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polémique - Page 4

  • Terroristes islamistes : le jour de gloire est arrivé

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    Neuf mois de procès, de commentaires, d’analyses de commentaires et de débats oiseux sur les « droits de la défense », un million de feuilles de procédures, les plumitifs et les télés du monde entier et la plus grande salle d’audience : la plus extraordinaire tribune planétaire offerte au terrorisme islamique et à l’islam ! Et, à l’occasion des vingt ans de l’attentat des « Twin towers », la reprise en boucle de la terrifiante chute des tours, symbolisant la déclaration de guerre à la civilisation.

    Sur fond de victoire des talibans en Afghanistan, les terroristes sont au balcon, exultent et font leur pub, regonflés à bloc par leur star, l’assassin Salah Abdeslam, noble serviteur d’allah qui parade, insulte, se fout de la gueule des juges et des familles des victimes de ses tueries.

    « Les terroristes, jihadistes, radicalisés sont en fait des musulmans. Il s'agit de l'Islam authentique » a-t-il soutenu devant une cour glacée Et il a raison. L'islam authentique, c'est ça n'en déplaise aux islamo-gauchistes.

    Les musulmans sont les premières victimes de cette névrose collective appelée islam. Pourquoi victimes ? Parce qu’ils n’ont pratiquement jamais choisi de vivre sous le joug de cette idéologie. Quand on naît dans une famille musulmane, on ne peut y échapper : on est formaté dans tous les gestes de la vie par des injonctions tendant toujours à la soumission (c’est le sens même du mot islam). Le façonnage du cerveau dans ce sens est total. Il s’insinue, ou plutôt il s’impose dans la manière de vivre la plus intime : comment manger, que manger et ne pas manger, comment baiser, comment pisser, comment se torcher le cul. Oui ! Tout cela est codé et doit être respecté. Ce sont les principes - pas de répit - du lavage de cerveau, utilisés par tous les totalitarismes. On doit vivre selon les préceptes du coran. Et on ne peut pas en sortir – et donc devenir apostat – sous peine de mort. Donc à part quelques dépravés débiles qui se convertissent à cette idéologie, on ne choisit pas cette névrose, on la subit. Et c’est le syndrome de Stockholm : on adhère à l’idéologie de ses bourreaux.

    Les musulmans sont donc à la fois victimes d’une idéologie mortifère et bourreaux de ceux qui n’y adhèrent pas. En l’absence de toute autorité religieuse reconnue, chargée de valider les fatwas, chaque ouléma autoproclamé peut prétendre justifier ses décrets et les légitimer par ses propres interprétations du coran ou de la tradition. Et chaque « bon » musulman se doit d’accomplir cette fatwa, généralement un appel au meurtre. Votre voisin, votre collègue de travail, votre gendre peut devenir votre bourreau si, en « bon musulman », il réalise la fatwa. C'est ce que dit Abdeslam ! C’est exactement ce dont souffrent de larges catégories de la population musulmane à travers le monde, et plus précisément en Occident. Pourtant, ces populations se sont réfugiées en Europe pour vivre la modernité et la liberté, fuyant l’autoritarisme religieux qui fait ravage dans leurs pays d’origine.

    Les musulmans sont les premières victimes de l’islam, mais les victimes totales de cette idéologie sont surtout les femmes qui ont le malheur de naître dans les contrées où elle sévit. Les musulmans sont, par force et non par choix, religieux a 98 % et dès leur enfance, à l’école religieuse, dans les mosquées comme dans leur famille, on leur enfonce dans le crâne la domination de l’homme sur la femme. « Vos épouses sont pour vous un champ de labour ; allez à votre champ comme et quand vous voulez et œuvrez vous-mêmes à l’avance. » (Coran, 2 : 223.) Une femme, en terres d’islam, vaut la moitié d’un homme. « Allah vous ordonne d’attribuer au garçon une part égale à celle de deux filles ». (Coran, 4,11).

    Voici le statut peu enviable de la femme, tel que l’a défini le dogme des musulmans :
    - Les femmes sont inférieures aux hommes, elles ont une intelligence limitée. - Les femmes, vous pouvez les battre. Vous pouvez les confiner dans leur chambre jusqu’à ce qu’elles vous obéissent. - Le témoignage d’une femme vaut la moitié de celui d’un homme. - Une femme hérite de la moitié de ce qu’un homme hérite. - Les femmes doivent "ramener sur elles leurs grands voiles". - Les femmes doivent "baisser leurs regards". - Les femmes sont impures, à cause des menstrues. - L’enfer est peuplé en majorité de femmes (hadith sahih). - Un homme peut épouser quatre femmes. - La femme est un butin de guerre (sira : biographie). - Un homme peut épouser la femme de son fils adoptif. - Un prophète peut prendre 11 femelles (dans son cas, c’est le terme qui convient) ainsi qu’une esclave à son service : Maria la Copte, fille de Siméon (sira : biographie). - Un musulman peut épouser une fillette de 9 ans et donc la mutiler à vie.

