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résistance - Page 25

  • En avant première : le discours du président que l’on aimerait entendre !

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    Françaises, Français. Mes chers compatriotes.

     

    Je vous ai vus venir avec vos gilets jaunes

    Occuper les ChampsZés comme autant de cyclones,

    Dans le feu et le bruit, les cris, l’agitation

    Vous avez exigé, hurlant, ma démission.

    Vous êtes excédés, fourbus, ruinés, furax

    Parce que vous subissez un déluge de taxes.

    Je ne vous promets pas des larmes et du sang

    Mais pas non plus des jours toujours beaux et dansants

    Si vous m’avez élu, c’est comme antitoxine

    Pour barrer le pouvoir aux troupes de Marine

    Mais c’est moi qui hérite du terrible bilan

    D’un pays ravagé par les sombres ruffians

    Qui dix années durant ont saccagé la France,

    L’ont pillée, l’ont volée pour se gaver la panse.

    Leur héritage ? Ce sont des millions de chômeurs,

    Des usines parties se faire voir ailleurs,

    Des riches qui se goinfrent et des pauvres qui crèvent,

    Des banquiers qui s’empiffrent, des travailleurs en grève,

    Et partout l’ostracisme et l’insécurité

    Tristes enfants bâtards de l’inégalité.

    Alors qu’attendez-vous ? Que me faut-il vous dire ?

    Que l’on rase gratis ? Que tout va refleurir

    Quand revient le printemps ? C’est faux, vous le savez.

    On va tous en chier, on va tous en baver.

    Mais on s’en sortira si on combat ensemble

    Debout dans la tourmente, et sans que la main tremble !

    Terrasser le chômage n’est pas une utopie

    Si nous faisons enfin renaître l’industrie

    Que des patrons voyous ont délocalisé

    Pour que leurs actionnaires soient de fric arrosés.

    Pour cela nous allons rétablir des frontières

    Contre tous les produits que des pays gangsters

    Font faire à des esclaves traités comme des chiens

    Puis nous vendent en dessous de leur prix de revient.

    Relancer la recherche, revoir l’éducation,

    Redonner à chacun l’espoir en son action,

    Ressouder le pays et croire en sa nation.

    Redonner au Français plus de pouvoir de vivre

    En débarquant enfin de ce gros bateau ivre

    Qu’est un pays dont le service de la dette,

    Première dépense que le pays budgète,

    Gaspille, chaque année, à des fonds étrangers

    Quarante gros milliards qu’il faut bien allonger.

    Pour cela, citoyens, mobilisons l’épargne

    Et rachetons la dette, avec constance et hargne,

    Pour que tous ces milliards ne partent pas ailleurs

    Mais servent à relancer, et l’emploi, et le beurre.

    Mais pour ça, citoyens, que pouvons-nous tout seuls

    Sinon, c’est évident, aller au casse-gueule ?

    C’est avec plus d’Europe que nous réussirons,

    Non pas de cette Europe de corrompus poltrons

    Au service des banques, des multinationales

    Et de toutes leurs merdes ultralibérales,

    Mais d’une Europe unie au service des Hommes,

    Solidaire, puissante, respectée, autonome,

    Capable, s’il le faut, de taper sur la table,

    Et pas cette limace impuissante et minable

    Qui se couche en bavant devant tous les diktats

    Des Ricains, des Chinois, des nations scélérates

    Qui pillent son pognon, ses actifs, son savoir.

    Pour cela, citoyens, je ferais mon devoir :

    Faire face à Merkel, pas comme un simple pion

    Foutre la zizanie dans cette Commission

    De boutiquiers marrons se laissant enfiler

    Par les lobbies voraces émanant du privé.

    Debout peuple français, debout peuple éternel

    Ô peuple forgeron du droit universel

    Peuple qui abattit les tours de la Bastille,

    Peuple dont les idées de par le monde brillent,

    Qui, lorsqu’il se fâchait, brisait sous son bâton

    Le géant Robespierre et le titan Danton.

    Mes chers compatriotes, vous voulez un patron ?

    Je serais celui-là, couillu et pas poltron !

    Et si, après mon temps j’ai mal fait mon boulot

    Je poserai moi-même mon cou sur le billot !

