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art de vivre - Page 23

  • Gamellophilie: l'alose d'Avignon « comme ma mère ».

    L’alose est un poisson de mer migrateur anadrome qui vient frayer, et devenir mère, dans les eaux du Rhône où les gourmands gourmets lui font sa Fête !

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    - Regarde bien, petit, cette superbe alose

    Les anciens l'appelaient “la princesso dou Rose”

    Éclair de vif argent, longue, fine et puissante

    Bien que lourde des flancs, elle reste élégante.

    Sais-tu que c'est l'amour dont elle est satisfaite

    Qui va te l'amener, demain, dans ton assiette ?

    Respecte-la, petit, et débouche le vin

    Car manger de l'amour est un plaisir divin.

    C'est un poisson magique, délicieux à manger

    En bonne compagnie. Et subtil à pêcher !

    Lorsque le Rhône était le Fleuve-Dieu sauvage,

    Point encore castré par digues et barrages,

    Indomptable et fougueux quand le mistral le fouette,

    Crainte des riverains et bonheur des poètes,

    Braconniers et pêcheurs, au mois des primes roses

    Armaient les vire-vire pour pêcher les aloses.

    C'étaient des bateaux larges aux ailes de moulin

    Arrimés à la rive par quatre gros filins.

    Deux paniers grillagés, avec le courant, tournent.

    Lorsque l'un est en haut, son opposé s'enfourne

    Dans l'onde trouble et vive où peinent les aloses

    Cherchant un abri sûr pour que leurs œufs éclosent.

    Beaucoup n'arriveront jamais à leur frayère,

    Cueillies par les paniers montant vers la lumière.

    Enlevée dans les airs, l'alose se tortille

    Dans une pluie dorée de gouttes qui scintillent.

    Elle tombe, ahurie, dans le fond de la barque

    Où le fil de sa vie est coupé par les Parques.

    Le pêcheur, averti, en interrompt sa sieste,

    Achève le poisson d'un coup de barre preste,

    Bois un coup de rosé si sa gorge s'assèche,

    Puis se rendort, heureux: pour lui le Rhône pêche !

    Cette façon subtile, je crois unique en France

    N'a pu être inventée que chez nous, en Provence !

    Il paraît que certains, les nuits de pleine lune,

    Jouant flûte et violon au bord de la lagune

    Ont eu, comme Aristote, la fantastique chance

    De voir, debout sur l'eau, les aloses qui dansent...

    Les belles ménagères avaient leur opinion:

    "Les meilleures sont les aloses d'Avignon."

    En dessous d'Aramon, elles sentaient la vase,

    Et après Caderousse, ce n'était que carcasses,

    Mais dans le Rhône vif courant sur les galets

    Roulés de Villeneuve, ou au pied du Palais

    Des Papes d'Avignon, elles étaient à point:

    Dévasées, mais encor avec de l'embonpoint.

    - Et comment tu la cuis, ton alose, Victor ?

    - Oh ! Vaï t'en plan, pitchoun, y a pas lou fio a bord !

    Sers-moi d'abord un coup de rosé du Ventoux

    Ou de Côtes-du-rhône, et je te dirais tout.

    L'alose, tu la laves, tu l'écailles, la vides.

    Tu réserves les œufs dans un torchon humide,

    Prends-en un soin jaloux, c'est les meilleurs morceaux

    Pour les gourmets, c'est le caviar des Provençaux.

    Puis tu tranches la tête et la fends en longueur,

    Coupe l'alose en darnes de deux doigts d'épaisseur.

    Tu auras pris chez un compère jardinier

    Une brassée d'oseille, des épinards triés.

    Tu vas hacher ces herbes assez grossièrement:

    Elles vont te servir en accompagnement.

    Tu prends une cocotte, mais une vraie, en fonte!

    Des cocotte-minute n'accepte pas la honte.

    Tu graisses bien le fond, mais à l'huile d'olive,

    C’est le nec plus ultra, faut pas que tu t'en prives.