    Comment peut-on avoir quelque intérêt que ce soit pour une idéologie qui nie, malmène, martyrise, assassine, esclavagise la moitié de sa population ! Pas de divorce en islam, la nana ne te plait plus ? Tu la répudies : il suffit au mâle-dominant de prononcer trois fois : « talaq, talaq, talaq (répudiation, répudiation, répudiation) ! Et le tour est joué, le "mari" peut échanger sa femelle de 40 ans contre deux de 20 ans. Elle est pas belle la vie des mâles mahométans ?

    Pour plus d’informations, faites un saut là mais bouchez-vous le nez

    https://www.islamweb.net/fr/fatawa/2930/Femmes

    https://www.islamweb.net/fr/fatwa/42360/Fellation

    http://www.islamophile.org/spip/Sourate-At-Talaq-Le-Divorce.html

    Les islamo-gauchistes et autres thuriféraires de l’islam vont pouvoir apprécier ce que devient un pays qui tombe sous le joug des plus « purs » pratiquants de cette secte : l’Afghanistan des « étudiants en religion », les gentils « talibans ». Mais que ce pays leur ouvre les bras ! Ils pourront en apprécier les délices ! On pourrait même initier un financement participatif pour leur payer le billet d’avion via Qatar airways, la compagnie aérienne de nos amis et clients, bailleurs de fonds aussi des djihadistes qui dégomment nos soldats et des mosquées et autres « centres cultu (r) els » qui pourrissent les « djeun’s » de nos banlieues. Ouais mais ils nous ont offert le Messi ! On pourrait aussi échanger ces islamogauchistes avec les femmes afghanes qui ont le mauvais goût de vouloir fuir ce régime béni d’allah. Pas les hommes. Eux, si le régime ne leur convient pas, ils n’ont qu’à résister, se battre. Pourtant, les réfugiés sont essentiellement des hommes. Curieux…

    Je viens de lire le livre écrit par une des victimes de la tuerie du Bataclan, Comment pourrais-je pardonner ? - Luc-Antoine Lenoir… Aussi glaçant qu’édifiant. Je vous en donne quelques citations :

    « Après chaque attentat, divers politiciens ou idéologues vantaient la « capacité de résilience » du pays, promettant le retour à la vie normale. Je compris peu à peu le fond de leur pensée : cette fameuse résilience n’était pas une méthode de prise en compte du danger, mais bien le paravent commode de l’inaction. Nous étions comme ces sacs de frappe utilisés pour l’entraînement à la boxe. Nous reprenions, après chaque coup, notre place initiale. Nous encaissions sans réagir. »…/…

    « Le 16 novembre, devant le parlement réuni à Versailles, le président de la République avait tenu un discours qui se voulait martial, et annoncé une nouvelle série de mesures : « Nous devons pouvoir déchoir de sa nationalité française un individu condamné pour une atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation ou un acte de terrorisme, même s’il est né français, […] dès lors qu’il bénéficie d’une autre nationalité », avait-il notamment déclaré. Mesure rapidement enterrée. »…/…

    « En ce chaud mois de mai 2016, Manuel Valls lançait un « plan d’action contre la radicalisation djihadiste ». Je m’y intéressai immédiatement. Ce plan consistait à ouvrir un centre de réinsertion pour les individus à risque afin que, selon les mots utilisés, ils y effectuent « un travail sur leur personnalité » et qu’ils puissent participer à des débats sur la laïcité. Il était également prévu une ouverture au monde culturel, et un programme sur mesure de professionnalisation…./… Je n’avais aucune envie de rire sur les questions relatives au terrorisme, mais je comprenais qu’on s’esclaffe devant cette présentation. Alors que Daech constituait depuis des années une menace dans le monde entier, avait montré sa capacité à mener des actions mortifères et à faire couler le sang d’innocents, le Premier ministre français, six mois après le 13 novembre et toutes ses pertes humaines, proposait à des individus radicalisés et dangereux ayant embrassé la cause de l’islam radical, « d’effectuer un travail sur leur personnalité » et de débattre sur la laïcité. Je fus décontenancé par un tel niveau d’angélisme. »…/…

