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  • Coranavirus : les multinationales contre les États ? Leurs profits contre nos vies ?

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    « Choose France » proclamait le ministre de l’économie Bruno Lemaire lors d’un grand raout fin janvier. Il se gargarisait de huit milliards d’investissements… Les investissements étrangers, c’est surtout le pillage des actifs, de la trésorerie, des brevets, de la clientèle de nos entreprises puis la fermeture et le « plan social » jetant à la rue les ouvriers et employés. Le plus emblématique de la nuisibilité de ce bradage de nos fleurons par des responsables irresponsables reste le dépeçage d’Alstom par General Electric, autorisé sinon organisé par un certain ministre de l’économie appelé Macron. Un scandale qui se poursuit d’ailleurs puisque le prédateur yankee continue opiniâtrement le démantèlement du site « mère » de ce qui fut Alstom en annonçant le déménagement de toutes les activités de maintenance de ce site vers l’Arabie saoudite et les États-Unis.

    Des exemples de la nuisibilité de cette « libre circulation des capitaux », principe de base de la « globalisation » (novlangue pour pillage par les multinationales), on en trouve des palanquées, de Whirpool à Ford, de Pechiney à Arcelor, d’Alcatel à Lafarge.

    Un nouveau pas dans cette nocivité se pointe à l’horizon, c’est celui des actions devant des justices privées d’investisseurs étrangers estimant que leurs profits ont été menacés voire amoindris suite aux décisions des États pour faire face à la pandémie Covid-19. Ainsi des cabinets de droit international planchent sur les biais par lesquels des entreprises s’estimant lésées par les mesures d’urgence décidées par les gouvernements pour lutter contre le coronavirus pourraient exiger des réparations. Ceci à travers l’Investor-State Dispute Settlement (ISDS), ce sinistre mécanisme ultralibéral permettant à des multinationales étrangères d’attaquer un État devant un tribunal arbitral privé lorsqu’elles estiment que les décisions de cet État sont préjudiciables à leurs profits, réels ou à venir. Ce système reste opérationnel dans les très nombreux accords commerciaux bilatéraux en vigueur. Ainsi, bien que prise par les gouvernements dans l’intérêt général et face à une menace vitale, certaines mesures pourraient mener ces gouvernements devant ces « tribunaux » privés, avec à la clé des dédommagements énormes bien qu’illégitimes.

    Par exemple les pétromilliardaires du Qatar, propriétaires du Martinez, du Carlton et autres palaces tant à Paris que sur la Côte d'azur pourraient attaquer, devant un de ces « tribunaux » privés, l’État français qui a osé fermer leurs bouibouis pour parasites friqués. Et ce sont nos impôts qui seront ainsi utilisés…

    Comment est-il possible que le règlement de tels différents échappe à la justice légale des pays, mettant ainsi à bas l’état de droit ?

    Eh ! C’est ça l’ultralibéralisme cher à Macron et consort… et proclamé sans pudeurs de jeune fille par David Rockefeller le 1er février 1999 dans le magazine Newsweek : « Quelque chose doit remplacer les gouvernements, et le pouvoir privé me semble l’entité adéquate pour le faire. » Autrement dit déléguer au secteur privé, aux multinationales, la maîtrise des choix au détriment de l’État.

    Mais au fait, on pourrait retourner cette logique mercantile contre ces multinationales. La pandémie actuelle, ainsi que celles qui vont immanquablement suivre, ne sont-elles pas le résultat, entre autres, du saccage des forêts mettant en étroits contacts des animaux sauvages et des humains, permettant ainsi le passage des virus de ces bestiaux qui n'y sont pour rien vers les humains ?

    Alors pourquoi les États ne porteraient-ils pas plainte contre les multinationales partout dans le monde puisque leur cupidité qui saccage la planète fait qu’elles sont les créatrices et les propagatrices de cette pandémie, et les obliger, par conséquent, à rembourser les dettes des États ?