    Au tonneau de vin blanc, tu remplis un cruchon,

    Puis tu places la tête, ouverte, sur le fond.

    Tu recouvres d'un lit d'oseille et d'épinards

    Sel, poivre noir, muscade, va-z-y, sois pas flemmard.

    Tu dois y mettre aussi des oignons émincés,

    Certains cuistots rajoutent... oui, du petit-salé.

    De ton huile d'olive, une bonne giclée

    Car pour ta réussite c'est là l'une des clés.

    Mets tes darnes à plat, sur l'herbe, bien serrées,

    Qu'elles ne bougent pas quand ça va macérer.

    Un autre lit d'oseille, encore un de poisson

    Chaque fois sel et poivre et de l’huile, un soupçon.

    Lorsque tout est placé, bien délicatement,

    Tu poses sur le tout les œufs avec leur poche.

    N'aie pas peur de forcer sur l'assaisonnement

    Car ce n'est qu'un poisson, et pas de la bidoche.

    On atteint maintenant un moment crucial,

    Pour réussir ton plat, voilà le principal:

    Tu arroses le tout de trois verres de gnole.

    Des verres de soiffards, pas des verres symboles.

    Enfin tu mouilles avec du blanc sec de Laudun,

    Mais pas trop tout de même: ce qui est opportun.

    Tu fermes ta cocotte bien hermétiquement

    Avec la mie de pain mouillée légèrement.

    Arrive maintenant le temps de la cuisson,

    Sa longueur fondra les arêtes du poisson.

    C'est sous la cendre chaude, dans un cantoun de l'âtre

    Que doit cuire l'alose, dans les braises rougeâtres.

    Cuis-la huit heures au moins d'une chaleur tranquille.

    Le tout sera confit. Une alchimie subtile

    Des herbes et de l'alcool dissoudra les arêtes.

    Petit, sers-moi à boire, ou sinon je m'arrête !

    C'est un plat rituel pour tous les gens du Rhône.

    Enfin, écoute-moi: l'alose est très friponne,

    Après tout le plaisir qu'elle te donne à table

    Elle fera de toi un gaillard redoutable !

    Tu seras comme un cerf quand résonne son brame:

    Ce plat est souverain... pour le bonheur des dames.

    Cessons pour aujourd'hui ce conte culinaire

    Ma tripe est assoiffée, remplis raz bord mon verre

    De ce nectar divin de la Coste-du-Rhône

    Et laisse près de moi la coupe et la bonbonne.

     

    Ingrédients et proportions pour six personnes:

    Deux belles aloses d'un kilo et demi chacune, - un kilo d'oseille, - un kilo d'épinards en branches ou - mieux - de vert de blettes, à défaut, de la laitue, - trois oignons émincés, - 2 hectos de petit-salé haché, - deux verres d'huile d'olive, - trois cuillerées à soupe de sel fin, - poivre noir du moulin, - muscade (à votre appréciation, mais généreusement), - une bouteille et demi de vin blanc sec, - trois verres d’"aigarden" (eau-de-vie).

     

    Les vins conseillés:

    Ce plat de poisson à la saveur puissante, animale, s'accommode parfaitement de vins blancs ayant du caractère: Côtes-du-rhône de Laudun, Villedieu, Lirac, St-Hilaire-d'Ozilhan, Chateauneuf-du-Pape.

    Coteaux du Languedoc de La Clape, Picpoul de Pinet, Clairette de Bellegarde.

    Côtes de Provence de Palette, Coteaux varois de Salernes, Saint-Maximin, Bellet.

    Il accepte aussi parfaitement des vins rouges frais: Côtes-du-rhône d'Estézargues, Coteaux-d'Avignon, Chusclan, Rochegude, Saint-Mau­rice-sur-Aygues, Sablet. Costières de Nîmes. Coteaux du Languedoc de St-Drézery, Saint-Christol ou encore le "vin d'une nuit" de Saint-Saturnin. Coteaux varois de Tourves, Barjols, Nans-les-Pins.

