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polémique

  • LES NON-JEUX OLYMPIQUES

    Les Non-Jeux olympiques

    Ils ont tous défilé sous des trombes d’eau ! Ils n’en demandaient pas tant mais le temps reste encore libre ! Et il a plu des cordes sur le défilé – magnifique par ailleurs – de délégations de « sportifs » venus du monde entier. Il faut dire qu’il y avait, au nombre des invités d’honneur, François Hollande, notre célèbre « faiseur de pluie » !

    Le mot JEUX est de trop dans les "J.O.". Le jeu c'est festif, c'est gratuit, c'est sans hiérarchie, sans "vainqueur", rien que des participants, presque des commensaux à une fête collective. Le contraire du  sport... Le sport, c'est la guerre sans le sang (encore que...).

    Churchill disait : « never sport ! ». Attention ce n'était pas un mépris de l'épanouissement du corps mais un refus de sacrifier à cette nouvelle religion qui colonise l'existence de milliards d'individus et impose une manière de penser couplant le culte de la performance et les affaires, particulièrement la publicité. Les sportifs de haut niveau, les « champions » sont les nouveaux dieux de la jeunesse. La plupart des jeunes rêvent d'imiter M’Papé, Nadal ou Pogacar. Même les pires tricheurs sont admirés, voire imités, car ils sont des gagneurs, des « winners ». Qu'importent les moyens, seule compte la fin. On ne s'épanouit pas personnellement en s'adaptant aux circonstances de l'existence, mais on imite, on s'identifie à ces modèles fabriqués par le complexe médiatico-publicitaire...

    Quand on pense que le principal « sponsor » des Jeux Olympiques est Coca Cola, l’empoisonneur public numéro Un, responsable de l’épidémie mondiale d’obésité, et coûtant, à ce titre des milliards à notre Sécu…

    Le monde du sport spectacle, c'est la négation de l'imagination et de l'intelligence. Regardez-les les « sportifs » et surtout les « supporters » : on dirait des clones, partout dans le monde. Braillards, violents, racistes, sectaires, intolérants, obéissant à des slogans. Le sport fabrique, façonne, usine « l'homme nouveau » d'Orwell : uniformité de pensée et de comportement, endoctrinement, violence, inculture. Le sport est l'ennemi du peuple. Particulièrement le foutebole qui agit comme un détecteur de KONS (oui, je sais, on n’écrit pas Con avec un K, mais moi si, pour ne pas confondre l’entrée du paradis de nos belles compagnes et ces individus crétins, méchants, incultes qualifiés par ce pourtant joli vocable)

    Et les sportifs là-dedans ? Parce qu’il y en a qui y croient, qui se décarcassent pour le rêve d’une médaille… Eh bien on les prend pour des kons. On les traite comme des sous-merdes. Dictateurs et « sponsors » les élèvent, les entraînent à des rythmes de fous, les engraissent aux hormones de croissance et autres saloperies bien connues des « sportifs », les fanatisent pour qu’ils se surpassent et écrasent leurs adversaires (Ecoutez les entraineurs dans les vestiaires : « On va les exploser ! On est des tueurs »). Ce sont des champions élevés en batterie, c’est pas du nourri sous la mère ! Tu les fais pisser par terre, ça fait un trou !

    Faire une activité physique gratuitement, en dilettante, sans autre but que de se mettre au défi, c'est le jeu. Le sport, c'est autre chose. Comme la guerre, le sport de compétition exalte le courage, le sacrifice, l'abnégation. L’invention du sport se situe au XIXᵉ siècle, en pleine révolution industrielle, en vue de rendre les corps et les esprits dociles aux nouvelles formes du travail en usine, de domestiquer les nouvelles couches sociales que l’on met au travail. Il vise à créer un nouveau type d'humain qui mécanise son corps et son esprit en vue de la « performance ». Il faut lui donner un « mental de gagnant ». Et accessoirement le conditionner au fétichisme des marques qui « sponsorisent » les grandes épreuves (Nike, Coca-Cola, Adidas, Lacoste, etc.). Le sport enseigne la soumission à un certain ordre social. Pour arriver à LA performance qui fait bêler les foules abruties des « supporters », tout est bon, et surtout toutes les substances douteuses. Écoutons le footballeur retraité Dhorasso. Il dit : « Il faut être cohérent et un peu honnête. On ne peut pas demander aux gars de battre des records, aux cyclistes de monter des cols à des vitesses incroyables, et tout ça à l’eau claire. Défendre à la fois la course à la performance à tout prix et la chasse au dopage, c’est prendre les gens pour des imbéciles ». Et il est poli Dhorasso...

