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LANTIFADAS - Page 62

  • Préfecture de police : Un flic sourd « entend des voix » et tue !

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    Massacre au sein du saint. Chez ceux-là mêmes qui sont chargés de rechercher, de traquer, de neutraliser les ennemis de la république. En particulier les terroristes islamistes mais pas que.

    Des questions, il y en a des tonnes à se poser.

    D’abord, comment un homme seul, armé d’un couteau de cuisine, peut-être en céramique, et d’un ouvre-huîtres a-il pu tuer quatre personnes ? Ça ne se fait pas comme ça. On peut supposer que la première victime a été la femme, égorgée selon le rituel mahométan. La femme, c’est la créature du diable, on l’égorge donc par-derrière. Elle n’a pas dû avoir le temps de crier. Mais ça fait du raffut un corps qui tombe, s’accrochant désespérément, dans un torrent de sang qui jaillit, aux meubles qui l’entourent, renversant l’ordinateur ou le casier. Et les trois autres ? Des flics d’élites, jeunes, costauds. L’effet de surprise trois fois de suite ? Ça fait du bruit un poignardage. Un mec, ça gueule, ça se défend. Une simple chaise suffit à repousser un mec seul armé d’un couteau. Et les trois autres se seraient fait suriner sans réagir ? L’un après l’autre ? Ça donne une drôle d’idée de leur qualité de combattant… Bref, passons.

    Et puis comment le top du top des flics a-t-il pu ignorer ou couvrir les agissements d’un type converti depuis dix ans à l’islam ? À oui mais ce n’est pas un délit de se convertir à une religion. Oui mais pas à n’importe quelle religion… L’islam étant gangrené par l’islamisme, la hiérarchie policière aurait pu pour le moins s’inquiéter de cette subite conversion. Connaître les motifs de cette soudaine foi, enquêter sur sa famille, ses fréquentations, la mosquée où il s’endoctrinait. D’autant plus que l’homme s’était ouvertement réjoui des massacres de 2015. Des collègues à lui s’étaient offusqués et avaient averti oralement leur hiérarchie. Sans résultat. Et ce bien que le personnage en question aient la main sur des informations marquées secret-défense ! Un vulgaris pekinos qui traite quelqu’un de PD risque le tribunal et pire si affinité et un flic opérant au sein de l’une des unités les plus puissantes de France, proférant son soutien à des tueurs salafistes, n’est pas même interrogé par sa hiérarchie sur ses propos ? Castaner a dit que les fonctionnaires de police étaient contrôlés… tous les sept ans ! Bonjour le foutoir… On est bien protégé !

    Surtout, le ministre a entonné tout de suite et comme d’habitude les trompettes du déni : « la piste terroriste n’est pas envisagée pour l’instant ». Tu parles, un attentat voire une cellule terroriste au sein même de ceux chargés de lutter contre le terrorisme, bonjour l’image !

    On trouvait donc au tueur des justifications personnelles, de mal-être à cause de sa surdité, de problèmes avec sa hiérarchie. Bref comme d’hab, on masquait la réalité derrière des justifications psychologiques voire psychiatriques ; on agitait la victimisation matinée de mal-être social et même de racisme. Il a fallu attendre le deuxième jour pour qu’un communiqué de Cnew fasse état de la conversion du tueur à l’islam. Une conversion non pas datant de dix-huit mois comme d’abord annoncée mais de plus de dix ans. Largement de quoi être approché puis retourné par les responsables salafistes qui ont pu le contacter à la mosquée qu’il fréquentait, en s’y rendant déguisé en bédouin d’un autre âge en plus ! Bonjour la sagacité de ces flics d’élite.

    Comme d’habitude, à chaque attentat terroriste, l’essentiel des médias grand public appui sur le bouton « déni d’islamisme ». Pour préserver le fantasme intello bobo d’une diversité heureuse, des frontières ouvertes à toutes ces « chances pour la France » et surtout pour le Medef qui use et abuse de cette main-d’œuvre taillable et corvéable à volonté. A contrario de ce « vulgaire populo » qui, lui, derrière son gilet jaune, perçoit bien qu’une communauté politique exagérément hétérogène est appelée à vivre des contradictions culturelles de moins en moins soutenables.

    Non, qu’ils nous serinent les « milieux autorisés » comme disait Coluche, l’homme qui se rend coupable d’un attentat serait en fait une victime de la société où il vit. Seule la désespérance sociale le rendrait sensible aux sirènes islamistes. Plus encore : l’exclusion qu’il subirait le pousserait à cette forme de résistance condamnable mais compréhensible que serait le terrorisme islamiste. Ben voyons.