     

    Illustration originale Vincent Barbantan

     

    in: GROSSIR (ou pas!) sans peine et sans régime

  • Au bistro de la Toile déconfiné. Enfin !

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    - Oh ! Fatche, Loulle, ça fait plaisir de retrouver ton rade ! Mais t’as quand même une drôle de dégaine avec ton masque, ta tignasse et tes rouflaquettes qui dépassent. On dirait un hanneton !

    - Eh ! Oh ! Tu t’es vu ? T’as la même trogne avenante du pitbull de Bert avec ta muselière !

    - Ouais mais le mien de masque, il est sophistiqué. Regarde, il y a un clapet par lequel tu peux introduire directement le goulot d’une boutanche.

    - Ah ! Là, respect. Finalement ce Covid 51…

    - Covid 19, pas 51.

    - Ouais, pardon, je confondais avec le pastis 51. L’habitude…

    - Tè, en parlant de ça, sert nous une tournée générale. Mais avec distanciation « sociale » évidemment.

    - J’ai mieux que ça aujourd’hui Victor. Tè, j’ai un petit rosé corse que, accidenti, tu m’en diras des nouvelles. C’est une cuvée spéciale, le Clos Roquine !

    - Ah là Loulle, tu fais fort. Et en plus il chatouille délicatement la glotte ton médicament ! Est-ce qu’il pousse dans les vignobles du Professeur Raoult ?

    - Puteng, celui-là, il a réussi à se mettre à dos l’ensemble du diafoirus et la meute des me (r) dias. Mais au fait, son traitement, c’est du costaud ou de la pisse d’âne ?

    - Qui lo sa ? Pourtant à Marseille, il y a eu moins de morts qu’ailleurs. Au Sénégal, qui a utilisé à grande échelle le protocole Raoult, la pandémie n’a pas tué grand monde. Alors…

    - Ouis mais enfin Victor, faut pas envoyer le bouchon trop loin. Son médoc à tonton Raoult, il a été taillé en pièces par une revue britiche qui fait paraît-il référence, le fameux « Lancet » qui, suite à une étude mondiale, a dit et écrit que non seulement la Chloroquine n’avait aucune efficacité contre le Covid mais qu’elle était dangereuse et tuait du monde.

    - Eh ! Loulle, d’autres ont dit que l’étude du Lancet, c’est de la merde basée uniquement sur des statistiques biaisées, du bidonnage intégral : des hôpitaux du monde entier se demandent comment les auteurs de l’étude ont pu se procurer des chiffres sur leurs propres patients, alors qu’ils ne les ont communiqués à personne. En fait, cette pseudo « étude » a pour unique but de « tuer » la chloroquine en empêchant de prouver l’efficacité de ce vieux médicament archi amorti, qui ne coûte que dalle et dont les effets secondaires sont archi connus et dominés depuis des décennies qu’il est utilisé contre le palu.

    - Mais qui a intérêt à foutre à la poubelle un tel médicament ?

    - Ben, enfin Loulle, devine ?

    - Big Pharma, évidemment.

    - Bien sûr Loule, cela n’intéresse personne d’utiliser les anciens médicaments connus et tombés dans le domaine public. C’est la course en avant technologique. Avec des brevets qui durent très peu de temps (20 ans), il faut trouver une nouvelle molécule pour faire de l’argent. Les grands labos pharmaceutiques donc – Big Pharma – mais pas que… La recherche actuelle se concentre sur ce qui rapporte, et non sur ce qui soigne ! Cela peut paraître fou, mais pour faire du profit, il n’y a rien de pire qu’un médicament qui guérit. Ce n’est pas moi qui le dis, mais la banque d’affaires Goldman Sachs, qui l’a expliqué noir sur blanc dans un rapport intitulé « Guérir les patients est-il un business modèle soutenable ? ». Leur réponse est évidemment NON… Pour ces vautours, les remèdes qui guérissent immédiatement représenteraient un intérêt formidable pour les patients et la société, mais pourraient être un obstacle pour ceux qui cherchent un cash flow financier durable.

