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  • Cannabis. Gérard n'aime pas Marie-Jeanne !

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    « Je ne peux pas, en tant que ministre de l’Intérieur, en tant qu’homme politique dire à des parents qui se battent pour que leurs enfants sortent de l’addiction à la drogue, que l’on va légaliser cette merde. Et je dis bien « cette merde », s’insurge le ministre de l’intérieur Darmanin à l’intention des sirènes de plus en plus nombreuses qui lui serinent de légaliser le cannabis en France.

    Après Vaillant, Le Guen à gauche, voilà Robinet, le maire LR de Reims qui en remet une louche. Ça évolue, ça évolue…

    Alors, on le légalise ce tarpé qui est partout, ou on préfère les guerres de dealers à la Kalash ? Une société sans stupéfiants ? La drogue se trouve partout dès le collège. Une société sans consommateurs ? La France a la plus grande proportion de fumeurs de cannabis du continent. 700 000 en fument quotidiennement et 18 millions en ont « déjà fumé ».

    Eh, ci-devant ministre Darmanin, une politique ne se juge pas sur ses intentions mais sur ses résultats ! On connaît les succès de l’approche moralisante de tartuffes à l’égard du cannabis… Il serait peut-être temps, après un demi-siècle de prohibition, de faire le bilan de la consommation et du trafic et d’ouvrir un débat réaliste sur le sujet, non ?

    La réalité est celle-ci : une dépénalisation de fait de l’usage avec le tarpé taxé au niveau d’un excès de vitesse léger ou d’une absence de port de muselière ; un trafic concédé aux gangs mafieux ; une impuissance totale de la police et de la justice à éradiquer une consommation massive; des prisons encombrées pour pas grand chose. La prohibition du cannabis constitue donc une fiction, un mythe confortable.

    Moralement, on ne peut évidemment pas souhaiter que nos enfants « se droguent » au même titre qu’on ne peut accepter qu’ils deviennent alcooliques, c’est-à-dire dépendants. Qu’ils consomment de l’alcool ou du cannabis à l’occasion, quelle différence ? Une seule et de taille : on ne peut pas mourir d’une overdose de cannabis.

    Alors, diaboliser le tarpé au nom de la morale tout en tolérant le binge-drinking et ses comas éthyliques à la vodka et au mauvais whisky, voilà une belle tartufferie !

    Pourquoi les gens fument-ils le tarpé ? Mais pour la même raison qu’ils boivent le pastaga, le cognac, la vodka et, pour les plus raffinés, les bons vins ? Pour le plaisir que ça leur procure ! Les vins sans l’alcool ? Un bide. Les bières sans alcool ? Un bide. Parce qu’au-delà du plaisir gustatif, l’usager recherche les effets psychoactifs de ces produits. Ne pas comprendre cela est soit de l’hypocrisie, soit de la naïveté tangentant la konnerie.

    Les femmes et les hommes politiques qui s’opposent à toute légalisation sont de beaux faux culs : ils s’opposent surtout à l’arrêt du trafic parce que cette concession faite aux gangs de dealers constitue une sorte de RSA Banlieue qui leur assure une relative paix sociale et… des voix pour être réélu. Après ça on nous parlera de « reconquête des territoires perdus de la république »… Tant qu’un « chouf », un guetteur, gagnera en une journée autant sa mère ou son père en une semaine, les jeunes, tonton Darmanin, ils te diront « Tè, fume » !

    Cette faux-culterie est d’autant plus cynique que l’Insee intègre le trafic de drogue à son calcul du PIB national à hauteur d’un milliard d’euros pour le cannabis !

    La prohibition du cannabis est un échec flagrant. Policiers et gendarmes se noient dans la paperasse des procédures, perdant ainsi 1,2 million d’heures d’activité qui seraient mieux utilisées ailleurs. La consommation s’est banalisée, surtout chez les jeunes : 18 millions de Français l’ont expérimenté, 1,4 fume régulièrement et 700 000 fument quotidiennement.

    Une légalisation bien pensée et bien organisée permettrait : - production en France ou en Europe via des filières contrôlées, - qualité du produit alors que les dealers font fumer du goudron aux jeunes, - autoproduction pour ceux qui veulent pour leur conso perso, - vente dans les bureaux de tabac et des « coffee-shops » bien contrôlés, - interdiction évidente pour les mineurs, et de juteuses rentrées de fric pour l’État.

