des missiles nucléaires le plus près possible de l’URSS. Alimenté par un réacteur nucléaire transportable, il fut en fonction entre 1959 et 1967.

    Les joyeusetés étasuniennes de ce genre ont été légion au Groenland. Ainsi Le 21 janvier 1968, un B-52 transportant quatre bombes nucléaires – bombes à hydrogène, pas des petits pétards genre Hiroshima - s’écrasa près de la base de Thulé. Trois se pulvérisèrent sur la banquise entraînant une contamination radioactive. Une, tombée en mer n’a jamais été repêchée…

    Les États-Unis et le Danemark lancèrent une importante opération de nettoyage, réquisitionnant à coups de pied au cul pour cela des Inuits qui ont été exposés aux radiations. Nombre d’entre eux sont morts des suites de leur contamination tandis que d’autres ont développé des maladies plusieurs années après l’accident. Après cet événement, ajouté au déplacement de population lors de l’extension de la base, on se doute de « l’amour » des Inuits vis-à-vis des Étasuniens.

    Et ce n’est pas tout. En 2003, Greenpeace dénonce un rapport des USA truqué sur les déchets de la base de Thulé classé secret, sur des dépôts de déchets chimiques et de métaux lourds.

    Bref n’en jetez plus, la coupe est pleine. Pleine ? Pas tant que ça. Le réchauffement climatique et la fonte accélérée des glaces arctiques donnent un regain d’intérêt pour ces territoires de l’Arctique. Désormais, deux autres puissances – et non des moindres – entrent dans la danse. La Russie veut un contrôle militaire sur le Grand Nord et la Chine y voit une immense opportunité économique.

    À la faveur du réchauffement climatique, de plus en plus de côtes et de sols sont libérés des glaces. Et ces zones libres sont des eldorados car le territoire serait très riche en matières premières. On y trouve du nickel, du cuivre, du calcaire, de l’or… Mais surtout, le Groenland posséderait les deuxièmes réserves mondiales de terres rares, en particulier du neodymium, praseodymium, dysprosium et terbium. Autant de matériaux indispensables aux voitures électriques, aux téléphones portables, aux éoliennes…

    Aujourd’hui 90 % de la production des terres rares est aux mains de la Chine, qui, à tout moment, peut ajuster ou tarir ses exportations. Ce qui fait frémir les États-Unis et de nombreuses économies à travers le monde. Au-delà de ces matières premières, le contrôle du Groenland offre aussi la maîtrise des routes maritimes dans l’océan Arctique de plus en fréquemment libéré des glaces.

    Ce que le grossier mercanti étasunien veut faire en proposant d’acheter le pays, comme au plus beau temps de la colonisation, les Chinois le font plus subtilement : la Chine est au capital de la plus grande entreprise minière de la région : "Greenland Minerals"et, dans le cadre de ses « nouvelles routes de la soie », elle est désireuse d’investir dans les infrastructures de transports groenlandais, en particulier les aéroports.

    Autre volet du regain d’intérêt pour ces « arpents de neige », le développement futur du « passage du Nord » pour les navires, raccourcissant considérablement le coût des transports entre l’aire Pacifique et l’aire Atlantique.

    Et nous là-dedans ? Le Danemark – pays le plus impliqué au Groenland – est en Europe que je sache. Alors on regarde passer le train ?



    Sources :

    https://www.novethic.fr/actualite/environnement/ressources-naturelles/isr-rse/les-etats-unis-veulent-s-emparer-du-groenland-tout-comme-la-chine-et-la-russie-147605.html

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Base_a%C3%A9rienne_de_Thul%C3%A9

    https://www.huffingtonpost.fr/entry/groenland-trump-achat-terres-rares_fr_5d567480e4b0d8840ff15958


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