    On peut toujours rêver…



    Sources :

    https://globalarbitrationreview.com/article/1222354/could-covid-19-emergency-measures-give-rise-to-investment-claims-first-reflections-from-italy

    http://ccsi.columbia.edu/2020/05/05/isds-moratorium-during-covid-19/

    https://www.mediapart.fr/journal/economie/200520/au-nom-du-covid-19-general-electric-demantele-un-peu-plus-belfort

    http://www.toupie.org/Bibliographie/fiche.php?idbib=1203

    https://www.mediapart.fr/journal/international/180520/covid-19-des-activistes-redoutent-une-hausse-des-procedures-lancees-par-des-multinationales-contre



    Illustration X - Droits réservés

  • Gastronomie confinée : La blanquette de veau

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    Lorsqu’arrive l’été, redoutable en Provence,

    Je fais ma transhumance :

    Je monte à la fraîcheur des terres de Lozère

    Où j’ai un pied-à-terre.

    Cette année, j'irai pas, je suis discipliné

    Puisqu'on est confinés...

    Mes voisins, y élèvent des vaches et des veaux

    Race Aubrac : les plus beaux.

    Leur robe beige tendre, leurs grands yeux de biches

    Et leurs superbes miches

    Sont un régal pour l’œil, de vie et d’élégance

    Mais aussi pour la panse !

    Ils sont tous baptisés par des noms pittoresques

    Presque gargantuesques.

    L’un s’appelle Tendron, l’autre c’est Côtelette

    Le plus beau c’est Blanquette !

    - Stoppe ton baratin, Victor, parlons pitance

    Au diable l’abstinence.

    - D’accord. Alors parlons de mon pote Blanquette.

    Mais sers-moi un canon, et pas de la piquette.

    Il te faut de l’épaule de veau désossée ;

    Coupe en morceaux moyens, épais et cabossés,

    Mets-les dans un faitout et recouvre d’eau froide,

    Tu blanchis cinq minutes. Plus, c’est des couillonnades.

    Jette l’eau, rafraîchis, remet dans ton faitout,

    Mouille avec de l’eau froide ou, bien meilleur atout :

    Avec un fond de veau fait main ou du commerce.

    Ma tripe est assoiffée : mets un tonneau en perce !

    Ah ! Tè, ça fait du bien. Bon, où en étions-nous ?

    - Tu avais mis la viande et l’eau dans le faitout.

    - Monte ton feu à fond. Quand ça bout, tu écumes

    Puis tu va ajouter aromates et légumes.

    Deux gros oignons piqués, quatre belles carottes

    Deux poireaux émincés, céleri, échalotes,

    Gousses d’ail écrasées, et un bouquet garni.

    N’oublie pas de saler. Cuis une heure et demie.

    Tu écumes souvent avec une écumoire

    Et n’oublie pas, surtout, de me servir à boire !

    Ça te donne le temps de préparer ta sauce

    Sur ton plan de travail, prépare ton matos.

    Il te faut éplucher un quart d’oignons grelots

    Même si cela doit t’arracher des sanglots,

    Et les glacer « à blanc », avec eau, sucre et beurre,

    Tu les cuis à couvert, petit feu, un quart d’heure.

    Fais sauter dans du beurre, un peu d’eau, du citron

    Un quart de champignon de Paris environ.

    Réserve de côté et prépare un roux blanc :

    Beurre, farine et crème fouettés gaillardement.

    Le temps étant venu, tu chinoises ta viande

    Récupérant ainsi une liqueur friande.

    Porte à ébullition et verse sur ton roux

    Pour que ça épaississe, tu cuis sur un feu doux

    En fouettant vivement pour une sauce lisse.

    Puis dans un cul-de-poule, une jatte d’office,

    Fouette trois jaunes d’œuf et de la crème fraîche,

    Verse cet appareil dans ta sauce et dépêche

    Toi d’ajouter le jus d’un citron en fouettant.

    Dans ton plat de service, ajoute à ton veau

    Les champignons et les oignons cuits et bien chauds.

    Nappe avec la sauce que tu passes au chinois,

    Mélange et sers chaud ce plat de super choix.

    Buvez très largement de la tétée d’automne

    Ces vins de large soif de la Côtes-du-Rhône,

    Et pour laisser le monde des végans, des sans-goûts,

    Alors resservez-vous !

     

     

    Photo X - Droits réservés

  • D’où viennent-ils ces virus qui nous confinent, qui nous font peur, qui nous tuent ?