    Les résultats seraient : - remise des flics sur des tâches utiles, - du boulot pour les agriculteurs notamment en zones de montagnes, - de l’activité pour les buralistes et les « coffee-shops », - la fin des financements des réseaux maffieux, puisqu’ils n’auraient plus rien à y gagner, - une meilleure détection des personnes à la dérive par surconsommation, - une prévention plus aisée, notamment par la suppression de « l’attirance pour l’interdit » chez les ados, - des taxes pour la sécu, - une meilleure qualité, contrôlée, garantie pour les consommateurs, - et pourquoi pas, des « dealers » devenant chef d’entreprise et confrontés alors aux règles de concurrence ! Et donc beaucoup moins d’insécurité dans nos villes.

    Et puis, le fait d’asphyxier ces trafiquants qui naviguent dans les mêmes eaux troubles, se partagent les mêmes territoires et aussi le même fric que les fondamentalistes islamistes serait un sacré coup donné à ces ennemis de la république. Combattre le terrorisme salafiste passe par la coupure de ses sources de financement au nombre desquelles figurent tous les trafics dont celui du cannabis.

    Cela mettrait fin à une situation d’autant plus révoltante que 10 % des effectifs de la police et de la justice se consacrent sans relâche à une prohibition virtuelle, mobilisant des forces qui font défaut dans la lutte antiterroriste, sans faire reculer d’un pouce la consommation ou le trafic. Réallouer de tels moyens à la lutte contre l’État islamique pourrait constituer un tournant stratégique majeur, sans rien coûter au contribuable.

    « Pas question, qu’il a dit notre flic en chef ! Le cannabis, c’est de la merde ! » Ben ouais, on voit qu’il connaît notre Javer de sous-préfecture, c’est comme ça que disent les fumeurs : du « shit », c’est-à-dire de la « merde » !

    Pourtant, si de temps en temps Gégé ou Manu tiraient un petit tarpé ou dégustaient un savoureux « gandga cookie », ça leur déconstiperait un peu les boyaux de la tête !


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  • Vous êtes patriote, vous voulez acheter une bagnole made in France ? Pas évident...

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    Not' bon président fait la tournée des fabricants de bagnoles françaises et va dévoiler son plan de sauvetage. Son gouvernement va déjà aider Renault par un PGE (prêt garanti par l’État) de cinq milliards d’euros. PGE, ça veut dire que si Renault ne peut pas, ou ne veut pas rembourser, le fric sera pris dans nos poches. Oui mais Renault, c’est la France ! Ben voyons…

    La voiture Renault la plus vendue en France est la Clio IV. Or ces bagnoles sont fabriquées à 90 % par l’usine de Bursa, en Turquie. Quant à la Clio V, direction la Slovénie et de nouveau la Turquie. Vous préférez le frimeur Captur ? Il est fabriqué à Valladolid en Espagne. Vous vous décidez pour un Twingo III ? Il est fabriqué à Novo Mesto, en Slovénie. Bon, alors vous vous rabattez pour une Dacia Sandero, ou le crâneur Duster ? Ils sont fabriqués, comme leur nom l’indique, en Dacie, province de Roumanie.

    Ouais, mais tonton Lemaire, il a posé des conditions pour donner ce fric : « Si une grande entreprise a son siège fiscal ou une filiale sans activité économique réelle dans un paradis fiscal, il va de soi qu’elle ne bénéficiera pas du prêt garanti par l’État ou des reports de charges ». Ah ! On est rassuré. Ben voyons… Les critères français et européens définissant les paradis fiscaux sont ainsi faits que les pays membres sont automatiquement exemptés, ce qui explique l’absence de l’Irlande, des Pays-Bas, de Malte, de Chypre et du Luxembourg. D’autres gros poissons échappent aux mailles françaises, notamment la Suisse et Singapour. Or, Renault possède une quinzaine de filiales dans les pays cités ci-dessus, au premier rang desquelles la société Renault-Nissan, juridiquement localisée à Amsterdam !

    Bon, mais si on dort dans les plis du drapeau tricolore et qu’on veut malgré tout acheter un véhicule fabriqué par Renault en France ? C’est possible, mais ce ne sera pas pour les petites bagnoles les plus vendues.

    Renault fabrique à l’usine Georges-Besse de Douai (Nord) : Renault Scenic IV, Renault Talisman, Renault Espace V. À l’usine Renault de Flins (Yvelines) : Renault ZOE, Nissan Micra. À l’usine Alpine-Renault de Dieppe (Seine-Maritime) : Alpine A110. À l’usine Renault de Sandouville (Seine-Maritime) : Renault Trafic III, Fiat Talento, Nissan NV300. À l’usine Renault de Maubeuge (Nord) : Renault Kangoo II, Mercedes Citan, Nissan NV250. À l’usine Sovab-Renault de Batilly (Meurthe-et-Moselle) : Renault Master III, Nissan NV400, Opel Movano.

