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religion - Page 11

  • Au bistro de la toile : la phobie des phobies

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    - Je suis βλάκαςφοβίας, j’assume et j’en suis fier !

    - Keskidi le Victor ? Tu parles quelle langue ? On dirait du Russe, ou du Grec.

    - C’est du Grec Loulle. Et ça veut dire « crétinophobe ». La « phobie » φοβία, la peur, la crainte générant le rejet des « crétins » βλάκας vlakas !

    - Ben mon pauvre ! T’es pas sorti de l’auberge, parce que les crétins, c’est une espèce envahissante… Mais pourquoi tu te crois obligé de nous en foutre plein la vue en nous disant ça en Grec ? Je sais bien que la Provence et les Grecs, c’est une vieille histoire mais tu aurais aussi bien pu nous dire que la proximité des calus, des chiapacans, des gougnafiers, des goulamas te faisaient gonfler les aliboffis ! Tout le monde aurait compris alors que là degun y entrave nibe.

    - Je vous l’ai dit en Grec parce qu’on assiste, on subit l’invasion d’une palanquée de ces mots en « phobe » que l’on nous assène à tout bout de champ : tu es « agoraphobe » si tu crains la foule, tu es au contraire « claustrophobe » si tu as peur d’être enfermé, tu es « arachnophobe » si tu as peur des araignées. Mais les « phobes » les plus populaires, les plus envahissants ce sont « homophobe » et « islamophobe ». Si l’on te traite de l’un de ces deux vocables, ça a valeur d’excommunication au Moyen-Âge. Tu es montré du doigt, ostracisé, rejeté comme un lépreux. Parce que tu oses critiquer les homos ou l’islam. Ce concept révèle la volonté d’une certaine population de sacraliser certaines manières de vivre, certains sujets que l’on ne doit même plus pouvoir critiquer, envers lesquels on ne doit plus avoir la moindre réticence, ni réclamer le plus élémentaire droit d’examen sans être aussitôt marqué, stigmatisé par cette nouvelle étoile jaune du phobisme infamant.

    Notre civilisation réinvente à fond la caisse la démonologie, les procès en sorcellerie. Les bûchers ne sont pas loin. On assiste à l’émergence d’une flopée de sectes de crétins dont la lutte a pour finalité de surveiller, de punir, d’interdire. Mais les plus nocifs, les plus nuisibles ce sont ceux qui massacrent pour un dessin au nom d’une religion.

    Les religions sont des cancers de l’esprit, mais tant qu’elles étaient peuplées de déesses affriolantes sentant bon le patchouli et de dieux ne dédaignant pas de se taper quelques belles mortelles, ça allait. Mais le malheur est tombé lorsqu’une crevure de prêtre - ces escrocs - pire que les autres a inventé le dieu unique. Les névroses collectives nées d’Abraham SONT la principale source du malheur des hommes.

    Non mais vous imaginez le « père » de ces religions « du livre » - quelle horreur pour les livres - ce mec, Abraham, qui mène son fils en cambrousse, avec un grand couteau planqué dans sa gandoura, préméditant, pour obéir aux injonctions de son « dieu », d’égorger son fils, la chair de sa chair !

    Et c’est sur cette horreur intégrale que sont bâties les religions monothéistes. Comment peut-on être assez indigent de la tronche pour croire de pareilles konneries.

    Dès lors que l’on se dit descendant d’Abraham (juifs, chrétiens, musulmans), c’est donc qu’on accepte de tuer son fils pour plaire à ce dieu pervers, m’as-tu-vu, sanguinaire. Alors, tuer les autres… Broutilles.

    « La crédulité s’engraisse sur le désarroi comme la mouche verte sur la charogne » disait le grand Cavanna.

    - Ouais… Victor, je crois que je suis moi aussi βλάκαςφοβίας, crétinophobe.

    - Allez, à la nôtre, nous qui sommes κρασίφίλος, c’est-à-dire amis du vin !


    Illustration: merci au regretté Chimulus

  • Grandes voix. La "Lettre sur Dieu" d'Einstein.