     

    Victor Ayoli

     

    Bon. On peux toujours rêver...

     

    Illustration X - Droits réservés

  • Connaissez-vous le Salon de l’évasion fiscale ?

    évasion fiscale Charb.jpg

     

     

    Il s’en passe de belle dans notre hexagone.

    Bien sûr, la révolte des « sans-dents », de la « France d’en-bas » qui vêtue de jaune – la couleur des cocus - manifeste depuis ce ouiquinde contre des taxations excessives.

    Mais il s’en passe d’autres : une semaine avant, ils ont été précédés dans leur lutte contre les impôts par d’autres redoutables révolutionnaires : savez-vous que les vendredi 9 et samedi 10 novembre s’est tenu discrètement un véritable « salon de l’évasion fiscale » ? Pas n’importe où : à Cannes, dans les salons du palace Le Martinez, propriété du Qatar. Eh ! Ils n’ont pas appelé ça comme je viens de vous l’écrire mais International Emigration & Luxury Property (IELP) soit « Salon de l’émigration et de la propriété de luxe ».

    Comment ? Chercher des propriétés luxueuses pour des émigrés ? Ben oui ! En fait, il s’agit d' « émigrés » désirant obtenir une nouvelle nationalité par l’investissement ou pour mettre leur patrimoine à l’abri. Vous voulez devenir Chypriote ? Facile, il suffit d’investir au moins deux millions d’euros dans l’immobilier local. Si vous êtes un peu gêné, vous pouvez demander la nationalité de Malte, pour seulement 650 000 euros d’investissement dans l’immobilier maltais. Si vous êtes radin, vous pouvez toujours demander la nationalité portugaise, autour de 500 000 euros et même la moitié si vous investissez dans un bien de plus de 25 années.

    Environ 90 pays proposent ainsi des passeports ou "visas dorés", dont plusieurs de l’Union européenne, comme Chypre, le Portugal ou Malte, ou encore des juridictions comme les Bahamas ou les Émirats Arabes Unis, selon l’OCDE qui s’est inquiété que cela puisse servir à blanchir de l’argent ou frauder le fisc.

    Voilà ce qui était au centre des « travaux » de cet étrange salon. En fait, il s’agissait d’un grand raout international pour les schémas d’optimisation fiscale et vente de nationalités dans les paradis fiscaux. Il s’est déjà tenu à Cannes l’an passé dans la plus grande discrétion publique.

    Eh ! Ce n’était pas la fête de l’Huma ! Pas de stand merguez, que du caviar. Faut dire que c'était sur invitation et que le droit d’entrée était de mille euros. Plus 500 euros pour la soirée de gala. Bof, un pourboire pour ce public ciblé, environ 60 entreprises de trente pays et 500 visiteurs. Parmi ces « happy few », on notait la présence de banques privées, de consultants financiers, de promoteurs d’immobilier de luxe et de cabinets de juristes et d’immigration.

    Ils proposent un pack pour échapper à la fiscalité et à la justice, sachant que le salon ne s’adresse pas qu’à des gens qui se sont enrichis en toute légalité !

    Les participants ont ainsi pu s’instruire sur « la déclaration de revenus et de patrimoine dans l’Union européenne, aux États-Unis, au Canada, en Grande-Bretagne et d’autres pays développés », comment y enregistrer une société, y ouvrir un compte, ou se renseigner en matière d’optimisation fiscale.

    Il est vrai que s’il y a de plus en plus de pauvres, c’est parce qu’il y a de plus en plus de très riches ! Alors, l’augmentation du nombre de très grosses fortunes est convoitée par un nombre croissant de services et de programmes encourageant l’expatriation. L’organisateur délocalise ensuite le salon à Kiev, Moscou, Bombay et Shenzhen, avan ! t une étape réservée à l’immobilier très haut de gamme à Monaco.

    Vous aussi, ne laissez pas vos éconocroques sur le livret A ou sur une assurance vie famélique, optimisez, OPTIMISEZ ! Comment faire ? Simple, vous tapez sur Qwant (comme moi) ou sur votre moteur de recherche, et vous demandez « Cabinets conseil en optimisation fiscale » et vous aurez une profusion de rémoras prêts à vous servir de poisson pilote dans cet univers de requins sans scrupule.

