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LANTIFADAS - Page 24

  • Allez, un peu de « religiophobie » primaire !

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    VICTOR HUGO CROYAIT EN DIEU, ET POURTANT... AUJOURD'HUI, POURRAIT-IL ÉCRIRE CELA ?

    Extrait d'un poème composé par Victor Hugo lors de son exil et qui ne fut publié qu'après sa mort



    Que je prenne un moment de repos? Impossible.

    Coran, Zend-Avesta, livres sibyllins, Bible,

    Talmud, Toldos-Jeshut, Vedas, lois de Manou,

    Brahmes sanglants, santons fléchissant le genou,

    Les contes, les romans, les terreurs, les croyances,

    Les superstitions fouillant les consciences,

    Puis-je ne pas sentir ces creusements profonds ?

    J'en ai ma part: veau d'or, sphinx, chimères, griffons,

    Les princes des démons et les princes des prêtres,

    Synodes, sanhédrins, vils muftis, scribes traîtres,

    Ceux qui tendraient encore à Socrate le verre,

    Ceux qui redonneraient à Jésus le calvaire;

    Tout cela, c'est partout. C'est la puissance obscure,

    Plaie énorme qui fait une abjecte piqûre.

    Ô l'infâme travail! Ici Mahomet, là

    Cette tête, Wesley, sur ce corps, Loyola;

    Cisneros et Calvin dont on sent les brûlures.

    Ô faux révélateurs! Ô jongleurs, vos allures

    Sont louches, et vos pas sont tortueux; l'effroi,

    Et non l'amour, tel est le fond de votre loi;

    Ô mages grecs, romains, païens, hindous, hébreux,

    Le genre humain, couvert de rongeurs ténébreux,

    Sent s'élargir sur lui vos hordes invisibles;

    Vous lui faites rêver tous les enfers possibles,

    Je devine, malgré vos soins pour vous cacher,

    Que vous êtes sur nous et je vous sens marcher

    Comme on sent remuer les mineurs dans la mine,

    Et je ne puis dormir, tant je hais la vermine.

    Vous êtes ce qui hait, ce qui mord, ce qui ment.

    Vous êtes l'implacable et noir fourmillement,

    L'insecte formidable. Ô monstrueux contraste:

    Pas de nain plus chétif, pas de pouvoir plus vaste.

    L'univers est à vous puisque vous l'emplissez.

    Vous possédez les jours futurs, les jours passés,

    Le temps, l'éternité, le sommeil, l'insomnie.

    Vous êtes l'innombrable et, dans l'ombre infinie,

    Fétides, sur nos peaux, mêlant vos petits tas,

    Vous vous multipliez: et je ne comprends pas

    Dans quel but Dieu livra les empires, le monde,

    Les temples, les foyers, les vierges, les époux,

    L'homme, à l'épouvantable immensité des poux?

  • Ça y est, je suis piqué.

    albert-bourla-pdg-pfizer.jpgEt ma compagne aussi. Deux fois. Oui, bien sûr, piqué, il y a longtemps que je le suis… Et ça me convient Si je suis piqué, c’est grâce à un vaccin. Mon ami Albert Béna, a éclairé ma lanterne à ce sujet :

    « Il y a plus de 80 ans, soixante mille Juifs vivaient paisiblement à Thessalonique, en Grèce.
    C’était une communauté appréciée et dynamique qui travaillait principalement dans le port. (Au point que port de Thessalonique était même fermé le samedi, jour du shabbat). Tout le monde se côtoyait et s’appréciait.

    A la veille du déclenchement de la seconde guerre mondiale c’est sur cette belle communauté que la terreur nazie va brutalement s’abattre.

    Le 6 avril 1941, Hitler envahit la Grèce afin de sécuriser son front sud avant de lancer la célèbre opération Barbarossa et sa grande offensive contre la Russie. Sur les 60 000 Juifs de Thessalonique, environ 50 000 vont être exterminés au camp de concentration de Birkenau en un triste temps record !