     

    einstein

    La missive fait état du rapport du physicien à la religion, un an et demi avant sa mort. La lettre, rédigée en allemand, est adressée au philosophe Eric Gutkind, auteur de l’ouvrage Choisir la vie : l’appel biblique à la révolte, dans lequel ce dernier cite à de nombreuses reprises les travaux d’Einstein. Des références que le père de la théorie de la relativité goûte peu, au point d’écrire à Gutkind une mise au point, très polie mais directe, concernant son rapport au fait religieux.

    On fait du pognon avec tout. Cette lettre a été vendue aux enchères 2,89 millions de dollars.

     

    Princeton, le 3 janvier 1954

     

    Cher monsieur Gutkind,

    Poussé par les suggestions répétées de Brouwer [Luitzen Egbertus Jan Brouwer, mathématicien et logicien néerlandais], j’ai longuement lu votre livre ces derniers jours : merci beaucoup de me l’avoir envoyé.

    Voici ce qui m’a particulièrement frappé : nous avons beaucoup en commun dans notre approche factuelle de l’existence et de la communauté humaine. Un idéal qui dépasse notre intérêt personnel, une aspiration à dépasser les désirs égoïstes, une aspiration à l’amélioration et au renforcement de l’existence, en mettant l’accent sur l’élément purement humain par lequel les choses inanimées doivent être perçues comme un moyen, pour lequel aucune fonction dominante ne doit être attribuée (c’est particulièrement ce type de réflexion qui nous unit et fait de notre manière de penser une attitude authentiquement non américaine).

    Néanmoins, sans les encouragements de Brouwer, je ne me serais jamais autant plongé dans votre livre, car il est écrit dans une langue qui m’est inaccessible. Le mot Dieu n’est pour moi rien d’autre que l’expression et le produit des faiblesses humaines, et la Bible un recueil de légendes vénérables mais malgré tout assez primitives. Aucune interprétation, aussi subtile soit-elle, n’y changera rien (pour moi). Ces interprétations raffinées sont naturellement très diverses et n’ont pratiquement rien à voir avec le texte original.

    Pour moi la religion juive est, comme toutes les autres religions, l’incarnation d’une superstition primitive. Et le peuple juif auquel j’appartiens fièrement, et dont je me sens profondément ancré à la mentalité, n’a pas pour autant une forme de dignité différente des autres peuples. Au vu de mon expérience, ils ne sont pas meilleurs que les autres groupes humains, même s’ils sont protégés des pires excès par leur manque de pouvoir. Sinon je ne perçois rien d’« élu » chez eux.

    D’une manière générale, cela me blesse de revendiquer une position privilégiée et d’essayer de la défendre par deux murs de fierté, un mur extérieur en tant qu’être humain et un mur intérieur en tant que juif. En tant qu’être humain, vous affirmez, en quelque sorte, être dispensé d’une causalité que vous accepteriez autrement, et en tant que juif, vous revendiquez un statut privilégié pour le monothéisme. Mais une causalité limitée n’est plus du tout une causalité, comme notre merveilleux Spinoza l’avait reconnu le premier avec une clarté absolue. Et la conception animiste des religions naturelles ne peut pas, en principe, être annulée par ce monopole monothéiste. Avec de telles barrières, on ne peut que s’auto-aveugler ; et nos efforts moraux n’y gagnent rien. Bien au contraire.

    Maintenant que j’ai exprimé ouvertement nos différences de convictions intellectuelles, il m’est toujours clair que nos pensées sont très proches les unes des autres concernant l’essentiel, c’est-à-dire notre évaluation du comportement humain. Ce qui nous divise, ce sont seulement nos « outils » intellectuels ou la « rationalisation » – en langage freudien. Je pense donc que nous nous comprendrions très bien si nous discutions de choses concrètes.

