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LANTIFADAS - Page 100

  • INSOUTENABLE ! LES TERRIBLES IMAGES DES ABATTOIRS VÉGAN.

    ATTENTION !

    Les images qui suivent peuvent choquer les enfants

    et les âmes sensibles.

    abattoir végan.png

    Dans les abattoirs végan, ils accrochent les fruits et les légumes vivants à des crochets et les découpent en petits morceaux au mépris du respect dû à la vie. Ces images de malheureuses pastèques coupées en deux vivantes, suspendues à des crocs de bouchers, coupées vives en petits morceaux baignant dans leur jus vital par des sadiques qui se cachent et ricanent sont insupportables. Et pourtant elles représentent la réalité que l’on ne voit pas parce qu’on ne veut pas voir la souffrance de nos sœurs pastèque, de nos frères poireau.

    Entendez-vous le cri d’horreur et de souffrance de l’innocente carotte arrachée vivante à sa terre nourricière avant d’être coupée en rondelles ou râpée vive ?

     

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    Arrachées à la main...

     

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    ...ou avec des instruments de torture

     

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    ...puis exposées en trophés sanglants dans des mains sadiques

     

    Et la détresse du poireau torturé avant d’être extirpé de la terre de ses frères pour être jeté vif dans de l’eau bouillante et – comble du sadisme – salée pour multiplier la souffrance ?

     

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    Les tortionnaires initient leurs enfants à leur cruauté

     

    Et les pleurs du pommier, du prunier, du fraisier dont les enfants leur sont arrachés brutalement pour mourir déchiquetés sous les crocs des terribles VEGANs.

    cueillette-pomme.jpg

    Une main assassine...

     

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    ...avec le sourire rictus.

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    ...et en bandes organisées.

     

    Et que dire de l’abandon, de la solitude impuissante de ces pauvres melons, arrachés à l’affection de leurs plantes pour être jetés vifs dans de grandes remorques chargées des cadavres frémissants de ces malheureux cucurbitacées…

     

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    Et que fait l’ONU ? Et que fait Macron ? Et que fait le gouvernement ?  Et que dit Ciotti ?

     

    Tous sont victimes du sadisme d’une terrible créature :

    le prédateur VEGAN !

     

    HALTE A LA  CRUAUTÉ !

    STOP AUX ABATTOIRS VEGAN !

     

    Poireaux, carottes, navets, melons, fruits,  légumes de tous les pays

    UNISSEZ-VOUS !

    Debout les damnés de la terre !

    Regroupons-nous sous la bannière

    #balancetonveg

  • Ouiquide érotique avec Paul Verlaine

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    Ouverture

    Je veux m'abstraire vers vos cuisses et vos fesses,
    Putains, du seul vrai Dieu seules prêtresses vraies,
    Beautés mûres ou non, novices et professes,
    Ô ne vivre plus qu'en vos fentes et vos raies !

    Vos pieds sont merveilleux, qui ne sont qu'à l'amant,
    Ne reviennent qu'avec l'amant, n'ont de répit
    Qu'au lit pendant l'amour, puis flattent gentiment
    Ceux de l'amant qui las et soufflant se tapit.

    Pressés, fleurés, baisés, léchés depuis les plantes
    Jusqu'aux orteils sucés les uns après les autres,
    Jusqu'aux chevilles, jusqu'aux lacs des veines lentes,
    Pieds plus beaux que des pieds de héros et d'apôtres !

    J'aime fort votre bouche et ses jeux gracieux,
    Ceux de la langue et des lèvres et ceux des dents
    Mordillant notre langue et parfois même mieux,
    Truc presque aussi gentil que de mettre dedans ;

    Et vos seins, double mont d'orgueil et de luxure
    Entre quels mon orgueil viril parfois se guinde
    Pour s'y gonfler à l'aise et s'y frotter la hure :
    Tel un sanglier ès vaux du Parnasse et du Pinde.

    Vos bras, j'adore aussi vos bras si beaux, si blancs,
    Tendres et durs, dodus, nerveux quand faut et beaux
    Et blancs comme vos culs et presque aussi troublants,
    Chauds dans l'amour, après frais comme des tombeaux.

    Et les mains au bout de ces bras, que je les gobe !
    La caresse et la paresse les ont bénies,
    Rameneuses du gland transi qui se dérobe,
    Branleuses aux sollicitudes infinies !

    Mais quoi ? Tout ce n'est rien, Putains, aux pris de vos
    Culs et cons dont la vue et le goût et l'odeur
    Et le toucher font des élus de vos dévots,
    Tabernacles et Saints des Saints de l'impudeur.