    « Leur détestation de l’Occident et de ses valeurs était trop forte et trop ancrée dans leur esprit pour que l’on puisse espérer un retournement de situation purement éducatif. Bien sûr, les repentis existaient, mais mettre en place des structures aussi coûteuses et aux critères d’évaluation forcément subjectifs me semblait peu pertinent, alors que les tenants de l’islamisme politique incitent justement leurs disciples à exercer la taqiyya, la « dissimulation », trompant l’ennemi en lui faisant croire ce qu’il souhaite. »…/…

    L’organisation État islamique avait diffusé dès septembre 2014, par la voix de son porte-parole Abou Mohammed al-Adnani, un message audio qui encourageait ce recours à tous les moyens imaginables : « Si vous ne pouvez pas trouver d’engin explosif ou de munition, alors isolez l’Américain infidèle, le Français infidèle, ou n’importe lequel de ses alliés. Écrasez-lui la tête à coups de pierre, tuez-le avec un couteau, renversez-le avec votre voiture, jetez-le dans le vide, étouffez-le ou empoisonnez-le. »…/…

    « Les djihadistes qui sèment la terreur sur notre sol aiment la mort comme nous aimons la vie. Ils n’hésitent jamais à faire couler le sang. La pitié leur est totalement étrangère. Comment pardonner un mal si profond qu’il brise notre vie, nous prive de personnes et attaque les fondements de ce que nous sommes ? Le pardon spontané me semblait un passe-droit. Pire, à l’échelle de la société, j’avais l’impression qu’il était là encore l’habillage commode du renoncement. « Vous n’aurez pas ma haine », répétaient nombre de Français au lendemain des attentats. En disant cela, ne cède-t-on pas face au mal ? »

    N’en jetez plus. Eh ! Attention Victor. Voyons, pas d’amalgame, pas de stigmatisation !

    Illustration X - Droits réservés

  • Vaccination obligatoire. En avoir au pas…

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    « À bas la dictature », « Non au pass de la honte » pouvait-on lire sur les pancartes. Ils se gargarisent et crient victoire parce qu’ils étaient 180 000 dans toute la France à brailler leur hostilité au vaccin, au pass sanitaire, bref à tout ce qui pourrait les protéger du Covid ! Cela évidemment au nom de leur liberté menacée, bafouée, écrasée et autres bigarderies qu’on pourrait trouver pittoresques si elles n’étaient pas potentiellement mortifères. Parmi eux, de grands démocrates comme Philippot et Dupont-Aignan bras dessus bras dessous.

    On a même vu de ces gens porter une étoile jaune en signe de discrimination contre les « non vaccinés ». « L'expansion de l'univers et la konnerie humaine sont les seules approches que l’on puisse avoir de l’infini » disait Einstein… Et il ajoutait : « Encore que pour l'expansion de l'univers, je ne suis pas sùr... »

    Leur ultima ratio, c’est « leur liberté ». Mais la liberté de chacun s’arrête lorsqu’elle met en danger celle des autres. Et la première des libertés n’est-elle pas le droit à la vie ?

    Oui mais, disent-ils, on n’a pas de recul sur ces vaccins (trois milliards d’injections dans le monde et des effets néfastes infimes…), on doute de la science qui est au service de BigPharma. Ce n'est prabablement pas faux. Le doute est très sain, bien sûr, on ne peut pas tout croire sur parole. L’unanimité n’existe pas, même en matière scientifique où la vérité est gérée par un consensus large et raisonnable.

    Leur scepticisme les pousse à douter non seulement de la pandémie et de l’utilité des vaccins, mais encore du réchauffement climatique (demander leur avis aux Allemands et aux Belges noyés ou aux Canadiens cramés). En fait ils se réfugient dans le déni pour ne pas affronter la réalité.

    Le pire c’est que lorsque 90 % de la population sera vaccinée et que donc l’ensemble de la population bénéficiera de l’immunité collective, ces charlots gonfleront leurs petits muscles en proclamant qu’ils ont refusé le vaccin et qu’ils ne sont tout de même pas malades. Ben voyons…

    Ils crient à la discrimination, à la stigmatisation – c’est la mode, c’est courant cette victimisation de la part de tous les complotistes et autres ennemis de la république – mais alors, ils devraient faire connaître leurs convictions, par exemple en portant gaillardement un badge signalant qu’ils ne veulent surtout pas être soignés en cas de covid. Et puis, allons plus loin : si ces « gens-là » contaminent les autres à cause de leur refus du vaccin, il serait logique et juste qu’ils soient poursuivis pour mise en danger d’autrui.