    Avec mes sincères remerciements et mes meilleurs vœux,

    Bien à vous,

    A. Einstein

     

     Illustration X - Droits réservés

  • Ils hurlent à la mort d'une femme ! Au nom de Dieu…

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    Regardez-les hurler à la mort. À la mort d’une femme, suppôt de Satan désignée de toutes les « religions » dîtes « du livre ». Son crime : avoir bu un verre d’eau elle, la « koufar », la chrétienne, dans un puits réservé aux musulmans. BLASPHEME ! Et une seule sentence : la MORT !

    On croit rêver, non, on cauchemarde devant une telle montagne de stupidité, de méchanceté. Elle a donc été appréhendée sans ménagements, emprisonnée, jugée et condamnée à la mort par pendaison. C’est la coutume au « pays des purs », le Pakistan. Devant les protestations internationales, la sentence n’a pas été exécutée immédiatement et Asia Bibi – c’est le joli nom de la condamnée – a même bénéficié, après huit années de prison, d’un acquittement « au bénéfice du doute » de la part de la Cour suprême pakistanaise ce 31 octobre.

    Depuis, à l’appel du Tehreek-e-Labaik Pakistan (TLP), un groupe religieux islamiste radical devenu parti politique, des manifestations massives bloquent les villes et réclament hystériquement la mort pour la « blasphématrice », pour la chrétienne, pour la Femme.

    Voilà où mène le fanatisme découlant logiquement de toutes ces névroses collectives appelées « religions du livre ». Peut-il en être autrement lorsque, de la naissance à la mort, chaque acte de la vie - de la manière de se laver à celle de manger, de la façon de chier à celle de faire l’amour – est codifié, écrit, imposé. Aucune liberté, aucune marge de manœuvre, aucun libre-arbitre, aucune critique admise. Il faut se soumettre ou mourir. Les musulmans ne sont-ils pas les premières victimes de ce cancer de l’esprit qu’est l’islam, une idéologie qui les façonne, leur pollue l’entendement et qu’il leur est interdit de quitter sous peine de mort ?

    Mais ne nous leurrons pas, ces dérives mortifères ne sont pas une « spécialité » de l’islam. Pour s’en convaincre, rappelons-nous l’histoire édifiante du chevalier de la Barre, chez nous, il y a à peine deux siècles et demi.

    C’est en août 1765 que les habitants d’Abbeville constatent qu’un crucifix du Pont-Neuf a été abîmé. Après quelques atermoiements, on finit par soupçonner un gentilhomme de dix-neuf ans, Jean-François Lefebvre dit le Chevalier de La Barre, déjà inquiété pour des propos impies et pour ne pas avoir accepté de se découvrir lors du passage d’une procession ! Terrible sacrilège...

    La condamnation du tribunal d’Abbeville le 28 février 1766 est sans appel : le Chevalier de La Barre est condamné à avoir un poing coupé, la langue arrachée et à être brûlé vif, après des aveux sous la torture et la découverte du « Dictionnaire philosophique » de Voltaire et d’autres livres licencieux chez lui. On n’a effectivement rien à envier aux pires exactions islamistes !

    Le Chevalier de La Barre essaie de se défendre tant bien que mal devant ce procès irrégulier en interjetant devant le Parlement de Paris, qui lui accorde d’être décapité avant d’être brûlé le 1er juillet 1766 par quinze voix contre dix. Voilà une bien belle indulgence ! En outre, Voltaire est clairement visé durant le procès par le rapport du conseiller Pasquier qui appelle l’autodafé du « Dictionnaire philosophique » mais aussi l’éradication de son auteur « que Dieu demande en sacrifice ». Foutez-moi Voltaire et ses satanés livres au barbecue, qu'ils proclament et réclament les calotins...

    L’arrestation du philosophe en tant qu’instigateur de cette profanation est donc réclamée, ce dernier se réfugie au pays de Vaud (en Suisse près de Lausanne) puis demande asile auprès du « despote éclairé » Frédéric II le Grand, roi de Prusse.

