Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

massacre

  • Préfecture de police : Un flic sourd « entend des voix » et tue !

    couteau sanglant.jpg

    Massacre au sein du saint. Chez ceux-là mêmes qui sont chargés de rechercher, de traquer, de neutraliser les ennemis de la république. En particulier les terroristes islamistes mais pas que.

    Des questions, il y en a des tonnes à se poser.

    D’abord, comment un homme seul, armé d’un couteau de cuisine, peut-être en céramique, et d’un ouvre-huîtres a-il pu tuer quatre personnes ? Ça ne se fait pas comme ça. On peut supposer que la première victime a été la femme, égorgée selon le rituel mahométan. La femme, c’est la créature du diable, on l’égorge donc par-derrière. Elle n’a pas dû avoir le temps de crier. Mais ça fait du raffut un corps qui tombe, s’accrochant désespérément, dans un torrent de sang qui jaillit, aux meubles qui l’entourent, renversant l’ordinateur ou le casier. Et les trois autres ? Des flics d’élites, jeunes, costauds. L’effet de surprise trois fois de suite ? Ça fait du bruit un poignardage. Un mec, ça gueule, ça se défend. Une simple chaise suffit à repousser un mec seul armé d’un couteau. Et les trois autres se seraient fait suriner sans réagir ? L’un après l’autre ? Ça donne une drôle d’idée de leur qualité de combattant… Bref, passons.

    Et puis comment le top du top des flics a-t-il pu ignorer ou couvrir les agissements d’un type converti depuis dix ans à l’islam ? À oui mais ce n’est pas un délit de se convertir à une religion. Oui mais pas à n’importe quelle religion… L’islam étant gangrené par l’islamisme, la hiérarchie policière aurait pu pour le moins s’inquiéter de cette subite conversion. Connaître les motifs de cette soudaine foi, enquêter sur sa famille, ses fréquentations, la mosquée où il s’endoctrinait. D’autant plus que l’homme s’était ouvertement réjoui des massacres de 2015. Des collègues à lui s’étaient offusqués et avaient averti oralement leur hiérarchie. Sans résultat. Et ce bien que le personnage en question aient la main sur des informations marquées secret-défense ! Un vulgaris pekinos qui traite quelqu’un de PD risque le tribunal et pire si affinité et un flic opérant au sein de l’une des unités les plus puissantes de France, proférant son soutien à des tueurs salafistes, n’est pas même interrogé par sa hiérarchie sur ses propos ? Castaner a dit que les fonctionnaires de police étaient contrôlés… tous les sept ans ! Bonjour le foutoir… On est bien protégé !

    Surtout, le ministre a entonné tout de suite et comme d’habitude les trompettes du déni : « la piste terroriste n’est pas envisagée pour l’instant ». Tu parles, un attentat voire une cellule terroriste au sein même de ceux chargés de lutter contre le terrorisme, bonjour l’image !

    On trouvait donc au tueur des justifications personnelles, de mal-être à cause de sa surdité, de problèmes avec sa hiérarchie. Bref comme d’hab, on masquait la réalité derrière des justifications psychologiques voire psychiatriques ; on agitait la victimisation matinée de mal-être social et même de racisme. Il a fallu attendre le deuxième jour pour qu’un communiqué de Cnew fasse état de la conversion du tueur à l’islam. Une conversion non pas datant de dix-huit mois comme d’abord annoncée mais de plus de dix ans. Largement de quoi être approché puis retourné par les responsables salafistes qui ont pu le contacter à la mosquée qu’il fréquentait, en s’y rendant déguisé en bédouin d’un autre âge en plus ! Bonjour la sagacité de ces flics d’élite.