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    Le virus qui bouleverse le monde entier s’appelle le SARS-CoV-2, en anglais « severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 ». Ce nom a été choisi car le virus est génétiquement apparenté au coronavirus responsable de la flambée de SRAS de 2003. Bien qu’apparentés, les deux virus sont différents. C’est donc le nom officiel, scientifique de ce brave coronavirus qui nous confine par peur de la maladie qu’il provoque, nommée, elle, COVID-19 (pour corinavirus disease apparu en 2019.

    Mal nommer un objet, c’est ajouter au malheur de ce monde, disait Albert Camus. Voilà, maintenant, on sait de quoi on parle.

    Est-il naturel ce brave SARS-CoV-2 ? Possible, quasiment sûr selon la doxa des scientifiques qui squattent les espaces médiatiques. Bon. Ils ont probablement raison puisque eux sont des « sachants » à défaut d’être toujours des savants.

    Probablement, mais pas sûr… Mais agiter quelques doutes là-dessus vous rejette immédiatement dans la catégorie des « complotistes ». Et pourtant…

    Certains ont émis l’idée que SARS-CoV-2 aurait été créé par des chercheurs chinois dans le laboratoire P4 flambant neuf, à la pointe de la technologie en la matière, installé avec l’aide des Français. Il faut savoir qu’un accord fut conclu dès 2004 pour la livraison rapide d’un laboratoire P4, accompagné d’un programme de formation pour les chercheurs chinois. Sarkozy suspendit le projet relancé par Hollande, convaincu par Raffarin. Le laboratoire, construit donc à Wuhan, fut inauguré le 22 février 2017 par Bernard Cazeneuve et Marisol Touraine qui firent spécialement le voyage. Une cinquantaine de chercheurs français devait travailler avec leurs collègues chinois dans ce labo. La France avait exigé des mesures de sécurité draconiennes et la promesse qu’aucune recherche à destination militaire ne serait effectuée. Les Chinois signèrent en souriant tout ce qu’on leur demandait. Mais les chercheurs français n’y mirent jamais les pieds… Plus de gêneurs donc pour, peut-être, fignoler en douce des armes bactériologiques. Possible mais pas sûr.

    Mais il y a autre chose. Les savants fous ne sont pas une vue de l’esprit. Le physicien américain Kenneth Bainbridge, responsable du premier essai de bombe atomique au Nouveau Mexique, avait déclaré à Robert Oppenheimer, patron du projet Manhattan : « Now we are all sons of bitches » (Maintenant nous sommes tous des fils de putes). Y aurait-il des « sons of bitches » dans les biotechnologies. Possible mais pas sûr.

    Et pourtant…

    Lu dans « Le quotidien du pharmacien » daté de décembre 2011. On y apprend des choses troublantes, passées inaperçues pour le commun des mortels et qui peuvent peut-être éclairer la succession de pandémies mettant en danger une grande partie de l’humanité :

    « Un virus H5N1 artificiel très contagieux. Le dilemme des chercheurs.

    Un groupe de scientifiques du centre Erasmus, aux Pays-Bas, a annoncé être parvenu à créer à partir du virus H5N1 responsable de la grippe aviaire, une souche hautement contagieuse capable de se transmettre d’homme à homme. L’objet de la recherche et sa publication prévue dans « Science » sont à l’origine d’une controverse entre chercheurs, notamment en raison d’un risque de bioterrorisme.

    La menace d’une pandémie grippale est réelle. Les pays et les chercheurs s’y préparent. Au Centre Erasmus des Pays-Bas, l’équipe du virologue Ron Fournier a cherché à comprendre comment le virus responsable de la grippe aviaire (H5N1), à l’origine de flambées épidémiques de grande ampleur dans les élevages de volailles, hautement pathogène chez l’homme mais jusqu’ici peu transmissible d’homme à homme, pouvait se transformer en un virus hautement contagieux. Les cas humains d’infection à H5N1 (565 personnes dont 331 décès) étaient essentiellement dus à des contacts directs ou indirects avec des animaux contaminés. Toutefois, le virus H5N1 qui continue à circuler parmi les populations de volailles demeure un virus grippal à potentiel pandémique et les scientifiques craignent qu’il n’acquière, à la faveur d’un réassortiment génétique, la capacité de se transmettre d’homme à homme.