    Ce sont nous les coupables, qu’ils disent les me (r) dias. Dans nos sociétés qui marginaliseraient les populations issues de l’immigration, la petite criminalité et la grande devraient être considérées comme des actes de résistance. Mohamed Mérah = Jean Moulin, les frères Kouachi = l’affiche rouge. Et ceux qui osent critiquer l’islam sont frappés de l’excommunication : on les traite d' « islamophobes ». Et c’est donc, l’islamophobie qui serait à l’origine de l’islamisme. Lamentable.

    Il faut pourtant sortir de notre naïveté qui frôle le crétinisme et regarder les choses en face malgré les efforts constants et puissants pour le nier : l’islamisme nous a déclaré la guerre.

    Et en temps de guerre, on ne fonctionne pas comme en temps de paix. Fini la tranquillité émolliente. Il faudra bien accepter de la faire la guerre. Or nos peuples occidentaux - gavés de konneries inutiles, abrutis par des médias lèche-babouches par lâcheté ou opportunisme, manipulés par les réseaux sociaux, moralement désarmés par un « droit-de-l’hommisme » dévoyé – savent pleurer mais plus combattre, préfèrent porter des fleurs sur les tombes des massacrés que de prendre les armes contre les massacreurs.

    Jusqu’où nos sociétés reculeront-elles, paralysées par cette formidable idée des Droits de l’homme que nos ennemis retournent contre nous pour nous empêcher de nous défendre ?


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  • Comment l’État macronien organise le « trou de la Sécu ».

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    Pendant que la chichimania occupe le populo, les macronneries continuent. Ainsi, par un communiqué Reuter (agence ultralibérale s’il en est), on apprend que, contrairement à ce qui était prévu - un excédent de 700 millions - « Le budget de la Sécurité sociale accusera un déficit de 5,4 milliards d’euros en 2019, puis de 5,1 milliards d’euros en 2020 sous les effets conjugués des mesures d’urgence adoptées pour répondre à la crise des "Gilets jaunes" et d’une conjoncture moins favorable qu’anticipée.…/… La branche de l’assurance vieillesse (régime général et Fonds de solidarité vieillesse) creusera le déficit de 4,1 milliards d’euros en 2020, celle de la branche maladie, de 3 milliards d’euros. Les branches accidents du travail/maladies professionnelles (ATMP) et famille connaîtront à elles deux un excédent de plus de 2,1 milliards d’euros. »

    La faute à qui ? Ben, aux Gilets jaunes pardi ! Mais aussi à ces salauds de vieux qui ne veulent même pas avoir le civisme de mourir.

    Eh ! Oh ! La réalité est tout autre. Les baisses de cotisations décidées par l’État étaient jusqu’ici compensées par l’État, et étaient donc neutres pour le budget de la Sécurité sociale. Ce n’est plus le cas, de façon à faire apparaître les comptes de la Sécurité sociale dans le rouge. Les "mesures gilets jaunes" sont utilisées pour afficher un déficit et justifier de nouvelles coupes dans les prestations sociales. « La Sécurité sociale prendra à sa charge le financement des mesures d’urgence en faveur du pouvoir d’achat », écrit le gouvernement, noir sur blanc, dans le projet de loi de finances pour 2020 adopté récemment en Conseil des ministres. Ben voyons. On reprend largement d’une main ce que l’on a pingrement consenti, la trouille au cul, de l’autre. Le pillage systématique de la Sécu était d’ailleurs annoncé dès 2017, dans la loi de programmation des finances publiques, le gouvernement avait décidé que les potentiels excédents de la Sécu viendraient combler le déficit de l’Etat.

    La Sécu, longtemps endettée est arrivée à l’équilibre et devait, dans les années qui suivent, dégager un confortable bénéfice. De quoi financer la misère des urgences dans les hôpitaux, de quoi financer les EHPAD qui manquent scandaleusement de personnel, de quoi financer le « cinquième risque », celui de la dépendance, de quoi financer le manque d’accueil collectif des jeunes enfants  ! Tè, fume… Pas bon ça Coco. La Sécu, faut qu’elle soit en déficit, pour la déconsidérer dans l’esprit du public, pour transférer toujours plus vers les assurances privées avant la curée finale. Donc ce pognon, résultat de la saine gestion de l’institution, va être - et légalement ! - siphonné par l’État !

    Mais l’État promet de faire des éconocroques intelligentes : moindre revalorisation des retraites, prix des médicaments, optimisation des achats… Broutilles. Par contre ces salauds de vieux croyaient s’être débarrassés de cette scandaleuse injustice qu’était le découplage de leur pension d’avec l’inflation ? Té, fume… Sur la branche vieillesse, l’exécutif a décidé à nouveau de sous-indexer les pensions par rapport à l’inflation. Elles n’augmenteront que de 0,3 % en 2020, alors que l’inflation est autour de 1 % - « sauf pour les retraités modestes aux pensions brutes inférieures à 2000 euros par mois ». Ça, c’est la vaseline !