    Comme d’habitude, à chaque attentat terroriste, l’essentiel des médias grand public appui sur le bouton « déni d’islamisme ». Pour préserver le fantasme intello bobo d’une diversité heureuse, des frontières ouvertes à toutes ces « chances pour la France » et surtout pour le Medef qui use et abuse de cette main-d’œuvre taillable et corvéable à volonté. A contrario de ce « vulgaire populo » qui, lui, derrière son gilet jaune, perçoit bien qu’une communauté politique exagérément hétérogène est appelée à vivre des contradictions culturelles de moins en moins soutenables.

    Non, qu’ils nous serinent les « milieux autorisés » comme disait Coluche, l’homme qui se rend coupable d’un attentat serait en fait une victime de la société où il vit. Seule la désespérance sociale le rendrait sensible aux sirènes islamistes. Plus encore : l’exclusion qu’il subirait le pousserait à cette forme de résistance condamnable mais compréhensible que serait le terrorisme islamiste. Ben voyons.

    Ce sont nous les coupables, qu’ils disent les me (r) dias. Dans nos sociétés qui marginaliseraient les populations issues de l’immigration, la petite criminalité et la grande devraient être considérées comme des actes de résistance. Mohamed Mérah = Jean Moulin, les frères Kouachi = l’affiche rouge. Et ceux qui osent critiquer l’islam sont frappés de l’excommunication : on les traite d' « islamophobes ». Et c’est donc, l’islamophobie qui serait à l’origine de l’islamisme. Lamentable.

    Il faut pourtant sortir de notre naïveté qui frôle le crétinisme et regarder les choses en face malgré les efforts constants et puissants pour le nier : l’islamisme nous a déclaré la guerre.

    Et en temps de guerre, on ne fonctionne pas comme en temps de paix. Fini la tranquillité émolliente. Il faudra bien accepter de la faire la guerre. Or nos peuples occidentaux - gavés de konneries inutiles, abrutis par des médias lèche-babouches par lâcheté ou opportunisme, manipulés par les réseaux sociaux, moralement désarmés par un « droit-de-l’hommisme » dévoyé – savent pleurer mais plus combattre, préfèrent porter des fleurs sur les tombes des massacrés que de prendre les armes contre les massacreurs.

    Jusqu’où nos sociétés reculeront-elles, paralysées par cette formidable idée des Droits de l’homme que nos ennemis retournent contre nous pour nous empêcher de nous défendre ?


    Photo X - Droits réservés

  • Massacre à Villeurbanne. Terroriste ? Non… « Déséquilibré… »

    blog-islam-religion-de-haine-preceptes-vieux-taliban.jpg

     

    Un « déséquilibré » poignarde, éventre, mutile, saigne des gens qui attendaient à une station de métro de Villeurbanne. Un jeune homme de 19 ans est mort, huit autres passants ont été blessés dont trois grièvement. Simple fait divers commis pas un « déséquilibré » proclament les autorités, relayées comme toujours dans le déni de réalité par les médias. Il aurait dit, en maniant le couteau dans de la viande forcément mécréante : « Ils ne lisent pas le coran ! » Il a été maîtrisé et remis aux flics par des employés de la société de transport et des passants, certains d’origine maghrébine, des résistants. Il faut aussi savoir que l’égorgeur est un « demandeur d’asile » afghan. Et donc une personne à laquelle notre pays a ouvert ses frontières et ses aides. « Faï de ben a Bertrand, té lou ren en cagan ! » dit-on chez nous (« Fait du bien à Bertrand, il te le rend en te chiant dessus »).

    Ingratitude ? Non, Taqîya, une doctrine qui autorise tout musulman à faire usage de tromperie afin de se défendre ou afin de répandre l’islam.

    Mais les « zautorités » refusent de considérer cet acte barbare comme un attentat terroriste. Déni de réalité, impuissance devant la menace islamique, lâcheté.

    Si ce tueur est un déséquilibré c’est pour une raison simple : il est la première victime - avant même ceux qu’il a agressé et tué parce « qu’ils ne lisaient pas le coran » – de l’islam, cette idéologie moyenâgeuse, mortifère, fanatique, intolérante, profondément inégalitaire et injuste, véritable cancer de l’esprit.