    De son exil, Voltaire s’élève contre l’iniquité et la cruauté de ce procès réclamant la révision de ce dernier, comme le montre sa lettre au Comte d’Argental :

    « L’atrocité de cette aventure me saisit d’horreur, et de colère. Je me repens bien de m’être ruiné à bâtir et à faire du bien dans la lisière d’un pays où l’on commet de sang-froid, en allant dîner, des barbaries qui feraient frémir des sauvages ivres. Et c’est là ce peuple si doux, si léger et si gai ! Arlequins anthropophages ! Je ne veux plus entendre parler de vous. »

    Le philosophe ne réussit pourtant pas à faire réviser le jugement, malgré ses protestations et la demande de réhabilitation, dans les cahiers de doléances, du chevalier par la Noblesse de Paris.

    Le chevalier De La Barre fut la dernière personne exécutée en France pour blasphème. Il est victime de l’obscurantisme religieux et des petits complots de la bourgeoisie locale (le lieutenant du tribunal d’élection chargé de l’enquête est un ennemi acharné du Chevalier depuis que sa tante, qui a recueilli La Barre, l’abbesse de Willancourt, a repoussé ses avances.). Sa cause deviendra aussi célèbre que celle de Calas à Toulouse et de Sirven à Castres.

    Son exécution, symbole de l’arbitraire de la justice et de sa collusion avec le pouvoir religieux, est l’un des grands événements amorçant le processus de « déchristianisation » de la France au XVIIIe siècle. Et une première marche de la Révolution. Il faudra cependant attendre La Convention en 1793 pour que le Chevalier de La Barre soit réhabilité avant d’être élevé à la figure de victime du fanatisme catholique au XIXe siècle. Il est devenu un symbole de la lutte pour la laïcité et une icône de la Libre-Pensée.

    Les malheureux peuples soumis au joug de l’islam en sont encore à cette époque. Il nous a fallu la grande Révolution pour nous débarrasser de cet obscurantisme religieux assassin, ce n’est pas pour le voir revenir dans les fourgons des mahométans ! L’obscurantisme produit de l’obscurantisme en une génération ! C’est ce qui s’est produit au Pakistan, en Iran, en Afghanistan…Et c'est ce qui pourrai nous guetter.

    L’article 18 de la Déclaration universelle des Droits de l’homme, issue de notre Révolution est pourtant sans ambiguïté et devrait protéger Asia Bibi : Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites.

    Parler des Droits de l’homme – et surtout de la femme – en terre d’islam, c’est comme péter dans la sacristie !

    Signalons ici quelques exemples des relations bizarres de l’homme à la femme selon le salafisme wahhabite.

    - La légalisation de la pédophilie, puisque le mariage des gamines parfois dès l’âge de 5 ans est possible, sous condition d’acceptation par le père. Hypocrisie doublée de sadisme, comme si la gamine pouvait savoir le viol qui l’attend, alors que le père sait parfaitement.

    - La polygamie : pour permettre aux femmes qui arrivent parfois à la quarantaine sans s’être mariée de trouver un mari à partager…

    - Légalisation de l’esclavage sexuel : par des Imams visiblement machos, stupides et ignares quand ils rappellent les devoirs de la femme envers son mari. Puisqu’elle doit se tenir toujours disponible pour le plaisir de monsieur ! Si l’envie de copuler le prenait, elle doit tout lâcher pour le satisfaire. Sinon elle est justiciable de violence en cas de non-exécution… et le mari est dans son droit de la battre.

    - La femme et le travail : les femmes ne doivent pas travailler mais se consacrer à la procréation et à l’éducation des enfants…

    - Le mariage pour le plaisir, « zaouaj el moutâa » ou la légalisation de la prostitution : le gouvernement iranien a autorisé et généralisé le mariage de plaisir. Une journée par semaine les hommes qui le désirent pourront recourir à cette prostitution légalisée sous couvert d’islam en contractant un mariage bidon juste pour le plaisir sexuel. C’est pour faire baisser les abus sexuels selon les ayatollahs qui ont légiféré sur cette question ! Hypocrisie.

    - La répudiation : il suffit à l’homme de dire à sa femme trois fois « je te répudie, je te divorce » devant témoins pour que le divorce soit effectif au tort de la femme.