    L’évasion fiscale est un acte félon pour le citoyen, c’est un crime de lèse vivre ensemble, une outrance à la première des dignités collectives : la volonté partagée de nous construire un destin commun, de nous élever au-dessus des barbaries quotidiennes produites par l’égoïsme. Elle coûte au bas mot 80 milliards par an au budget français. Alors ce pognon que Bercy laisse aux fraudeurs, il faut bien le prendre ailleurs, non ?


    Illustration: merci au très regretté Charb

  • Ils hurlent à la mort d'une femme ! Au nom de Dieu…

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    Regardez-les hurler à la mort. À la mort d’une femme, suppôt de Satan désignée de toutes les « religions » dîtes « du livre ». Son crime : avoir bu un verre d’eau elle, la « koufar », la chrétienne, dans un puits réservé aux musulmans. BLASPHEME ! Et une seule sentence : la MORT !

    On croit rêver, non, on cauchemarde devant une telle montagne de stupidité, de méchanceté. Elle a donc été appréhendée sans ménagements, emprisonnée, jugée et condamnée à la mort par pendaison. C’est la coutume au « pays des purs », le Pakistan. Devant les protestations internationales, la sentence n’a pas été exécutée immédiatement et Asia Bibi – c’est le joli nom de la condamnée – a même bénéficié, après huit années de prison, d’un acquittement « au bénéfice du doute » de la part de la Cour suprême pakistanaise ce 31 octobre.

    Depuis, à l’appel du Tehreek-e-Labaik Pakistan (TLP), un groupe religieux islamiste radical devenu parti politique, des manifestations massives bloquent les villes et réclament hystériquement la mort pour la « blasphématrice », pour la chrétienne, pour la Femme.

    Voilà où mène le fanatisme découlant logiquement de toutes ces névroses collectives appelées « religions du livre ». Peut-il en être autrement lorsque, de la naissance à la mort, chaque acte de la vie - de la manière de se laver à celle de manger, de la façon de chier à celle de faire l’amour – est codifié, écrit, imposé. Aucune liberté, aucune marge de manœuvre, aucun libre-arbitre, aucune critique admise. Il faut se soumettre ou mourir. Les musulmans ne sont-ils pas les premières victimes de ce cancer de l’esprit qu’est l’islam, une idéologie qui les façonne, leur pollue l’entendement et qu’il leur est interdit de quitter sous peine de mort ?

    Mais ne nous leurrons pas, ces dérives mortifères ne sont pas une « spécialité » de l’islam. Pour s’en convaincre, rappelons-nous l’histoire édifiante du chevalier de la Barre, chez nous, il y a à peine deux siècles et demi.

    C’est en août 1765 que les habitants d’Abbeville constatent qu’un crucifix du Pont-Neuf a été abîmé. Après quelques atermoiements, on finit par soupçonner un gentilhomme de dix-neuf ans, Jean-François Lefebvre dit le Chevalier de La Barre, déjà inquiété pour des propos impies et pour ne pas avoir accepté de se découvrir lors du passage d’une procession ! Terrible sacrilège...

    La condamnation du tribunal d’Abbeville le 28 février 1766 est sans appel : le Chevalier de La Barre est condamné à avoir un poing coupé, la langue arrachée et à être brûlé vif, après des aveux sous la torture et la découverte du « Dictionnaire philosophique » de Voltaire et d’autres livres licencieux chez lui. On n’a effectivement rien à envier aux pires exactions islamistes !

    Le Chevalier de La Barre essaie de se défendre tant bien que mal devant ce procès irrégulier en interjetant devant le Parlement de Paris, qui lui accorde d’être décapité avant d’être brûlé le 1er juillet 1766 par quinze voix contre dix. Voilà une bien belle indulgence ! En outre, Voltaire est clairement visé durant le procès par le rapport du conseiller Pasquier qui appelle l’autodafé du « Dictionnaire philosophique » mais aussi l’éradication de son auteur « que Dieu demande en sacrifice ». Foutez-moi Voltaire et ses satanés livres au barbecue, qu'ils proclament et réclament les calotins...