    Le demandeur d’asile tueur, cette « chance pour la France » vivant à nos crochets, na pourtant fait que se conformer à la lettre de son coran saignant, Il n’a fait qu’appliquer ce qui est prescrit explicitement dans le Coran :

    « Sourate 3, verset 59
    En quelques lieux, qu’ils soient, ils [les infidèles] seront couverts de malédiction. On les tuera partout où on les trouvera.

    Sourate 4, verset 56
    Ceux qui ne croient pas à Nos Versets, (le Coran) Nous les brûlerons bientôt dans le Feu. Chaque fois que leurs peaux auront été consumées, Nous leur donnerons d’autres peaux en échange afin qu’ils goûtent au châtiment. Allah est Puissant et Sage ! »

    Il y en a des centaines comme ça d’appels au meurtre. Pour réfléchir à cet état de fait : je vous conseille de lire, relire et méditer le livre de Michel Onfray – « Traité d’athéologie » – chez Grasset, dont voici quelques feuilles :

    « […] Près de deux cent cinquante versets - sur les six mille deux cent trente-cinq du Livre - justifient et légitiment la guerre sainte, le djihad. Assez pour que se trouvent noyées les deux ou trois phrases bien inoffensives qui invitent à la tolérance, au respect de l’autre, à la magnanimité ou au refus de la contrainte en matière de religion (!). Dans un pareil océan de sang, qui peut encore prendre la peine de s’arrêter sur deux ou trois phrases qui invitent plutôt à l’humanité qu’à la barbarie ? D’autant que la biographie du Prophète témoigne : on y trouve constamment le meurtre, le crime, l’épée et l’expédition punitive. Trop de pages invitent à l’antisémitisme, à la haine des juifs, à leur spoliation et leur extermination pour qu’un combattant musulman ne se croie pas légitimé à passer les juifs par le fil de l’épée.

    /… 

    Au sein même de la communauté musulmane de prétendus semblables, la hiérarchie persiste : les hommes dominent les femmes, les religieux dominent les croyants, les fidèles pieux dominent les pratiquants tièdes, les vieux dominent les jeunes. Phallocratie, théocratie, gérontocratie, le modèle tribal et primitif des origines ne cesse pas depuis treize siècles. Il est fondamentalement incompatible avec les sociétés issues des Lumières. Le musulman n’est pas fraternel : frère du coreligionnaire, oui, mais pas des autres, tenus pour rien, quantités négligeables ou détestables.

    /…

    Un livre datant des premières années de 630, hypothétiquement dicté à un gardeur de chameaux illettré, décide dans le détail du quotidien de milliards d’hommes à l’heure de la vitesse supersonique, de la conquête spatiale, de l’informatisation généralisée de la planète, du temps réel et universel des communications généralisées, du séquençage du génome humain, de l’énergie nucléaire, des premières heures du post-humain… La remarque vaut pour les loubavitchs accrochés à la Torah et au Talmud qui partagent eux aussi une semblable ignorance du temps qui passe.

    Expliquer que l’égalité des sexes, les droits de l’homme ET DE LA FEMME ont vocation à être généraux, transnationaux et supérieurs aux édits religieux, quels qu’ils soient, c’est peine perdue.

    Expliquer que la liberté d’apostasie, de blasphème, la caricature, l’humour noir jaune ou rose sont impératifs en démocratie c’est se retrouver face à un mur d’incompréhension.

    Expliquer aux nouveaux arrivants que nos lois, nos usages et nos habitudes s’appliquent de façon absolue sur notre territoire et que c’est à prendre ou à laisser (repartir si pas d’accord) aurait dû être obligatoire et aurait dû s’accompagner de la signature d’un engagement en ce sens pour chaque nouvel arrivant. Cela aurait dû être mis en place depuis des décennies et nous n’en serions pas là aujourd’hui. Nous pourrions dire « Vous avez signé, vous saviez qu’il n’y aurait aucune discussion possible sur ces points, si vous n’êtes plus d’accord, au revoir et merci ».