    Le massacre des juifs de Grèce fut bref mais intense. Très peu vont avoir la chance de s’en sortir. Mais parmi les survivants, il y avait une famille connue sous le nom de Bourla.

    En 1961, un fils est né dans cette famille miraculée des camps. Ses parents l'ont appelé Israël - Abraham.
    Il a grandi et a étudié la médecine vétérinaire en Grèce. Élève brillant, il va décrocher son doctorat en biotechnologie de la reproduction à l'école vétérinaire de l'université Aristote de Salonique.
      À l'âge de 34 ans, il décide de partir s’installer aux États-Unis. change son prénom  en Albert et fait la connaissance de Myriam puis l’épouse. Ensemble ils auront deux enfants. Aux États-Unis, Albert a été intégré dans l'industrie médicale.

    Il progresse très rapidement et rejoint une société pharmaceutique où il devient "Head manager". Il gravit les échelons et obtient sa nomination au poste de PDG de cette société en 2019.

    Tout au long de l'année Albert décide de diriger tous les efforts de l'entreprise pour tenter de trouver un vaccin contre un nouveau virus qui vient de frapper le monde. Il déploie de grands efforts financiers et technologiques pour atteindre son but.

    Un an plus tard son travail paye.  L’OMS (Organisation Mondial de la Santé) valide l’autorisation à son entreprise de produire le vaccin tant attendu... Son vaccin sera distribué dans plusieurs pays, dont l'Allemagne, qui dénombre des milliers de morts à cause de la pandémie.

    Ironie du sort, ce vaccin qui va sauver la vie des millions de personnes dans le monde, dont de nombreux Allemands, a été dirigé et poussé par un petit Juif de Thessalonique, fils de survivants de la Shoah dont la plus grande partie de son peuple a été exterminée par l’Allemagne nazie.

    Et c'est pourquoi Israël est devenu le premier pays à recevoir le vaccin. En mémoire de ses grands-parents et de ses parents qui ont fait naître Israël-Abraham Bourla, connu aujourd’hui sous le nom d’Albert Bourla : PDG de Pfizer. »

    Merci à l'ami Albert Béna, d'Orange, qui sait de quoi il cause quand il parle de la Shoah.

     

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  • Au e.bistro de la Toile, ou plutôt à l’EstanCO VIDe

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    - Oh, Loulle, tu sais que les labos sont débordés avec les tests Covid. Alors, pour ne pas les encombrer, voilà une méthode facile, gratuite et ludique de faire une analyse d’urine :

     

    Tu pisses sous un arbre et tu as tout de suite les résultats :

    - Si les fourmis radinent dare dare : trop de sucre

    - Si ce sont les mouches qui se pointent : infection urinaire

    - Si ça sèche vite : trop de sel

    - Si tu as oublié d’ouvrir ta braguette : Alzheimer

    - Si tu pisses sur tes godasses : problèmes de prostate

    - Si tu ne te vois pas pisser : obésité

    - Si tu t’en fous plein le calbar : Parkinson

    - Si tu ne sens pas l’odeur : Covid 19

     

    - Merci Victor de cette méthode qui ajoute l’efficacité médicale à la poésie de pisser dehors face au soleil, en admirant l’éclat de ces éphémères gouttes d’or. J’ai moi aussi une information qui devrait t’intéresser. En fin d’année dernière des chercheurs américains ont montré in vitro que les polyphénols présents dans le raisin et le vin perturbent la manière dont le virus Sars-Cov2 à l’origine de la Covid-19 se réplique et se propage. Parallèlement, l’Université de médecine de Taïwan a découvert que les tanins du vin inhibent efficacement l’activité de deux enzymes clés du virus, qui ne peut alors plus pénétrer dans les tissus cellulaires. Lien

    Soignons-nous alors, Loulle. Tè, j’ai un petit rosé corse dont, accidenti, tu m’en diras des nouvelles. C’est une cuvée spéciale, le Clos Roquine !

     

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