    La réalité est bien différente. Ainsi, la "transformation" du crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) en baisse de cotisations sociales, privera la Sécu d’environ 26 milliards d’euros selon la Cour des comptes ! Ainsi la suppression des cotisations salariales sur l’assurance maladie et l’assurance chômage va coûter un bras. Ainsi la suppression totale des cotisations sociales au niveau du Smic, c’est un coût de 4,5 milliards d’euros pris à la Sécu, etc.

    Le but, la « lutte finale » c’est de se débarrasser de la Sécurité sociale. Les « cadeaux » aux gilets jaunes sont pain béni pour la Macronnie ultralibérale. Ils permettent de continuer, « tête haute et mains propres » la mise à mort programmée de cette pépite sociale française qu’est la Sécu. La Sécurité sociale, réalisation majeure du Conseil National de la Résistance, est depuis longtemps dans le collimateur des ultralibéraux. Pensé et élaboré par le député communiste du Front populaire Ambroise Croizat, la Sécu avait pour mission première de « mettre fin à l’obsession de la misère ». Son organisation est paritaire entre les organisations syndicales et le patronat. Son financement est pour l’essentiel (61,7 %) assuré par les cotisations salariales et patronales ainsi que par l’impôt (35,1 %). Le but du patronat, depuis la création de la Sécu, c’est de refiler le bébé à l’État, c’est-à-dire faire financer la Sécurité sociale par l’impôt et non plus par les cotisations. C’est la sempiternelle rengaine patronale de la « baisse des charges ». Les cotisations sociales ne sont pas des « charges » – ce vocable péjoratif est d’inspiration patronale – mais des « salaires différés » qui viennent protéger les salariés, en matière de santé, d’accident du travail ou pour la retraite. Les réduire, voire les supprimer, c’est enterrer le principe de solidarité avant de brader de système au privé. Les requins de l’assurance privés sont à l’affût depuis longtemps. Sarko frères en ont rêvé, le Rothschild-boy Macron va le faire !

    - « Eh ! Philippe, pour détourner le regard du populo, si on proposait la canonisation de Chichi ? »

     

    Illustration X - Droits réservés

  • Ouiquinde gastronomique : La tête de veau en l’honneur de feu Chichi

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    Qu’il est bon d’être mort pour ouïr les lécheurs,

    Les médias hypocrites et les bonimenteurs !

    Celui que l’on révère : Chichi, lui, in vivo

    Adorait dévorer une tête de veau !

    C’est un plat collectif, festif, essentiel ;

    C’est un repas royal ou… Présidentiel !

    Me méfiant des veaux qui ont "la vache folle",

    Je vais chercher les miens en terres cévenoles.

    Pour avoir du bon veau, et pas de la charogne,

    Je commande la tête au boucher de Langogne.

    Et je vais la chercher moi-même, par le train

    Qui, de Nîmes, hardiment, gravit avec entrain

    Les mille et un lacets, les soixante tunnels,

    Les trente viaducs suspendus en plein ciel

    Reliant les splendeurs de la cité romaine

    Aux sauvages attraits des terres lozériennes.

    Heureux, le nez au vent, ma glacière à la main,

    J’en prends plein les mirettes, je hume le terrain

    Qui défile et s’enfuit, lentement, pas pressé.

    Cités mélancoliques de mines délaissées,

    Juvéniles chahuts, rires à chaque arrêt,

    À-pics vertigineux, oppressantes forêts,

    Rivières et torrents, petits lacs de barrages

    Viennent et disparaissent après chaque virage.

    Paisibles bovidés paissant dans les prairies,

    Spectacle interrompu par chaque galerie,

    Le voyage est trop beau, le voyage et trop court…

    - Oh ! Victor, bois un coup, arrête tes discours,

    Si maïses coume aco, la testa de vedeù

    Bouto, la manjaren beleù a l' an nouveù ! (l)

    - C’est bien vrai. Sers-moi donc un primeur agréable

    Qui chatouille si bien mon gosier insondable.

    Zou ! Trinquons et buvons, et ne fais pas la bête,

    Je vais te raconter comment on fait la tête.

    Lorsque j’arrive avec mon chef en bandoulière,

    La Lionne a déjà sorti la gazinière

    Des grandes occasions. Ce qui se fait de mieux :

    Un feu sur doubles rampes se croisant au milieu.

    Dans une oulo (2) profonde, voire une lessiveuse

    On met à dégorger la tête voyageuse

    Dans de l’eau claire et froide pendant une heure ou deux.

    La laisser une nuit pourrait être hasardeux.

    On la sort, on la met sur un large torchon,

    On noue les quatre coins tout comme un baluchon.