    Les travaux de l’équipe hollandaise réalisés chez le furet montrent qu’un tel changement est possible et « plus facilement qu’on ne le pensait », souligne Ron Fournier. Les chercheurs ont réussi à introduire plusieurs mutations dans le génome du virus H5N1. Au bout du processus, ils ont obtenu un nouveau virus capable de se transmettre par voie aérienne (aérosols). Toutes les mutations introduites sont des mutations déjà observées dans la nature, même si elles ne l’ont jamais été simultanément.

    Cette découverte est, selon les chercheurs, un pas important dans la lutte contre les pandémies. « Nous savons aujourd’hui quelles mutations surveiller, ce qui, en cas d’épidémie, permettra de la stopper avant qu’il ne soit trop tard. Mieux encore, cette découverte va permettre de développer à temps des vaccins et des médicaments », poursuit Ron Fournier.

    Plus dangereux que l’anthrax.

    Les premiers résultats ont déjà été présentés lors du Congrès de l’ESWI (European Scientific Working Group on Influenza), en septembre, et doivent être publiés dans « Science ». Mais la publication a été retardée par l’agence américaine pour la biosécurité (NSABB, National Science Advisory Board for Biosecurity), qui procède à sa relecture. L’agence américaine pourrait publier dans les jours à venir des recommandations pour ce type d’études, celles dont les résultats peuvent être exploités à des fins de bioterrorisme. Comparant le virus au bacille du charbon, Paul Keim, du NSABB affirme : « Je ne connais aucun organisme qui fasse aussi peur que celui-là. Comparé à lui, l’anthrax ne fait pas peur du tout ».

    Des scientifiques, comme Richard Ebright (New Jersey), assurent même qu’une telle recherche « n’aurait jamais dû être faite ». D’autres soulignent l’importance de ces résultats, qui représentent, selon Michaël Osterholm, directeur du Center for Infectious Disease and Policy (Université du Minnesota) et membre du NSABB, « un tournant décisif ». Il ne s’oppose pas à sa publication mais suggère que certaines informations soient dissimulées. « Nous ne voulons pas donner à des personnes mal intentionnées un mode d’emploi pour transformer quelque chose de mauvais en autre chose de très mauvais », souligne-t-il. En France, le Dr Jean-Claude Manugerra, virologue, responsable de la cellule d’intervention biologique d’urgence à l’Institut Pasteur, souligne le sérieux de l’équipe hollandaise. « La question posée était légitime et la méthodologie, classique », explique-t-il. Pour lui, il s’agit d’un dilemme classique de la démarche scientifique. Il s’inquiète peu d’une éventuelle publication, car, précise-t-il, « peu d’équipes dans le monde seront capables d’exploiter les résultats de cette étude ». En revanche, il serait pour « une destruction du virus », une fois les résultats obtenus. Le centre Erasmus précise pour sa part que l’étude a été réalisée avec le soutien du NIH américain et a bénéficié de l’appui d’experts du CDC d’Atlanta pour les contrôles dans le laboratoire de haute sécurité. »

    Donc un virus extrêmement dangereux, bien plus que ce brave SARS-CoV-2 puisque tuant 60 % des contaminés, existe quelque part. Où ? Aux Pays-Bas ? Aux Etats-Unis ? Gardé par qui ? Par le NIH ? Où par la CIA ? A quelle destination ?

    Bon. Ça c’était en 2011. Mais ce n’est pas tout.

     

    Dans Le Parisien du 5 mai 2013 on peut lire :

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    « Un virus inquiétant créé en Chine. Des chercheurs Chinois ont fabriqué un virus hybride de la grippe aviaire très dangereux. Des scientifiques tirent la sonnette d’alarme.

    Utile ou dangereux ? La communauté scientifique mondiale est en émoi depuis l’annonce, vendredi, dans la revue américaine « Science », de la création d’un dangereux virus hybride par des biologistes chinois. Alors que la Chine se débat avec une nouvelle énième épidémie de grippe aviaire, une équipe de chercheurs de l’université agricole du Gansu a donné naissance à un nouveau virus, mélangeant des gènes de H5N1 et de H1N1.