    « Si vous dites maintenant, alors qu’on dépense des centaines et des centaines de millions pour trouver des nouvelles molécules, qu’il suffit de recycler des molécules anciennes qui sont génériquées et qui ne coûtent rien, vous sciez toute une branche de la science qui s’est développée depuis 20 ans et donc vous avez les plus grandes difficultés à trouver des gens qui regardent cela avec un œil favorable », a expliqué le prof Raoult sur une chaîne télé.

    - Fatche, Victor, mais c’est un système totalement perverti. Tous ces « grands » professeurs qui viennent nous parler à l’heure des repas, pour nous faire trembler, pour nous culpabiliser, ils nous prendraient pas un peu pour des kons ?

    - Pas qu’un peu Loulle. C’est 95 % de la recherche mondiale, donc 95 % des scientifiques qui sont financés, directement ou indirectement, par Big Pharma. Donc si on mettait un coup d’arrêt à ce système perverti, tout ce petit monde scientifique perdrait énormément d’argent et de prestige !

    - Mouais… Tè je vais dépuceler une autre boutanche de « Clos Roquine » !

    - À la nôtre !

     

    Photo X - Droits réservés

  • Vous êtes patriote, vous voulez acheter une bagnole made in France ? Pas évident...

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    Not' bon président fait la tournée des fabricants de bagnoles françaises et va dévoiler son plan de sauvetage. Son gouvernement va déjà aider Renault par un PGE (prêt garanti par l’État) de cinq milliards d’euros. PGE, ça veut dire que si Renault ne peut pas, ou ne veut pas rembourser, le fric sera pris dans nos poches. Oui mais Renault, c’est la France ! Ben voyons…

    La voiture Renault la plus vendue en France est la Clio IV. Or ces bagnoles sont fabriquées à 90 % par l’usine de Bursa, en Turquie. Quant à la Clio V, direction la Slovénie et de nouveau la Turquie. Vous préférez le frimeur Captur ? Il est fabriqué à Valladolid en Espagne. Vous vous décidez pour un Twingo III ? Il est fabriqué à Novo Mesto, en Slovénie. Bon, alors vous vous rabattez pour une Dacia Sandero, ou le crâneur Duster ? Ils sont fabriqués, comme leur nom l’indique, en Dacie, province de Roumanie.

    Ouais, mais tonton Lemaire, il a posé des conditions pour donner ce fric : « Si une grande entreprise a son siège fiscal ou une filiale sans activité économique réelle dans un paradis fiscal, il va de soi qu’elle ne bénéficiera pas du prêt garanti par l’État ou des reports de charges ». Ah ! On est rassuré. Ben voyons… Les critères français et européens définissant les paradis fiscaux sont ainsi faits que les pays membres sont automatiquement exemptés, ce qui explique l’absence de l’Irlande, des Pays-Bas, de Malte, de Chypre et du Luxembourg. D’autres gros poissons échappent aux mailles françaises, notamment la Suisse et Singapour. Or, Renault possède une quinzaine de filiales dans les pays cités ci-dessus, au premier rang desquelles la société Renault-Nissan, juridiquement localisée à Amsterdam !

    Bon, mais si on dort dans les plis du drapeau tricolore et qu’on veut malgré tout acheter un véhicule fabriqué par Renault en France ? C’est possible, mais ce ne sera pas pour les petites bagnoles les plus vendues.

    Renault fabrique à l’usine Georges-Besse de Douai (Nord) : Renault Scenic IV, Renault Talisman, Renault Espace V. À l’usine Renault de Flins (Yvelines) : Renault ZOE, Nissan Micra. À l’usine Alpine-Renault de Dieppe (Seine-Maritime) : Alpine A110. À l’usine Renault de Sandouville (Seine-Maritime) : Renault Trafic III, Fiat Talento, Nissan NV300. À l’usine Renault de Maubeuge (Nord) : Renault Kangoo II, Mercedes Citan, Nissan NV250. À l’usine Sovab-Renault de Batilly (Meurthe-et-Moselle) : Renault Master III, Nissan NV400, Opel Movano.