    L’arrestation du philosophe en tant qu’instigateur de cette profanation est donc réclamée, ce dernier se réfugie au pays de Vaud (en Suisse près de Lausanne) puis demande asile auprès du « despote éclairé » Frédéric II le Grand, roi de Prusse.

    De son exil, Voltaire s’élève contre l’iniquité et la cruauté de ce procès réclamant la révision de ce dernier, comme le montre sa lettre au Comte d’Argental :

    « L’atrocité de cette aventure me saisit d’horreur, et de colère. Je me repens bien de m’être ruiné à bâtir et à faire du bien dans la lisière d’un pays où l’on commet de sang-froid, en allant dîner, des barbaries qui feraient frémir des sauvages ivres. Et c’est là ce peuple si doux, si léger et si gai ! Arlequins anthropophages ! Je ne veux plus entendre parler de vous. »

    Le philosophe ne réussit pourtant pas à faire réviser le jugement, malgré ses protestations et la demande de réhabilitation, dans les cahiers de doléances, du chevalier par la Noblesse de Paris.

    Le chevalier De La Barre fut la dernière personne exécutée en France pour blasphème. Il est victime de l’obscurantisme religieux et des petits complots de la bourgeoisie locale (le lieutenant du tribunal d’élection chargé de l’enquête est un ennemi acharné du Chevalier depuis que sa tante, qui a recueilli La Barre, l’abbesse de Willancourt, a repoussé ses avances.). Sa cause deviendra aussi célèbre que celle de Calas à Toulouse et de Sirven à Castres.

    Son exécution, symbole de l’arbitraire de la justice et de sa collusion avec le pouvoir religieux, est l’un des grands événements amorçant le processus de « déchristianisation » de la France au XVIIIe siècle. Et une première marche de la Révolution. Il faudra cependant attendre La Convention en 1793 pour que le Chevalier de La Barre soit réhabilité avant d’être élevé à la figure de victime du fanatisme catholique au XIXe siècle. Il est devenu un symbole de la lutte pour la laïcité et une icône de la Libre-Pensée.

    Les malheureux peuples soumis au joug de l’islam en sont encore à cette époque. Il nous a fallu la grande Révolution pour nous débarrasser de cet obscurantisme religieux assassin, ce n’est pas pour le voir revenir dans les fourgons des mahométans ! L’obscurantisme produit de l’obscurantisme en une génération ! C’est ce qui s’est produit au Pakistan, en Iran, en Afghanistan…Et c'est ce qui pourrai nous guetter.

    L’article 18 de la Déclaration universelle des Droits de l’homme, issue de notre Révolution est pourtant sans ambiguïté et devrait protéger Asia Bibi : Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites.

    Parler des Droits de l’homme – et surtout de la femme – en terre d’islam, c’est comme péter dans la sacristie !

    Signalons ici quelques exemples des relations bizarres de l’homme à la femme selon le salafisme wahhabite.

    - La légalisation de la pédophilie, puisque le mariage des gamines parfois dès l’âge de 5 ans est possible, sous condition d’acceptation par le père. Hypocrisie doublée de sadisme, comme si la gamine pouvait savoir le viol qui l’attend, alors que le père sait parfaitement.

    - La polygamie : pour permettre aux femmes qui arrivent parfois à la quarantaine sans s’être mariée de trouver un mari à partager…

    - Légalisation de l’esclavage sexuel : par des Imams visiblement machos, stupides et ignares quand ils rappellent les devoirs de la femme envers son mari. Puisqu’elle doit se tenir toujours disponible pour le plaisir de monsieur ! Si l’envie de copuler le prenait, elle doit tout lâcher pour le satisfaire. Sinon elle est justiciable de violence en cas de non-exécution… et le mari est dans son droit de la battre.

    - La femme et le travail : les femmes ne doivent pas travailler mais se consacrer à la procréation et à l’éducation des enfants…

    - Le mariage pour le plaisir, « zaouaj el moutâa » ou la légalisation de la prostitution : le gouvernement iranien a autorisé et généralisé le mariage de plaisir. Une journée par semaine les hommes qui le désirent pourront recourir à cette prostitution légalisée sous couvert d’islam en contractant un mariage bidon juste pour le plaisir sexuel. C’est pour faire baisser les abus sexuels selon les ayatollahs qui ont légiféré sur cette question ! Hypocrisie.