    Le sport véhicule des valeurs de droite (compétition, mépris du faible, culte du chef, etc.) et ce CIO – aujourd'hui en cause – est une organisation d'extrême droite. Les J.O., sont nés dans la cervelle d’un baron aux idées plus que douteuses et ont été portés pendant des années par Samaranche, fruit délicat du franquisme. Ils représentent l’embrigadement, le nationalisme le plus chauvin, une compétition sordide sous-tendue par les drogues fournies par les grands laboratoires pharmaceutiques mondiaux et grassement commissionnés (notez, j’ai pas dit sponsorisés !) par les marchands de merde mondiaux. Les « villages olympiques » sont autant de ghettos où les robots programmés ne se rencontrent jamais, ne se côtoient pas, ne se parlent pas. Surveillés qu’ils sont par des « entraineurs  kapos ».

    Le Coubertin (Baron Pierre de…), il était pas mal dans le genre facho, raciste et machiste. Hitler voulait d’ailleurs lui attribuer une rente à vie. Il se proclamait lui-même comme un « colonialiste fanatique ». Il prônait la pratique sportive et physique comme un moyen de redressement de l’esprit. Allez, court coco, et ne réfléchit surtout pas ! Les idées du baron sont pour le moins « pittoresques » :

     « La théorie de l'égalité des droits pour toutes les races humaines conduit à une ligne politique contraire à tout progrès colonial. Sans naturellement s'abaisser à l'esclavage ou même à une forme adoucie du servage, la race supérieure a parfaitement raison de refuser à la race inférieure certains privilèges de la vie civilisée. » (The Review of the Reviews, avril 1901).

      « La première caractéristique essentielle de l’olympisme ancien aussi bien que de l’olympisme moderne, c’est d’être une religion. En ciselant son corps par l’exercice comme le fait un sculpteur d’une statue, l’athlète antique honorait les dieux. En faisant de même, l’athlète moderne exalte sa patrie, sa race, son drapeau. » (Pierre de Coubertin, Les Assises philosophiques de l’Olympisme moderne).

      « Une olympiade femelle serait impratique (sic), inintéressante, inesthétique et incorrecte. Le véritable héros olympique est à mes yeux, l'adulte mâle individuel. Les J.O. doivent être réservés aux hommes, le rôle des femmes devrait être avant tout de couronner les vainqueurs. » Il a dit ça lors des Jeux Olympiques de 1912 à Stockholm.

    Comme quoi les Jeux Olympiques sont une organisation d’extrême droite, destinée à faire du fric et à aveugler les pauvres kons. « Donnez au peuple du pain et des jeux » ! Il avait tout compris le César.

    D'ailleurs, les pays démocratiques n’en veulent plus de ces « Jeux » qui coûtent  plusieurs bras. Sauf la France, les Zuessa et peut-être l'Australie, plus personne ne se bat pour les organiser, à part les grandes dictatures comme la Chine, la Russie, l’Arabie saoudite et pourquoi pas l’Iran, la Turquie voire le Qatar, grand « ami » de la France qu’il achète à la découpe et où il envoie des wagons d’imams salafistes polluer la jeunesse dans nos banlieues.

    Mais, il y a eu, en clôture de défilé, Céline Dion chantant l'hymne à l'Amour. Et ça a été l'extase, les poils qui se dressent, l'émotion qui submerge, le bonheur. Merci, mille merci Céline.

    Bon. Maintenant que j'ai bien bavé sur le sport, je vais vous faire une confidence : j'ai acheté un Peugeot-Frères et je me suis mis au sport : Je mouds mon café à la main ! En changeant de bras pour ne pas risquer les « moulin-à-café elbow »...

    Jean Victor Joubert

  • Comment contrer la grève des ventres féconds

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    - Eh ! T’as entendu Loulle la France est tombé dans le « baby crash » qu’ils disent depuis ce matin dans les machines à bruit. Les Françaises ne veulent plus faire d’enfants. Elles font comme si elles le faisait, tout bien comme il faut, avec les gâtés, less secousses, les soupirs, même les cris de bonheur s’il faut mais avec la piloche ou le con d’homme, pardon le « condom », eh bien pas de polichinelle dans le tiroir. Et la France va bientôt rejoindre les autres pays européens, notamment l’Allemagne et l’Italie, où les femmes semblent faire la grève du ventre fécond.

    - Pas toutes les femmes Victor. Ailleurs dans le monde règne une démographie démente. Sache que pour chaque battement de notre palpitant, trois bébés naissent quelque part dans le monde ! Essaye d’imaginer ce fleuve, cette marée de nouveaux venus braillards sur cette pauvre boule de plus en plus puante qu’on appelle Terre !