    Ces bagnoles ne sont pas dans vos projets, ou dans vos moyens ? Vous cherchez toujours une caisse fabriquée en France, même si elle n’a pas le losange ?

    Allons chez PSA voir le lion de Peugeot et les prestigieux chevrons de Citroën. La plus vendue, la 208 a quitté l’usine de Poissy pour être fabriquée à Trnava (Slovaquie) et sur le tout nouveau site de Kénitra (Maroc). Même topo sur d’autres segments : le nouveau SUV Peugeot 2008 est délocalisé à Vigo (Espagne).

    Mais c’est tout de même mieux chez PSA. L’usine PSA de Sochaux (Doubs) : Peugeot 3008 II, Peugeot 308 II, Peugeot 5008 II, Opel Grandland X. L’usine PSA de Poissy (Yvelines) : DS 3 Crossback. L’usine PSA de Mulhouse (Haut-Rhin) : DS 7 Crossback, Peugeot 508 II. L’usine PSA de Rennes-La Janais (Ille-et-Vilaine) : Citroën C5 Aircross, Peugeot 5008 II. L’usine SEVEL Nord à Lieu-Saint-Amand (Nord) : Peugeot Expert III & Traveller, Citroën Jumpy III & SpaceTourer, Opel Vivaro & Zafira Life, Toyota ProAce & ProAce Verso, Vauxhall Vivaro.

    Mais il y a d’autres voitures fabriquées en France en notamment les Toyota Yaris II et Yaris II ainsi que le futur petit SUV de la marque japonaise à l’usine TMMF à Onnaing, près de Valenciennes (Nord). Il y a encore chez Daimler AG dans son usine « Smartville » d’Hambach (Moselle) : la Smart ForTwo. Et puis, si vous faites partie des premiers parmi les premiers de cordée, vous pouvez vous offrir une Volkswagen mais par n’importe laquelle, la Bugatti-Chiron fabriquée à l’usine Bugatti de Molsheim (Bas-Rhin) !

    Depuis le 15 mai dernier, la presse annonce entre autres, le non-renouvellement d’une partie de la gamme Renault (Espace, Scénic, Talisman, Mégane et Koléos), la fermeture des usines de Dieppe, Choisy, Fonderie De Bretagne et Flins. Puis la suppression de 4 000 salariés jugés en trop en recherche et développement. Ces annonces relayées par la presse rappellent le scénario de 2012. La direction avait déjà utilisé la presse pour annoncer de probables fermetures d’usines et notamment celle de Flins. Cela avait pour objet de générer un climat de peur parmi le personnel pour ensuite conditionner, dans un accord de compétitivité, le maintien d’une partie de l’activité (dans un temps court) à l’acceptation de moins-disant sociaux.

    Pour mémoire souvenons-nous que Renault avait déjà bénéficié en 2011 d’un prêt de 3 milliards qui ont finalement servi à financer les externalisations et délocalisations des activités industrielles et d’ingénierie Renault. Avec entre autres, la délocalisation totale de la Clio 5 en Turquie et Slovénie.

    Qu’est-ce qu’il va dire, ou promettre not’ bon président ? Ouate Inde scie…

     

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    Sources:

    https://www.autoplus.fr/peugeot/208/actualite/Peugeot-208-Production-France-Usine-1544020.html

    https://www.auto-moto.com/actualite/en-chiffres/voitures-plus-vendues-france-mois-par-mois-2018-classement-30-premiers-modeles-marche-francais-157732.html#item=4

    https://www.marianne.net/economie/pret-de-5-milliards-renault-la-preuve-de-la-demagogie-du-gouvernement-sur-les-paradis

     

  • Massacre à Villeurbanne. Terroriste ? Non… « Déséquilibré… »

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    Un « déséquilibré » poignarde, éventre, mutile, saigne des gens qui attendaient à une station de métro de Villeurbanne. Un jeune homme de 19 ans est mort, huit autres passants ont été blessés dont trois grièvement. Simple fait divers commis pas un « déséquilibré » proclament les autorités, relayées comme toujours dans le déni de réalité par les médias. Il aurait dit, en maniant le couteau dans de la viande forcément mécréante : « Ils ne lisent pas le coran ! » Il a été maîtrisé et remis aux flics par des employés de la société de transport et des passants, certains d’origine maghrébine, des résistants. Il faut aussi savoir que l’égorgeur est un « demandeur d’asile » afghan. Et donc une personne à laquelle notre pays a ouvert ses frontières et ses aides. « Faï de ben a Bertrand, té lou ren en cagan ! » dit-on chez nous (« Fait du bien à Bertrand, il te le rend en te chiant dessus »).