    Le premier, qui a contaminé 628 personnes depuis 2003, mortel dans 60 % des cas, peut être transmis à l’homme par les oiseaux, mais pas d’humain à humain. Le H1N1, apparu au Mexique en 2009, n’est pas réputé plus mortel qu’une grippe ordinaire mais il est hautement contagieux. Il aurait infecté un cinquième de la population mondiale lors de la pandémie de cette année-là, tuant 18 000 personnes.

    Le but de l’expérience n’est pas clair.

    L’hybride made in China a pris le pire des deux, avec cette caractéristique inquiétante : il se transmet très facilement entre deux cochons d’Inde, via les voies respiratoires. Par un simple éternuement, par exemple. Conclusion des chercheurs chinois : le redoutable H5N1 n’a besoin que d’une toute petite mutation pour devenir transmissible entre mammifères.

    « Fallait-il donner ce coup de pouce à la nature juste pour démontrer cela ? », grondent les spécialistes. La démonstration n’en vaut pas la chandelle au regard des risques. Une erreur de manipulation, une fuite, une mauvaise intention et un virus OGM de ce genre peut aisément « contaminer les gens, provoquer entre 100 000 et 100 millions de morts », estime Simon Wain Hobson de l’Institut Pasteur.

    Pour Robert May, ancien président de l’Académie des sciences britannique, l’équipe chinoise a cédé à l’ambition plus qu’au bon sens. Le but de cette expérimentation n’est pas clair. « Ce genre de recherche est inutile à la fabrication d’un vaccin. S’il s’agissait uniquement de démontrer qu’une mutation le rend transmissible entre humains, c’est aussi vain que coûteux : on le sait déjà, confirme le virologue de Pasteur Jean-Claude Manuguerra (lire ci-contre). Il y a deux ans, des recherches similaires, conduites aux Pays-Bas et aux États-Unis, s’étaient vues interdites de publication, par peur de récupération terroriste, et un moratoire décrété. Il a pris fin en janvier dernier. »

    Les furets d’un côté, les cochons d’Inde de l’autre, c’est pareil. Les Chinois ont donc repris les travaux de Ron Fournier du centre Erasmus, aux Pays-Bas menant à la transmission directe de mammifère à mammifère par simple éternuement ou postillons. Pour en faire quoi ? Des vaccins ? Ils sont où ?

    Notons que les travaux chinois n’ont pas été réalisés au labo P4 de Wuhan, conçu par les Français, mais à l’Université agricole de Ganzu.

    Alors il vient d'où SARS-CoV-2 ? Il peut venir d'un marché à bestiaux de Chine. Ou Pas… Il peut venir des Etats-Unis. Ou pas… Il peut venir des Pays-Bas. Ou pas…

    Il n'est pas venu d'une attaque bactériologique caractérisée et volontairement décidée car les attaquants potentiels sont eux-même victimes. Une telle attaque bactériologique ne pourrait avoir lieu que si l'attaquant possédait un traitement ou un vaccin efficace pour sa propre population ! Ce qui n'est pas le cas pour cette fois.

    Voilà. Maintenant chacun peut un peu mieux se faire son opinion sur ces drôles de virus qui nous cernent, nous confinent, nous menacent. Jusqu’à quelle catastrophe ?

     

    Illustrations X - Droits réservés

     

    liens :

    https://www.lemonde.fr/sciences/article/2015/08/03/70-ans-apres-hiroshima-la-science-produira-t-elle-de-nouveaux-fils-de-putes_4710139_1650684.html

    https://www.franceculture.fr/sciences/le-laboratoire-p4-de-wuhan-une-histoire-francaise

    https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/recherche-science/le-dilemme-des-chercheurs

    https://www.lequotidiendupharmacien.fr/formation/specialites-medicales/le-dilemme-des-chercheurs

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Centres_pour_le_contr%C3%B4le_et_la_pr%C3%A9vention_des_maladies

    https://www.univerzities.com/china/gansu-agricultural-university/

    https://publish.monbeaulivre.fr/shop/index.php/catalog/product/view/id/488175/s/epub-attention-une-pandemie-peut-en-cacher-une-autre-operation-lemmings-225048-publish-monbeaulivre-fr/