    - La répudiation : il suffit à l’homme de dire à sa femme trois fois « je te répudie, je te divorce » devant témoins pour que le divorce soit effectif au tort de la femme.

    - Le droit de cuissage : la femme au travail est considérée comme une tentation permanente aux hommes : une récente fatwa l’autorise à accorder ses charmes à son supérieur hiérarchique. Les cheikhs d’El Azhar en Égypte ont pondu cette fatwa parce que la femme au travail, au contact de l’homme, constitue une tentation permanente pour lui. C’est pourquoi « ils » légalisent son rapport sexuel avec son chef supérieur, ce qui valide son « péché » auprès de son mari pour ne pas avoir à divorcer puisque c’est « halal » (licite).

    - La femme au foyer : le désir de certains hommes d’enfermer les femmes dans leurs foyers, sinon de les voiler entièrement pour les soustraire aux tentations sexuelles et au regard concupiscent des hommes. Des obsédés sexuels !

    - Le droit de « corriger » sa femme : un cheikh donnait même des conseils au mari pour procéder par paliers à la correction de son épouse. S’il doit la battre, qu’il évite de la défigurer, conseille-t-il cyniquement !

    - La violence à l’égard des femmes : la violence avec laquelle les sympathisants salafistes d’Ennahdha vont de ville en ville en Tunisie (pourtant le pays musulman le plus ouvert !) pour agresser les femmes non voilées dans les rues, leur intimant l’ordre de se voiler. Et par la violence et la terreur, ils y parviennent ! Allant jusqu’à inciter au viol de celles qui refuseraient de se voiler, puisqu’il devient « halal » (licite, permis…), leur dit-on !

    - Le voile d’abord et maintenant la burqa et le niqab : il n’est écrit nulle part que la femme doit s’accoutrer de la sorte pour être une bonne musulmane… L’idée viendrait de couvrir la femme depuis que certains ont déclaré son corps « awra » (honteux) et donc qu’il lui faut le couvrir entièrement.

    - La lapidation des femmes jusqu’à ce que mort s’ensuive : châtiment suprême réservé aux fautes graves comme l’adultère. On a vu en Afghanistan l’insoutenable scène filmée de bout en bout montrant la hargne des hommes qui s’acharnent sur une jeune fille. La haine et la violence qu’ils y mettent sont à la hauteur de leur frustration de mâles en rut privés de satisfaire leur désir bestial ! On y voit une délectation morbide à meurtrir le corps d’une femme convoitée mais qu’ils ne pouvaient avoir.

    - Les crimes d’honneur autorisés voire encouragés, dont sont victimes les femmes. Où parfois il revient au fils de tuer sa mère pour adultère ou ce qui est supposé comme tel, comme un regard porté sur un autre homme que le sien, pour laver l’honneur de la famille ! C'est ce qui mine ce pays musulman d'Europe, l'Albanie, sous le nom de « Kanun ».

    - Le savoir est réservé aux hommes : que dire de l’affirmation répétée des cheikhs et des imams que le savoir doit être réservé aux hommes uniquement, car les femmes naturellement sont idiotes, donc hermétiques à tout savoir.

    - Les relations nécrophiles : un autre imam rassure les nécrophiles, puisqu’il leur autorise des relations sexuelles avec leur épouse morte, mais pas au-delà de 6 heures après son décès, précise-t-il ! Après la viande risque d'être avariée...

    Avec l'aide des collabos nazislamistes, voilà le monde que voudraient nous imposer les salafistes wahhabites, qui tiennent le haut du pavé en terres d’islam, et qui régissent ce « grand pays ami » qu’est l’Arabie saoudite, berceau de toutes ces dérives de l’islam. Voilà pourquoi je suis viscéralement réfractaire à toutes les « religions du livre » et particulièrement à l’islam.

    Eh ! Oh ! Victor, déconne pas, l’Arabie saoudite, c’est une terre d’islam. Et ce n’est pas seulement un pays « ami », c’est avant tout un client ! Un client pour nos belles machines à tuer…

    Et un client, dans notre paradis ultralibéral, c’est sacré !

     

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