    - Cette reproduction zoologique peut avoir une cause sécuritaire pour les géniteurs :plus ils font d’enfants plus il en restera pour s’occuper d’eux lorsqu’ils seront vieux. C’est le cas dans bien des pays africains ou asiatiques où les notions de sécurité sociale sont inconnues. Mais elle peut aussi avoir une autre finalité, beaucoup plus vicelarde : la conquête par la guerre des utérus. Houari Boumedienne, ancien président de l’Algérie proclamait devant l’ONU ces propos aussi menaçants que prophétiques : «Un jour, des millions d'hommes quitteront l'hémisphère Sud pour aller dans l'hémisphère Nord. Et ils n'iront pas là-bas en tant qu'amis. Parce qu'ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire.» On y est Loulle. On y est.

    - C’est ça que tu appelles la guerre des utérus ?

    - Exactement Loulle. En deux ou trois générations, les populations exogènes, c'est-à-dire venues d’ailleurs, vont supplanter les populations indigènes. C’est mathématique. Ça n’a rien à voir avec un quiconque complot du « grand remplacement ». Dans nos civilisations occidentales où la religion a été remise à sa place et où les femmes sont éduquées, la démographie galopante n’existe plus. C’est bon pour la planète, mais c'est une faiblesse pour nous car en démocratie, ce sont les plus nombreux qui gagnent, d’où le réflexe de faire le plus d’enfants possibles pour écraser l’adversaire par le nombre. Lorsque nos femmes font un, deux, voire trois enfants, les femmes venues d’ailleurs  - majoritairement musulmanes donc maintenue dans l’inculture par l'idéologie machiste de l’islam – en font cinq, six, sept et plus si affinitéet allocations familiales.

    - C’est l’argent braguette !

    - Et la conquête sournoise, à bas bruit, où les conquis paient pour les conquérants. La konnerie à l’état pur…

    - Mais alors comment faire Victor ? Supprimer les allocs ?

    - Pas les supprimer, mais les encadrer strictement.

    - Comment ?

    - Le but, c’est de maintenir un remplacement des générations majoritairement indigène tout en faisant barrage à l’argent braguette, donc à l’asservissement par la guerre des utérus. Par exemple les allocs paient 400 euros par mois jusqu’à sa majorité pour un enfant, 500 euros pour un deuxième enfant, 600 euros pour un troisième enfant mais rien pour un quatrième enfant et une taxe de 400 euros pour le cinquième, 500 pour le sixième, 600 pour le septième, etc. L’argent braguette n’y survivra pas longtemps ! Et la France et l’Europe ne perdront pas la guerre des utérus.

    - Voilà une idée qu’elle est bonne Victor ! On pourrait même considérer pour la mère cela comme un salaire ouvrant droit à retraite et autres prestations.

    - Bien entendu Loulle.

    - Eh ! Victor Macrounet aurait dû de prendre comme ministre de la famille dans son remaniement ! Mais je crois que ce n’est pas très « politiquement correct » ton système. ­Allez buvons un coup !



    Victor Ayoli.





  • Au bistro de la toile : accueillir les « revenants » de Daech ? Aux fous !

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    - Eh , Victor, la cour de « justice » de La Haye adjoint parait-il la France de reprendre sur son sol les femmes parties faire le jihad en Syrie et des enfants « pour la cause ». Qu’est-ce que t’en pense ?

    - « enjoint », Loulle, pas « adjoint ». Ce que j’en pense ? Que le crétinisme de ces « juges » de mes deux atteint des sommets. Et les dégoulinantes verbales de toutes les « belles âmes » qui se lamentent sur le sort de ces « malheureuses » me donnent des boutons. Elles oublient que « ces pauvres femmes françaises » sont parties volontairement - en crachant sur leur pays, la France - en Syrie proposer aux tueurs de Daech leurs ventres dans les Lebensborn islamiques comme trous à bites et engendreurs de lardons. Elles sont des terroristes par leur ventre, Loulle. Et nous devrions les faire revenir ? Les nourrir en zonzon où elles feront du prosélitisme et du recrutement ? On en entend, on en lit obséquieusement interviewées dans leur camp prison chez les Kurdes, se lamentant sur leur sort. Sort qu’elles ont choisi, ces Sophie, ces Margot, ces Jennifer (mais qui avait dû rejeter, avec leurs inséminateurs daechiens, ces prénoms bien trop français !).