    Ainsi enveloppée, au fond de la bassine

    On place, dans l’eau chaude, la caboche bovine.

    Trois oignons giroflées, trois poignées de sel gros

    Du thym et du laurier, du persil, mais pas trop.

    Quand ça bout on écume avec application,

    Puis on baisse le feu à tout petit bouillon.

    On laisse cuire ainsi entre trois et quatre heures

    Cette lenteur voulue rend la cuisson meilleure.

    Pour la vérifier, je plante une fourchette :

    Quand ça rentre tout seul, on chauffe les assiettes.

    Soulevant le torchon, je sors alors la tête

    Que je fais égoutter, coiffée d’une serviette

    Pour bien tenir au chaud la viande qui tremblote.

    Alors ma femme attaque la sauce ravigote :

    Pour une tête entière, donc pour dix gros mangeurs,

    Gourmands tant que gourmets, solides bambocheurs,

    Elle écrase au mortier persil et estragon,

    Cerfeuil et ciboulette, câpres et cornichons,

    Tout cela manié dans trois hectos de beurre,

    Elle s’en servira dans sa phase ultérieure.

    Elle met à réduire huit ou dix échalotes

    Dans un verre de vinaigre, au fond d’une cocotte,

    Lorsque c’est bien réduit, trois cuillers de farine

    Dans du beurre fondu (pas de la margarine)

    Puis elle mouille avec cinq verres de bouillon,

    Le jaune de cinq œufs, sale avec précaution.

    Tournant au bain-marie, elle incorpore alors

    Deux bons hectos de beurre, du demi-sel d’Armor.

    Lorsque la sauce prend certaine consistance

    Elle y met l’appareil préparé par avance

    Et manie bien le tout à la cuillère en bois.

    La sauce est enfin prête pour un repas de choix.

    C’est alors que j’apporte, avec solennité

    La tête décorée avec habileté

    Par du persil frisé, dans le nez, les oreilles.

    L’assemblée s'esbaudit devant cette merveille.

    Les manches retroussées, armé du Laguiole,

    Je découpe en public la brûlante bestiole

    Les joues souples et grasses qui fument et tressautent,

    Le dedans du palais, puis la langue et la glotte,

    Les viandes délicates, mousseuses du cou,

    Les oreilles craquantes, les muscles des bajoues,

    Enfin, le dernier bout, le bonheur des gourmets :

    La pointe du museau, avec les trous du nez.

    Nicole distribue : chacun son bout de veau,

    Moi, je remplis les verres avec du vin nouveau.

    Cessons pour aujourd’hui ce conte culinaire

    Ma tripe est assoiffée, remplis raz bord mon verre

    De ce nectar divin de la Coste-du-Rhône

    Et laisse près de moi la coupe et la bonbonne.

     

    Ingrédients et proportions pour huit personnes :

    Une tête de veau, même sans la cervelle (depuis la vache folle les bou­chers la vendent écervelée), ça pèse autour de dix kilos et plus. Mais il reste beaucoup moins de viande mangeable !

    Pour la tête : - 1 tête sans la cervelle (dommage…), - 3 ou 4 gros oignons piqués de clous de girofle, - 2 poignées de gros sel de Camargue, - 6 feuilles de laurier, - 3 branches de persil plat, - eau à la demande (la tête doit toujours cuire entièrement immergée, au besoin mettez un poids dessus).

    Pour la sauce ravigote : - 3 branches de persil plat, - 3 branches d’estra­gon, - quelques tiges de cerfeuil, - autant de ciboulette, - 1 cuillerée à café de câpres, - 2 cornichons. Tous ces ingrédients, pilés au mortier, seront maniés dans un hecto de beurre.

    - 5 échalotes, - 1 verre de vinaigre, - 2 cuillerées de farine. - 3 verres de bouillon, - 3 jaunes d’œuf, - 2 hectos de beurre demi-sel.

    - persil pour décorer les oreilles et les trous de nez.

     

    Les vins conseillés :

    La tête de veau s’accompagne idéalement avec des vins primeurs, des vins de soif, gouleyants, joyeux et sans chichis : Tulette, Sainte-Cécile-­les-Vignes, Rochegude, Gaugeac, Saze.

    Ventoux de : Mormoiron, Caromb, Bédoin. Tricastin.

    Coteaux du Languedoc.

    Côtes de Provence.

    Et même, en cas de pénurie de Côtes-du-Rhône, Bordeaux légers et Vins de Loire.

     

     

    (1) Si tu parles comme ça, la tête de veau, on la mangera peut-être, mais l’an prochain !

    (2) oulo : grand récipient profond destiné à la cuisson des aliments, soit suspendu à la crémaillère d’une cheminée, soit posé sur un trépied.

     

    Illustration: merci à Placide