    Ces bagnoles ne sont pas dans vos projets, ou dans vos moyens ? Vous cherchez toujours une caisse fabriquée en France, même si elle n’a pas le losange ?

    Allons chez PSA voir le lion de Peugeot et les prestigieux chevrons de Citroën. La plus vendue, la 208 a quitté l’usine de Poissy pour être fabriquée à Trnava (Slovaquie) et sur le tout nouveau site de Kénitra (Maroc). Même topo sur d’autres segments : le nouveau SUV Peugeot 2008 est délocalisé à Vigo (Espagne).

    Mais c’est tout de même mieux chez PSA. L’usine PSA de Sochaux (Doubs) : Peugeot 3008 II, Peugeot 308 II, Peugeot 5008 II, Opel Grandland X. L’usine PSA de Poissy (Yvelines) : DS 3 Crossback. L’usine PSA de Mulhouse (Haut-Rhin) : DS 7 Crossback, Peugeot 508 II. L’usine PSA de Rennes-La Janais (Ille-et-Vilaine) : Citroën C5 Aircross, Peugeot 5008 II. L’usine SEVEL Nord à Lieu-Saint-Amand (Nord) : Peugeot Expert III & Traveller, Citroën Jumpy III & SpaceTourer, Opel Vivaro & Zafira Life, Toyota ProAce & ProAce Verso, Vauxhall Vivaro.

    Mais il y a d’autres voitures fabriquées en France en notamment les Toyota Yaris II et Yaris II ainsi que le futur petit SUV de la marque japonaise à l’usine TMMF à Onnaing, près de Valenciennes (Nord). Il y a encore chez Daimler AG dans son usine « Smartville » d’Hambach (Moselle) : la Smart ForTwo. Et puis, si vous faites partie des premiers parmi les premiers de cordée, vous pouvez vous offrir une Volkswagen mais par n’importe laquelle, la Bugatti-Chiron fabriquée à l’usine Bugatti de Molsheim (Bas-Rhin) !

    Depuis le 15 mai dernier, la presse annonce entre autres, le non-renouvellement d’une partie de la gamme Renault (Espace, Scénic, Talisman, Mégane et Koléos), la fermeture des usines de Dieppe, Choisy, Fonderie De Bretagne et Flins. Puis la suppression de 4 000 salariés jugés en trop en recherche et développement. Ces annonces relayées par la presse rappellent le scénario de 2012. La direction avait déjà utilisé la presse pour annoncer de probables fermetures d’usines et notamment celle de Flins. Cela avait pour objet de générer un climat de peur parmi le personnel pour ensuite conditionner, dans un accord de compétitivité, le maintien d’une partie de l’activité (dans un temps court) à l’acceptation de moins-disant sociaux.

    Pour mémoire souvenons-nous que Renault avait déjà bénéficié en 2011 d’un prêt de 3 milliards qui ont finalement servi à financer les externalisations et délocalisations des activités industrielles et d’ingénierie Renault. Avec entre autres, la délocalisation totale de la Clio 5 en Turquie et Slovénie.

    Qu’est-ce qu’il va dire, ou promettre not’ bon président ? Ouate Inde scie…

     

    Photo X - Droits réservés.

     

    Sources:

    https://www.autoplus.fr/peugeot/208/actualite/Peugeot-208-Production-France-Usine-1544020.html

    https://www.auto-moto.com/actualite/en-chiffres/voitures-plus-vendues-france-mois-par-mois-2018-classement-30-premiers-modeles-marche-francais-157732.html#item=4

    https://www.marianne.net/economie/pret-de-5-milliards-renault-la-preuve-de-la-demagogie-du-gouvernement-sur-les-paradis