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LANTIFADAS - Page 5

  • LES BISTROTS DU COEUR

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    - Loulle, tu es à toi seul un monument en péril. Faudra qu'on écrive à Stéphane Bern  pour faire quelque chose pour toi.

    - Qu'est-ce que tu barjaques là Victor, t’as bu de la flotte ou quoi?

    - Eh oui mastroquet de mon cœur, ton troquet est un monument en péril. Il fait partie des nouveaux monuments en péril à sauver : les bistrots. Voilà une noble cause ! Les bistrots sont les derniers lieux de rencontre conviviaux, les derniers espaces où l’on peut s’asseoir au chaud, lire le journal, boire un coup, écouter les dialogues souvent savoureux des piliers de bistrots, espèce éminemment respectable, faite d’humour souvent involontaire, de trogne fellinienne opiniâtrement bâtie à base de spiritueux… 

    Tiens, hier, je suis allé accompagner au trou un vieil ami. On s’est donc retrouvé entre potes attristés devant une église. Poussés par le froid et le mistral, nous sommes entrés. Mais un moment, ça va. D’autant plus que nos apartés rigolards, de plus en plus bruyants, faisaient se tourner vers nous des regards outrés des contrits et contrites de vocation. Nous sommes donc sortis sur le parvis où nous avons pu donner libre cours à nos souvenirs les plus gratinés, faisant ainsi revivre gaiement notre malheureux pote, héros involontaire de la fête.  Le drame, c’est qu’il n’y avait pas le moindre bistrot à moins d’une encablure (pour les ignare, une encablure c’est environ 400 mètres). Il a fallu attendre la fin de la cérémonie et l’embarquement de l’impétrant chez les Roblo’s boys pour qu’on puisse aller s’en jeter quelques uns à sa mémoire… 

    - C’est ben triste ça, dit Bert. Pourtant, à titre documentaire, je vous signale qu’il existe à Aubord, petit village gardois, une véritable église-bistrot – enfin un temple-bistrot puisqu’on est chez les parpaillot. Dans le corps principal de la bâtisse, sur l’arrière et sur le côté, il y a…un bistrot ! Voilà l’avenir. Aux enterrements, pendant que les femmes vont à l’église ou au temple, ou à la synagogue, ou à la mosquée, les hommes vont..à la chapelle ! 

    - Pour en revenir aux bistrots, ils s’étonnent de voir leur clientèle s’amenuiser… Mais il faudrait peut-être qu’ils révisent leurs prix. Remettre sa tournée à l’heure actuelle, revient trop cher ! Donc exit les piliers de bistrots somptueux qui, il y a quelques décennies, travaillaient quotidiennement leur durillon de comptoir en pratiquant — en grands sportifs — l’apéro-bic ! Et sans ces vedettes locales, exit la clientèle qui venait là comme au théâtre… 

    - Sauf chez Loulle tout de même. À la nôtre !

    - Eh, les gars, on va lancer une O.N.G.: Les Bistrots du Cœur    

  • Finies les vacances?

    GLANDEURS de tous les pays, unissons-nous !

    Mais c’est qu’ils risquent d’y prendre goût, les vacanciers, à ce subtil bonheur : glander ! Marcher avec le temps au lieu de se laisser dévorer par lui. Écouter sa vie. Réfléchir au lieu de sagiter. Et pourtant dans quelques jours, fini le glandouillage, c’est la dictature du boulot qui reprend ses droits.

    En ex-Indochine, un proverbe dit : « Les Vietnamiens plantent le riz, les Cambodgiens le regardent pousser, les Laotiens l’écoutent pousser ». Toute une philosophie de vie qui désacralise le « travail ». « Travail » (du latin tripalium, instrument de torture). Ils sont bien plus valorisants les termes italien lavorare « labeurer » ou « labourer » plus spécifique et espagnol obrare « œuvrer », accomplir une œuvre.