    Ingratitude ? Non, Taqîya, une doctrine qui autorise tout musulman à faire usage de tromperie afin de se défendre ou afin de répandre l’islam.

    Mais les « zautorités » refusent de considérer cet acte barbare comme un attentat terroriste. Déni de réalité, impuissance devant la menace islamique, lâcheté.

    Si ce tueur est un déséquilibré c’est pour une raison simple : il est la première victime - avant même ceux qu’il a agressé et tué parce « qu’ils ne lisaient pas le coran » – de l’islam, cette idéologie moyenâgeuse, mortifère, fanatique, intolérante, profondément inégalitaire et injuste, véritable cancer de l’esprit.

    Le demandeur d’asile tueur, cette « chance pour la France » vivant à nos crochets, na pourtant fait que se conformer à la lettre de son coran saignant, Il n’a fait qu’appliquer ce qui est prescrit explicitement dans le Coran :

    « Sourate 3, verset 59
    En quelques lieux, qu’ils soient, ils [les infidèles] seront couverts de malédiction. On les tuera partout où on les trouvera.

    Sourate 4, verset 56
    Ceux qui ne croient pas à Nos Versets, (le Coran) Nous les brûlerons bientôt dans le Feu. Chaque fois que leurs peaux auront été consumées, Nous leur donnerons d’autres peaux en échange afin qu’ils goûtent au châtiment. Allah est Puissant et Sage ! »

    Il y en a des centaines comme ça d’appels au meurtre. Pour réfléchir à cet état de fait : je vous conseille de lire, relire et méditer le livre de Michel Onfray – « Traité d’athéologie » – chez Grasset, dont voici quelques feuilles :

    « […] Près de deux cent cinquante versets - sur les six mille deux cent trente-cinq du Livre - justifient et légitiment la guerre sainte, le djihad. Assez pour que se trouvent noyées les deux ou trois phrases bien inoffensives qui invitent à la tolérance, au respect de l’autre, à la magnanimité ou au refus de la contrainte en matière de religion (!). Dans un pareil océan de sang, qui peut encore prendre la peine de s’arrêter sur deux ou trois phrases qui invitent plutôt à l’humanité qu’à la barbarie ? D’autant que la biographie du Prophète témoigne : on y trouve constamment le meurtre, le crime, l’épée et l’expédition punitive. Trop de pages invitent à l’antisémitisme, à la haine des juifs, à leur spoliation et leur extermination pour qu’un combattant musulman ne se croie pas légitimé à passer les juifs par le fil de l’épée.

    /… 

    Au sein même de la communauté musulmane de prétendus semblables, la hiérarchie persiste : les hommes dominent les femmes, les religieux dominent les croyants, les fidèles pieux dominent les pratiquants tièdes, les vieux dominent les jeunes. Phallocratie, théocratie, gérontocratie, le modèle tribal et primitif des origines ne cesse pas depuis treize siècles. Il est fondamentalement incompatible avec les sociétés issues des Lumières. Le musulman n’est pas fraternel : frère du coreligionnaire, oui, mais pas des autres, tenus pour rien, quantités négligeables ou détestables.

    /…

    Un livre datant des premières années de 630, hypothétiquement dicté à un gardeur de chameaux illettré, décide dans le détail du quotidien de milliards d’hommes à l’heure de la vitesse supersonique, de la conquête spatiale, de l’informatisation généralisée de la planète, du temps réel et universel des communications généralisées, du séquençage du génome humain, de l’énergie nucléaire, des premières heures du post-humain… La remarque vaut pour les loubavitchs accrochés à la Torah et au Talmud qui partagent eux aussi une semblable ignorance du temps qui passe.

    Expliquer que l’égalité des sexes, les droits de l’homme ET DE LA FEMME ont vocation à être généraux, transnationaux et supérieurs aux édits religieux, quels qu’ils soient, c’est peine perdue.

    Expliquer que la liberté d’apostasie, de blasphème, la caricature, l’humour noir jaune ou rose sont impératifs en démocratie c’est se retrouver face à un mur d’incompréhension.