    Ces femmes ont choisi de trahir leur pays, de prendre les armes contre lui, au minimum de servir de repos du guerrier et de truies gravides pour fabriquer une génération de Grimlocks, et lorsque le vent tourne, elles se rappellent qu’elles sont nées, ont été élevées, soignées, éduquées dans un pays libre appelé la France. Pays sur lequel elles crachent leur fiel mais où elles voudraient bien revenir maintenant que leurs nombreux et divers « maris » égorgeurs sont morts et surtout alors qu’elles sentent la mortelle caresse de la cravate de chanvre qui les guette !

    Victimes ces femmes ? Eh ! Oh ! Elles savaient parfaitement ce qu’elles faisaient en se « mariant » avec des égorgeurs de daech ou autres sectes de tueurs d’allah. Alors comme ça, on oublierait tout ? « Non mais, c’était pour rigoler ! » Ils rigolaient les malheureux que leurs tringleurs barbus égorgeaient ? Ces femmes se seraient laissées abuser ? Elles n’ont pas de volontés propres ? Elles ne sont pas responsables ? C’est l’amour qui leur a tourné la tête ? Tè, fume !

    Et puis gambergeons un peu, ça changera. Que vont devenir ces « revenantes » et leurs progénitures en France ? On les mettra où ? Quel est le maire qui les acceptera de gaîté de cœur sur son territoire ? En banlieue ? Sûrement pas : elles seront accusées de lâcheté pour avoir fui.

    - Ouais, mais les gosses, Victor, ils n’ont pas choisi, eux…

    - Les enfants ? Qui ont été éduqués dès leur premier âge en ingurgitant des vidéos d’égorgement, de décapitations, qui voyaient des armes à la maison, qui entendaient quotidiennement les récits sanglants de leurs tueurs de pères, dont la cervelle malléable a été manipulée de façon à haïr le « koufir », c’est-à-dire toi, moi. Combien d’années de coûteux suivis psychologiques vont-ils nécessiter ? Pour quel résultat hasardeux ? Ils seront autant de bombes à retardement. De la graine de tueurs pleins de haine en liberté et une recrudescence d’attentats à venir.

    Ces gens, jeunes, moins jeunes, hommes, femmes et même enfants - nés et élevés pour en faire des machines à tuer – qui partent s’engager dans les rangs de nos ennemis, qui tuent les ennemis de nos ennemis, donc nos amis, doivent savoir que s’ils partent, c’est un billet sans retour. En temps de guerre, les citoyens d’un pays qui passent à l’ennemi sont des traîtres, des déserteurs et doivent être traités comme tels, c’est-à-dire « éliminés ». En bon français, on devrait dire tués.

    - Le retour de la peine de mort en somme. Quand même, c’est dégueulasse, Victor…

    - C’est dégueulasse ? Bien sûr que c’est dégueulasse, mais on ne fait pas la guerre en dentelle. La guerre, c’est la mort, c’est la trouille, c’est l’angoisse, la peur panique, les cris, le bruit, la souffrance, le deuil, les massacres, les flammes qui brûlent, la fumée qui aveugle, les bouts de fer qui hachent la viande. La guerre, ça sent la merde du pauvre type qui se chie dessus de peur, ça sent cette odeur âcre, doucereuse des corps gonflés qui grouillent de vers, ce sont les tripes irisées sous le soleil, ça sent la poudre, le feu, la mort, la mort, toujours la mort. Va demander aux Ukrainiens...

    On s’empêtre dans des considérations morales contre des ennemis qui se torchent allègrement l’oignon avec toute morale. On cède devant les jérémiades de « droit-de-l’hommistes » bêlants qui sont autant d’idiots utiles des nazislamistes. Avec en perspective des « Bataclan », des « Nice » et des palanquées d’assassinats au couteau.

    - Macrounet, tu crois qu’il va céder aux injections de ce « machin » de l’Europe ?

    - « Injonctions » Loulle. Il a déjà commencé, des femmes et leurs lardons arrivent discrètement. Si on est responsable, on n’accepte pas de prendre le risque de voir dix, cent, mille traîtres abrutis par la propagande ennemie rentrer « au pays » et y semer la mort la plus lâche, celle des attentats aveugles. Macrounet nous rebat les oreilles en nous disant que nous sommes en guerre. Alors en temps de guerre, utilisons les lois de la guerre. C’est dur mais c’est comme ça. Ces gens qui sont partis faire le « jihad », il faut les détruire, les tuer dès qu’on les a « logés » comme disent les flics. Il faut qu’ils sachent qu’ils ne rentreront jamais « au bercail », sinon les pieds devant…

    À force de tout voir, on finit par tout supporter.
    À force de tout supporter, on finit par tout tolérer.
    À force de tout tolérer, on finit par tout accepter.
    À force de tout accepter, on finit par tout approuver.

    (Augustin d’Hippone dit Saint Augustin)

    Illustration: merci au regretté Chimulus