    C'est pourquoi, mes sœurs, vers vos cuisses et vos fesses
    Je veux m'abstraire tout, seules compagnes vraies,
    Beautés mûres ou non, novices ou professes,
    Et ne vivre plus qu'en vos fentes et vos raies

     

    Paul Verlaine

     

    Photo X - Droits réservé

     

  • Toussaint… « Si tu meurs, je te tue ! »

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    Et si on réfléchissait un peu sur la mort, cette curiosité, et ce que son appréhension à suggéré à ce « curieux poulet sans poil » qu’est l’Humain ? J’ai essayé de m’y frotter dans une saga préhistorique que j’ai commise… Ça se passe à la charnière entre le paléolithique supérieur, celui des artistes de Lascaux, et le néolithique porteur de malheur. Au moment où l’homme devint con en inventant le travail, la propriété, l'élevage, l'agriculture, les flics et les « curés » dans le sens large du terme dans une terrible chute vers le "progrès".

    (…)

    — Il y a bien longtemps, s’exprime à son tour Elor-Hans le sorcier Félobre, la grande Terre-Mère vivait, tremblait, se convulsait en montagnes de feu, en gouffres d’eaux, en infinis de neige. Et personne n’était là pour le voir et surtout pour le savoir. La terre était peuplée d’animaux qui naissaient, copulaient, se reproduisaient et crevaient. Sans se poser de problèmes.

    Heureux ! Puis est tombé sur un drôle d’animal — nous — une calamité : il a pris conscience qu’il existait, qu’il vivait.

    Et donc qu’il devrait un jour ou l’autre mourir... De là est née l’angoisse. La terrible angoisse de l’Après. Pour combattre cette angoisse, le malheureux animal humain, désormais conscient de sa terrible condition, a tout de suite perçu une attraction instinctive, irréfléchie, imprécise vers quelque chose d’inaccessible qui le dépasse totalement : l’obscure appréhension, le vague pressentiment qu’il existe ailleurs, en haut, très haut, très grand, un ordre des choses infiniment supérieur à lui et vers lequel il est impulsivement enclin à se soumettre s’il veut donner un sens à sa vie, s’il veut se libérer de son angoisse, s’il veut accepter sa condition humaine. L’angoisse de la mort lui a fait inventer la religion et avec elle tout ce qui organise la société des hommes. Pour nous, c’est l’harmonie de la Terre-Mère que nous appelons Gha-Yah et l’intégration de l’humain dans la nature parmi les autres créatures et au même titre qu’elles. C’est ce qui nous fait respecter les animaux et les plantes qui nous donnent leur vie pour perpétuer la nôtre. C’est ce qui nous fait respecter la vie, la liberté des autres humains tant nous avons besoin les uns des autres. C’est ce qui nous fait vivre en communauté pour affronter ensemble la dureté de l’existence. C’est ce qui nous fait honorer et respecter les femmes qui portent et donnent la vie. C’est ce qui nous fait respecter et honorer nos morts lorsqu’ils rejoignent la Grande Terre-Mère. C’est ce qui fait que nous ne craignons pas la

    mort car nous savons que notre esprit se fondra dans le Tout d’où nous sommes venus.

    Pour d’autres, ce peut être autre chose.

    — L’Homme, c’est pas toujours tout joli, ajoute Gaabhi en se grattant la barbe. Nous qui devons les aider à vivre au mieux ensemble, nous le savons... L’homme, il trimballe une bonne dose de cupidité, de méchanceté, d’agressivité. Avec, hélas, une certaine propension à humilier le vaincu, à dépouiller le faible, à jouir de le voir souffrir et crever. Mais toute cette saloperie latente est mêlée aussi à un esprit d’aventure, à un goût du risque, à un besoin de se surpasser et de vaincre. Sans oublier, quelque part dans les replis de sa cervelle et de toute sa viande, un besoin d’aimer, de protéger, de se sacrifier pour les autres parfois. C’est ça l’Homme. Faut faire avec. Mais ce dieu dont nous parle Thôrvig, ce Yahvzusla, c’est une belle crevure ! Qu’est-ce que c’est que ce dieu m’as-tu-vu et narcissique qui aurait créé les hommes uniquement pour se faire adorer ! Qu’est-ce que c’est que ce dieu mégalo, prétentiard et sadique qui exige le sang des pauvres humains qui n’ont jamais demandé à être créés ! Qu’est-ce que c’est que ce dieu injuste, qui a ses favoris : les prêtres qui s’autoproclament leurs représentants sur terre et ses souffre-douleur : les pauvres types qu’on lui sacrifie ! Qu’est-ce que c’est que ce dieu fourbe et combinard qui permet l’esclavage des hommes

    et des animaux ! Moi je vais vous dire : ce dieu a été créé à leur image par des gens particulièrement stupides, méchants, trouillards, mesquins, cruels, prétentieux et vindicatifs. Ces gens, ce sont ces prêtres qui établissent leur toute-puissance sur l’obscurantisme, la soumission et la foi aveugle qu’ils imposent à cette société de terreur dont vient de nous causer Thôrvig. »

    (…)

     

    in « ...et l'Homme devint con ! » de Jean-Victor Joubert - chapitre 12

     

    Le dieu « Yahvzusla » est évidemment la contraction de Yahvé, Jésus et Allah, les commis voyageurs des trois névroses collectives dîtes « du Livre » (NDMoi)

     

    Illustration X - Droits réservés