    Expliquer aux nouveaux arrivants que nos lois, nos usages et nos habitudes s’appliquent de façon absolue sur notre territoire et que c’est à prendre ou à laisser (repartir si pas d’accord) aurait dû être obligatoire et aurait dû s’accompagner de la signature d’un engagement en ce sens pour chaque nouvel arrivant. Cela aurait dû être mis en place depuis des décennies et nous n’en serions pas là aujourd’hui. Nous pourrions dire « Vous avez signé, vous saviez qu’il n’y aurait aucune discussion possible sur ces points, si vous n’êtes plus d’accord, au revoir et merci ».

    Faute d’avoir fait cela, nous nous retrouvons avec quelques millions de personnes qui n’auront de cesse de torpiller morceau par morceau l’ensemble de nos valeurs pour introduire les leurs. D’accommodement en accommodement notre société se renie et se saborde.

    Mais si vous proclamez ces évidences, vous tombez immédiatement sous le coup de « l’excommunication » moderne : on vous traite d’islamophobe, terme bidon mais que ses adeptes s’ingénient à assimiler à « raciste ».

    Expliquer à un bobo/gaucho/humaniste que l’islamophobie n’a rien, mais alors rien à voir avec du racisme c’est peine perdue. L’islamophobie est un racisme imaginaire. Elle n’est que la conclusion intellectuelle qui s’impose tout naturellement si l’on veut défendre les valeurs intangibles, celles que nous devons préserver à tout prix… Au moins ici.

    « Islamophobe » ! Ce mot, loin de désigner un quelconque racisme – une religion est-elle une « race » ? - a été inventé de toutes pièces par les islamogauchistes pour disqualifier ceux qui résistent aux intégristes de tous poils. Pourquoi ne devrai-je pas avoir peur de l’idéologie chrétienne, de l’idéologie musulmane, comme de l’idéologie trumpienne, marxiste ou ultralibérale ?

    Pourtant, dès que vous prétendez critiquer cette dangereuse névrose collective qu’est l’islam (sans majuscule) on vous jette cet anathème définitif, censé vous rouler dans la fosse de la honte et de l’opprobre : « vous êtes islamophobe ! » Voilà l’arme nucléaire des islamogauchismes qui - hélas – sévissent dans bien des milieux « autorisés » et particulièrement dans les médias, du Monde à Libération (journaux de milliardaires) sans oublier – hélas – Médiapart.

    Les islamogauchistes, que j’appelle d’un nom plus précis - les « nazislamistes » - sont ces archéo-nostalgiques du Grand Soir. Comme ils ont léché le cul de Staline en d’autres temps, ils lèchent les babouches des tueurs d’allah (sans majuscule bien sûr). Ils voudraient nous rouler dans la culpabilisation : « Ces malheureux (ils parlent des tueurs, pas des victimes) sont victimes du colonialisme, ils ont subi l’esclavage, nous pillons leurs pays », et gnagnagna…

    En fait, ces planqués sont des lâches et de vulgaires collabos : ils pensent qu’en léchant les babouches de cette minorité de fanatiques voulant imposer partout la terreur théocratique, leurs « maîtres » leur seront reconnaissants et les remercieront chaleureusement… Comme les « idiots utiles » de Staline.

    Y a-t-il au monde peuples plus colonialistes que les arabo-musulmans ? Ils ont colonisé une partie du monde, de l’Indonésie à l’Atlantique, du Caucase à l’Atlas ! La colonisation la plus brutale qui soit : massacre systématique des hommes, table rase de toute trace de civilisation précédant leur arrivée, création de sous-hommes, les « dhimmis », établissement de l’esclavage à grande échelle, mépris des femmes, etc.

    Y a-t-il au monde peuples plus esclavagistes que les arabo-musulmans ? Les razzias des arabo-musulmans ont saigné l’Afrique bien avant et bien plus que la sordide traite atlantique. Et elle dure toujours, en Mauritanie, en Arabie saoudite entre autres ! Dans les sociétés musulmanes, l’esclave était (est ?) considéré comme une chose, un meuble, un outil. Il peut donc être vendu, donné, légué, loué. Il n’est, à ce titre qu’une « simple marchandise ». Il se range, en règle générale, dans la même catégorie que les animaux.

    Bon, n’en jetons plus, la coupe est pleine. Et pendant ce temps faut-il s’étonner que « La Bête » se réveille ?


    Illustration: Merci à Danzigzer