    - Le droit de cuissage : la femme au travail est considérée comme une tentation permanente aux hommes : une récente fatwa l’autorise à accorder ses charmes à son supérieur hiérarchique. Les cheikhs d’El Azhar en Égypte ont pondu cette fatwa parce que la femme au travail, au contact de l’homme, constitue une tentation permanente pour lui. C’est pourquoi « ils » légalisent son rapport sexuel avec son chef supérieur, ce qui valide son « péché » auprès de son mari pour ne pas avoir à divorcer puisque c’est « halal » (licite).

    - La femme au foyer : le désir de certains hommes d’enfermer les femmes dans leurs foyers, sinon de les voiler entièrement pour les soustraire aux tentations sexuelles et au regard concupiscent des hommes. Des obsédés sexuels !

    - Le droit de « corriger » sa femme : un cheikh donnait même des conseils au mari pour procéder par paliers à la correction de son épouse. S’il doit la battre, qu’il évite de la défigurer, conseille-t-il cyniquement !

    - La violence à l’égard des femmes : la violence avec laquelle les sympathisants salafistes d’Ennahdha vont de ville en ville en Tunisie (pourtant le pays musulman le plus ouvert !) pour agresser les femmes non voilées dans les rues, leur intimant l’ordre de se voiler. Et par la violence et la terreur, ils y parviennent ! Allant jusqu’à inciter au viol de celles qui refuseraient de se voiler, puisqu’il devient « halal » (licite, permis…), leur dit-on !

    - Le voile d’abord et maintenant la burqa et le niqab : il n’est écrit nulle part que la femme doit s’accoutrer de la sorte pour être une bonne musulmane… L’idée viendrait de couvrir la femme depuis que certains ont déclaré son corps « awra » (honteux) et donc qu’il lui faut le couvrir entièrement.

    - La lapidation des femmes jusqu’à ce que mort s’ensuive : châtiment suprême réservé aux fautes graves comme l’adultère. On a vu en Afghanistan l’insoutenable scène filmée de bout en bout montrant la hargne des hommes qui s’acharnent sur une jeune fille. La haine et la violence qu’ils y mettent sont à la hauteur de leur frustration de mâles en rut privés de satisfaire leur désir bestial ! On y voit une délectation morbide à meurtrir le corps d’une femme convoitée mais qu’ils ne pouvaient avoir.

    - Les crimes d’honneur autorisés voire encouragés, dont sont victimes les femmes. Où parfois il revient au fils de tuer sa mère pour adultère ou ce qui est supposé comme tel, comme un regard porté sur un autre homme que le sien, pour laver l’honneur de la famille ! C'est ce qui mine ce pays musulman d'Europe, l'Albanie, sous le nom de « Kanun ».

    - Le savoir est réservé aux hommes : que dire de l’affirmation répétée des cheikhs et des imams que le savoir doit être réservé aux hommes uniquement, car les femmes naturellement sont idiotes, donc hermétiques à tout savoir.

    - Les relations nécrophiles : un autre imam rassure les nécrophiles, puisqu’il leur autorise des relations sexuelles avec leur épouse morte, mais pas au-delà de 6 heures après son décès, précise-t-il ! Après la viande risque d'être avariée...

    Avec l'aide des collabos nazislamistes, voilà le monde que voudraient nous imposer les salafistes wahhabites, qui tiennent le haut du pavé en terres d’islam, et qui régissent ce « grand pays ami » qu’est l’Arabie saoudite, berceau de toutes ces dérives de l’islam. Voilà pourquoi je suis viscéralement réfractaire à toutes les « religions du livre » et particulièrement à l’islam.

    Eh ! Oh ! Victor, déconne pas, l’Arabie saoudite, c’est une terre d’islam. Et ce n’est pas seulement un pays « ami », c’est avant tout un client ! Un client pour nos belles machines à tuer…

    Et un client, dans notre paradis ultralibéral, c’est sacré !

     

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