    Le travail implique contrainte, souffrance, malédiction divine. Le sacré l’a imprégné profondément de son odeur fétide de malheur, de mystère, le préservant de toute remise en cause. Le sinistre M. Thiers, dans le sein de la Commission sur l’instruction primaire de 1849, disait : « Je veux rendre toute-puissante l’influence du clergé, parce que je compte sur lui pour propager cette bonne philosophie qui apprend à l’homme qu’il est ici-bas pour souffrir et non cette autre philosophie qui dit au contraire à l’homme : "Jouis". » Thiers – fossoyeur de la Commune - formulait la morale de la classe bourgeoise dont il incarna l’égoïsme féroce et l’intelligence étroite.

    Apprends à glander ami Confiné. Le COVID te donne cette chance, saisis-la au lieu de te morfondre en attendant qu' « on » te donne de nouveau, en te « déconfinant », le droit de te vautrer dans la servitude volontaire. Le chômage partiel, c’est en quelque sorte ce revenu universel qui plane depuis quelques années. Tu te lèves le matin, et tu trouves sous le paillasson assez de thunes pour vivre tout en glandant ! Il n’en faut pas trop car le fric pourri tout ce qu’il touche. Assez pour ne pas avoir la hantise de la rue, la hantise de la faim. Elle est pas belle la vie ?

    La paresse, la fainéantise, le glandage sont l’apanage d’une élite. On naît fainéant. C’est une chance immense et une injustice pour les autres. L’art de ne rien faire est difficile et ne semble pas donné à tout le monde. Même les loisirs en prennent un coup : le temps libre est de plus en plus confisqué par la télévision et les industriels des loisirs. Nombreux sont ceux qui redoutent l’inaction et réclament un ordre du jour même pendant leurs vacances. Comme s’ils craignaient de se laisser aller, de se laisser guider par la fantaisie. Peut-être par peur de se retrouver seuls avec eux-mêmes ?

    Nous sommes influencés par cette culture où le religieux ("Tu te nourriras à la sueur de ton front !") se mêle à l’économique (travailler plus pour gagner plus) et condamne l’oisif à travailler. Sauf s’il est rentier ou/et actionnaires ! Dans ce cas, c’est son capital qui travaille pour lui, c’est-à-dire vous, moi, les cochons de payants de la France d’en-bas. C’est le pognon qui manque, pas le boulot qui n’a rien de sacré. D’ailleurs dès qu’ils sont assez ferrés, qu’est-ce qu’ils font les riches ? Ils arrêtent de travailler !

    Après des siècles de christianisme et avec l’esprit du capitalisme, on n’imagine pas passer sa vie dans l’inactivité, à moins de passer pour un marginal ou un illuminé. Et malheur à vous si vous avez la malchance d’être au chômage ou si vous avez choisi de faire passer votre vie personnelle avant le travail. On aura vite fait de vous soupçonner de paresse, fainéantise ou de manque d’ambition. Et vous perdrez votre vie à la gagner. Et pourtant ! Dans une autre vie, j’ai même été « chef d’entreprise ». Et je n’embauchais que des fainéants avoués. Ils sont les plus fiables, les plus efficaces des collaborateurs : un fainéant œuvre vite pour avoir plus vite fini et bien pour ne pas avoir à y revenir !

    Il y a dans l’art de ne rien faire le signe d’une conscience vraiment affranchie des multiples contraintes qui, de la naissance à la mort, font de la vie une frénétique production de néant. Niquer ces contraintes est une libération.

    Dans le système capitaliste d’exploitation de l’humain, il y a de la malice, assurément, à en faire le moins possible pour un patron, à s’arrêter dès qu’il a le dos tourné, à saboter les cadences et les machines, à pratiquer l’art de l’absence justifiée. La paresse ici sauvegarde la santé et prête à la subversion un caractère plaisant. Elle rompt l’ennui de la servitude, elle brise le mot d’ordre, elle rend la monnaie de sa pièce à ce temps qui vous ôte huit heures de vie et qu’aucun salaire ne vous laissera récupérer. Elle double avec un sauvage acharnement les minutes volées à l’horloge pointeuse, où le décompte de la journée accroît le profit patronal. Voler ainsi un patron, n’est-ce pas de la récupération ?