    Au fait, c’est donner à cette petite minorité agitée bien de l’importance : alors qu'ils étaient seulement 180 000 à faire joujou avec leurs pancartes et leurs slogans débiles dans toute la France, ils étaient plus de 800 000 à se précipiter, le même jour, pour se faire vacciner !

    Il serait peut-être temps d’arrêter de se coucher devant tous ces braillards et de faire comprendre à toutes ces minorités « roumpobassis » qu’elles ne sont pas la majorité et que donc, en démocratie, elles peuvent exprimer leurs convictions mais n’ont pas à les imposer à la majorité.

    Encore faudrait-il avoir des gouvernants « qui en aient »…

     

     

  • Un « pognon de dingue » pour la PMA.

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    La PMA pour toutes a été votée. Pourquoi pas. On peut pourtant ne pas apprécier qu'elle consacre le droit Á l'enfant au détriment des droits DE l'enfant. Et qu'elle est financièrement injuste envers l'immense majorité des femmes.

    Au fait PMA, késako ? C'est la « Procréation médicalement assistée . C'est-à-dire l'insémination artificielle selon des procédés largement employés dans les élevages de bovins. Elle permet la grossesse par le biais de l’introduction d’un échantillon de spermatozoïdes dans l’utérus. Les spermatozoïdes peuvent provenir du partenaire ou bien d’un donneur. Pour maximiser les chances de grossesse, les ovaires sont hormonalement stimulés et l’ovulation contrôlée, pour pratiquer l’insémination au moment le plus opportun. Ça c'est la méthode simple. On peut faire plus compliqué avec un processus dans lequel l’ovule est fécondé en dehors de l’utérus avant d’y être réimplanté. C'est la fécondation in vitro, la FIV. Avec plusieurs variantes concernant les fournisseurs des ovules et du sperme.

    Là on commence à friser les dérapages pas toujours contrôlés vers l'eugénisme et le bébé-produit. Ou comment les humains, seront bientôt sélectionnés comme des animaux d'élevage. C'est un volet de la bio-économie : un marché mondialisé du corps humain, dont les éléments (sang, ovules, cellules, tissus…) sont de plus en plus marchandisés, comme dans l’industrie de la procréation.

    Ma foi, aux temps de la marchandisation de tout, c'est dans l'ordre des choses ultralibérales : le marché s’infiltre jusqu’au plus intime de nos vies, dévastant des siècles de culture et de civilisation dans le but d’isoler les individus pour mieux les tenir en son pouvoir. Avec la complicité d'un certain socialisme qui se révèle ainsi l’idiot utile du capitalisme le plus brutal.

    PMA, pourquoi pas. Puisque les institutions démocratiquement élues de la République l'ont voté, on ne peut que l'accepter. Mais là où on peut légitimement renâcler, c'est de faire rembourser par la Sécurité sociale un acte qui n'a pas pour finalité de soigner une maladie mais de procurer un confort de vie à des individus. Depuis son apparition, la médecine a pour but de remédier à la maladie. Dans ce cadre, la loi autorisait la PMA pour pallier une infertilité pathologique, qui devait être médicalement constatée.

    Avec la suppression de ce critère dans la nouvelle loi votée, la médecine devient non plus de soin mais d’augmentation et de transformation de l’humain, et la technique médicale ne servira plus à rétablir l’équilibre de la condition humaine, mais à dépasser ses limites et ainsi opérer un basculement de civilisation qui va accélérer la marche vers le transhumanisme.

    Il y a là beaucoup de sous en jeu ! D'ailleurs la Silicon Valley travaille à l’heure actuelle sur un grand nombre de projets destinés à faire naitre un homme augmenté, voire à vaincre la mort et que ça représente un marché potentiellement énorme. Aux fous !

    En attendant c'est à nous que cette loi va coûter un pognon de dingue. Actuellement il y a 150 000 tentatives de PMA par an en France. Il en résultera 25 000 enfants. Le coût pour la Sécurité sociale est de trois cents millions d’euros. Chaque enfant né par PMA « coûte » donc 300 000 000 divisé par 25 000 égale 12 000 euros.

    Il y a là un cas d'injustice flagrante envers les femmes qui font « bêtement » leurs bébés à l'ancienne, non ?

    Le Conseil d'état aura-t-il la lucidité et le courage de dénoncer cette injustice, et, soit d'invalider cette loi, soit d'imposer de donner la même somme aux femmes « archaïques » qui font leurs enfants « vulgairement », comme les autres animaux, selon une méthode qui ne manque pourtant pas de charme ?

    Mais il est vrai qu'on est au temps de la dictature des minorités agissantes...

     

    Illustration:merci à Coco