    Faute d’avoir fait cela, nous nous retrouvons avec quelques millions de personnes qui n’auront de cesse de torpiller morceau par morceau l’ensemble de nos valeurs pour introduire les leurs. D’accommodement en accommodement notre société se renie et se saborde.

    Mais si vous proclamez ces évidences, vous tombez immédiatement sous le coup de « l’excommunication » moderne : on vous traite d’islamophobe, terme bidon mais que ses adeptes s’ingénient à assimiler à « raciste ».

    Expliquer à un bobo/gaucho/humaniste que l’islamophobie n’a rien, mais alors rien à voir avec du racisme c’est peine perdue. L’islamophobie est un racisme imaginaire. Elle n’est que la conclusion intellectuelle qui s’impose tout naturellement si l’on veut défendre les valeurs intangibles, celles que nous devons préserver à tout prix… Au moins ici.

    « Islamophobe » ! Ce mot, loin de désigner un quelconque racisme – une religion est-elle une « race » ? - a été inventé de toutes pièces par les islamogauchistes pour disqualifier ceux qui résistent aux intégristes de tous poils. Pourquoi ne devrai-je pas avoir peur de l’idéologie chrétienne, de l’idéologie musulmane, comme de l’idéologie trumpienne, marxiste ou ultralibérale ?

    Pourtant, dès que vous prétendez critiquer cette dangereuse névrose collective qu’est l’islam (sans majuscule) on vous jette cet anathème définitif, censé vous rouler dans la fosse de la honte et de l’opprobre : « vous êtes islamophobe ! » Voilà l’arme nucléaire des islamogauchismes qui - hélas – sévissent dans bien des milieux « autorisés » et particulièrement dans les médias, du Monde à Libération (journaux de milliardaires) sans oublier – hélas – Médiapart.

    Les islamogauchistes, que j’appelle d’un nom plus précis - les « nazislamistes » - sont ces archéo-nostalgiques du Grand Soir. Comme ils ont léché le cul de Staline en d’autres temps, ils lèchent les babouches des tueurs d’allah (sans majuscule bien sûr). Ils voudraient nous rouler dans la culpabilisation : « Ces malheureux (ils parlent des tueurs, pas des victimes) sont victimes du colonialisme, ils ont subi l’esclavage, nous pillons leurs pays », et gnagnagna…

    En fait, ces planqués sont des lâches et de vulgaires collabos : ils pensent qu’en léchant les babouches de cette minorité de fanatiques voulant imposer partout la terreur théocratique, leurs « maîtres » leur seront reconnaissants et les remercieront chaleureusement… Comme les « idiots utiles » de Staline.

    Y a-t-il au monde peuples plus colonialistes que les arabo-musulmans ? Ils ont colonisé une partie du monde, de l’Indonésie à l’Atlantique, du Caucase à l’Atlas ! La colonisation la plus brutale qui soit : massacre systématique des hommes, table rase de toute trace de civilisation précédant leur arrivée, création de sous-hommes, les « dhimmis », établissement de l’esclavage à grande échelle, mépris des femmes, etc.

    Y a-t-il au monde peuples plus esclavagistes que les arabo-musulmans ? Les razzias des arabo-musulmans ont saigné l’Afrique bien avant et bien plus que la sordide traite atlantique. Et elle dure toujours, en Mauritanie, en Arabie saoudite entre autres ! Dans les sociétés musulmanes, l’esclave était (est ?) considéré comme une chose, un meuble, un outil. Il peut donc être vendu, donné, légué, loué. Il n’est, à ce titre qu’une « simple marchandise ». Il se range, en règle générale, dans la même catégorie que les animaux.

    Bon, n’en jetons plus, la coupe est pleine. Et pendant ce temps faut-il s’étonner que « La Bête » se réveille ?


    Illustration: Merci à Danzigzer