    Pourtant, il plane sur la paresse une telle culpabilité que peu osent la revendiquer comme un temps d’arrêt salutaire, qui permet de se ressaisir et de ne pas aller plus avant dans l’ornière où le vieux monde s’enlise. Encore que ! Certaines entreprises découvrent les bienfaits de la sieste !

    Qui, des allocataires sociaux, proclamera qu’il découvre dans l’existence des richesses que la plupart cherchent où elles ne sont pas ? Ils n’ont nul plaisir à ne rien faire, ils ne songent pas à inventer, à créer, à rêver, à imaginer. Ils ont honte le plus souvent d’être privés d’un abrutissement salarié qui les privait d’une paix dont ils disposent maintenant sans oser s’y installer.

    La culpabilité dégrade et pervertit la paresse, elle en interdit l’état de grâce, elle la dépouille de son intelligence. Pourtant ils feraient dans la fainéantise d’étonnantes découvertes : un coucher de soleil, le scintillement de la lumière dans les sous-bois, l’odeur des champignons, le goût du pain qu’il a pétri et cuit, le chant des cigales, la conformation troublante de l’orchidée, les rêveries de la terre à l’heure de la rosée, sans oublier les formidables rêves érotiques !

    Ce brave coronavirus nous donne la possibilité de découvrir tout ça.

    « Nous aurons bien mérité la retraite » soupirent les travailleurs. Ce qui se mérite, dans la logique de la rentabilité, a déjà été payé dix fois plutôt qu’une !

    Si la paresse s’accommodait de la veulerie, de la servitude, de l’obscurantisme, elle ne tarderait pas à entrer dans les programmes d’État qui, prévoyant la liquidation des droits sociaux, mettent en place des organismes caritatifs privés qui y suppléeront : un système de mendicité où s’effaceront les revendications qui, il est vrai, en prennent docilement le chemin si l’on en juge par les dernières supplications publiques sur le leitmotiv « donnez-nous de l’argent ! ». L’affairisme de type mafieux en quoi se reconvertit l’économie en déclin ne saurait coexister qu’avec une oisiveté vidée de toute signification humaine.

    La paresse est jouissance de soi ou elle n’est pas. N’espérez pas qu’elle vous soit accordée par vos maîtres ou par leurs dieux. On y vient comme l’enfant par une naturelle inclination à chercher le plaisir et à tourner ce qui le contrarie. C’est une simplicité que l’âge adulte excelle à compliquer.

    Que l’on en finisse donc avec la confusion qui allie à la paresse du corps le ramollissement mental appelé paresse de l’esprit - comme si l’esprit n’était pas la forme aliénée de la conscience du corps.

    L’intelligence de soi qu’exige la paresse n’est autre que l’intelligence des désirs dont le microcosme corporel a besoin pour s’affranchir du travail qui l’entrave depuis des siècles.

    La paresse est un moment de la jouissance de soi, une création, en somme ! Le fainéant est un créateur naturel. Un créateur de bonheur !

     

    Victor Ayoli, fainéant robuste.

  • LES NON-JEUX OLYMPIQUES

    Les Non-Jeux olympiques

    Ils ont tous défilé sous des trombes d’eau ! Ils n’en demandaient pas tant mais le temps reste encore libre ! Et il a plu des cordes sur le défilé – magnifique par ailleurs – de délégations de « sportifs » venus du monde entier. Il faut dire qu’il y avait, au nombre des invités d’honneur, François Hollande, notre célèbre « faiseur de pluie » !

    Le mot JEUX est de trop dans les "J.O.". Le jeu c'est festif, c'est gratuit, c'est sans hiérarchie, sans "vainqueur", rien que des participants, presque des commensaux à une fête collective. Le contraire du  sport... Le sport, c'est la guerre sans le sang (encore que...).

    Churchill disait : « never sport ! ». Attention ce n'était pas un mépris de l'épanouissement du corps mais un refus de sacrifier à cette nouvelle religion qui colonise l'existence de milliards d'individus et impose une manière de penser couplant le culte de la performance et les affaires, particulièrement la publicité. Les sportifs de haut niveau, les « champions » sont les nouveaux dieux de la jeunesse. La plupart des jeunes rêvent d'imiter M’Papé, Nadal ou Pogacar. Même les pires tricheurs sont admirés, voire imités, car ils sont des gagneurs, des « winners ». Qu'importent les moyens, seule compte la fin. On ne s'épanouit pas personnellement en s'adaptant aux circonstances de l'existence, mais on imite, on s'identifie à ces modèles fabriqués par le complexe médiatico-publicitaire...

    Quand on pense que le principal « sponsor » des Jeux Olympiques est Coca Cola, l’empoisonneur public numéro Un, responsable de l’épidémie mondiale d’obésité, et coûtant, à ce titre des milliards à notre Sécu…

    Le monde du sport spectacle, c'est la négation de l'imagination et de l'intelligence. Regardez-les les « sportifs » et surtout les « supporters » : on dirait des clones, partout dans le monde. Braillards, violents, racistes, sectaires, intolérants, obéissant à des slogans. Le sport fabrique, façonne, usine « l'homme nouveau » d'Orwell : uniformité de pensée et de comportement, endoctrinement, violence, inculture. Le sport est l'ennemi du peuple. Particulièrement le foutebole qui agit comme un détecteur de KONS (oui, je sais, on n’écrit pas Con avec un K, mais moi si, pour ne pas confondre l’entrée du paradis de nos belles compagnes et ces individus crétins, méchants, incultes qualifiés par ce pourtant joli vocable)

    Et les sportifs là-dedans ? Parce qu’il y en a qui y croient, qui se décarcassent pour le rêve d’une médaille… Eh bien on les prend pour des kons. On les traite comme des sous-merdes. Dictateurs et « sponsors » les élèvent, les entraînent à des rythmes de fous, les engraissent aux hormones de croissance et autres saloperies bien connues des « sportifs », les fanatisent pour qu’ils se surpassent et écrasent leurs adversaires (Ecoutez les entraineurs dans les vestiaires : « On va les exploser ! On est des tueurs »). Ce sont des champions élevés en batterie, c’est pas du nourri sous la mère ! Tu les fais pisser par terre, ça fait un trou !

    Faire une activité physique gratuitement, en dilettante, sans autre but que de se mettre au défi, c'est le jeu. Le sport, c'est autre chose. Comme la guerre, le sport de compétition exalte le courage, le sacrifice, l'abnégation. L’invention du sport se situe au XIXᵉ siècle, en pleine révolution industrielle, en vue de rendre les corps et les esprits dociles aux nouvelles formes du travail en usine, de domestiquer les nouvelles couches sociales que l’on met au travail. Il vise à créer un nouveau type d'humain qui mécanise son corps et son esprit en vue de la « performance ». Il faut lui donner un « mental de gagnant ». Et accessoirement le conditionner au fétichisme des marques qui « sponsorisent » les grandes épreuves (Nike, Coca-Cola, Adidas, Lacoste, etc.). Le sport enseigne la soumission à un certain ordre social. Pour arriver à LA performance qui fait bêler les foules abruties des « supporters », tout est bon, et surtout toutes les substances douteuses. Écoutons le footballeur retraité Dhorasso. Il dit : « Il faut être cohérent et un peu honnête. On ne peut pas demander aux gars de battre des records, aux cyclistes de monter des cols à des vitesses incroyables, et tout ça à l’eau claire. Défendre à la fois la course à la performance à tout prix et la chasse au dopage, c’est prendre les gens pour des imbéciles ». Et il est poli Dhorasso...

    Le sport véhicule des valeurs de droite (compétition, mépris du faible, culte du chef, etc.) et ce CIO – aujourd'hui en cause – est une organisation d'extrême droite. Les J.O., sont nés dans la cervelle d’un baron aux idées plus que douteuses et ont été portés pendant des années par Samaranche, fruit délicat du franquisme. Ils représentent l’embrigadement, le nationalisme le plus chauvin, une compétition sordide sous-tendue par les drogues fournies par les grands laboratoires pharmaceutiques mondiaux et grassement commissionnés (notez, j’ai pas dit sponsorisés !) par les marchands de merde mondiaux. Les « villages olympiques » sont autant de ghettos où les robots programmés ne se rencontrent jamais, ne se côtoient pas, ne se parlent pas. Surveillés qu’ils sont par des « entraineurs  kapos ».

    Le Coubertin (Baron Pierre de…), il était pas mal dans le genre facho, raciste et machiste. Hitler voulait d’ailleurs lui attribuer une rente à vie. Il se proclamait lui-même comme un « colonialiste fanatique ». Il prônait la pratique sportive et physique comme un moyen de redressement de l’esprit. Allez, court coco, et ne réfléchit surtout pas ! Les idées du baron sont pour le moins « pittoresques » :

     « La théorie de l'égalité des droits pour toutes les races humaines conduit à une ligne politique contraire à tout progrès colonial. Sans naturellement s'abaisser à l'esclavage ou même à une forme adoucie du servage, la race supérieure a parfaitement raison de refuser à la race inférieure certains privilèges de la vie civilisée. » (The Review of the Reviews, avril 1901).

      « La première caractéristique essentielle de l’olympisme ancien aussi bien que de l’olympisme moderne, c’est d’être une religion. En ciselant son corps par l’exercice comme le fait un sculpteur d’une statue, l’athlète antique honorait les dieux. En faisant de même, l’athlète moderne exalte sa patrie, sa race, son drapeau. » (Pierre de Coubertin, Les Assises philosophiques de l’Olympisme moderne).

      « Une olympiade femelle serait impratique (sic), inintéressante, inesthétique et incorrecte. Le véritable héros olympique est à mes yeux, l'adulte mâle individuel. Les J.O. doivent être réservés aux hommes, le rôle des femmes devrait être avant tout de couronner les vainqueurs. » Il a dit ça lors des Jeux Olympiques de 1912 à Stockholm.

    Comme quoi les Jeux Olympiques sont une organisation d’extrême droite, destinée à faire du fric et à aveugler les pauvres kons. « Donnez au peuple du pain et des jeux » ! Il avait tout compris le César.

    D'ailleurs, les pays démocratiques n’en veulent plus de ces « Jeux » qui coûtent  plusieurs bras. Sauf la France, les Zuessa et peut-être l'Australie, plus personne ne se bat pour les organiser, à part les grandes dictatures comme la Chine, la Russie, l’Arabie saoudite et pourquoi pas l’Iran, la Turquie voire le Qatar, grand « ami » de la France qu’il achète à la découpe et où il envoie des wagons d’imams salafistes polluer la jeunesse dans nos banlieues.

    Mais, il y a eu, en clôture de défilé, Céline Dion chantant l'hymne à l'Amour. Et ça a été l'extase, les poils qui se dressent, l'émotion qui submerge, le bonheur. Merci, mille merci Céline.

    Bon. Maintenant que j'ai bien bavé sur le sport, je vais vous faire une confidence : j'ai acheté un Peugeot-Frères et je me suis mis au sport : Je mouds mon café à la main ! En changeant de bras pour ne pas risquer les « moulin-à-café elbow »...

    Jean Victor Joubert