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résistance - Page 2

  • Le couteau d'Abraham

    Illustration 1

     

    Dieu maudit, dieu unique, inique et sanguinaire

    Dont le rire odieux ensanglante la terre,

    Si tu avais du cœur, si tu avais une âme

    Aurais-tu retenu le couteau d'Abraham ?

    Que ne l'as-tu laissé tuer son rejeton

    Plutôt que d'égorger un innocent mouton !

    En saignant ses deux fils, tuant sa descendance

    Il aurait évité des siècles de souffrance.

    Que ce fut Isaac, que ce fut Ismaël,

    Ces frères ennemis perpétuent leur duel,

    Ces messagers de mort depuis portent le glaive

    Et font couler le sang et les larmes sans trêve,

    Refusant de remettre leur épée au fourreau

    Ils sont à tour de rôle, et victime, et bourreau.

    Les enfants d'Isaac fondèrent Israël

    Et l'Islam fut donné aux enfants d'Ismaël

    Ces frères combattants issus du même sang

    Arborent comme emblème l'étoile ou le croissant.

    L'objet de leur combat, c'est une même terre -

    Que chacun revendique comme leur sanctuaire -

    Commune puisqu'alors c'était un même peuple

    Avant que des dieux fous ne les rendent aveugles.

    Partout où ils essaiment, ils importent leur guerre,

    Bafouant les nations qui leur offrent leur terre.

    Et sur leur sol martyr, dans le sang et les flammes,

    Se massacrant entre eux, ils génèrent des drames.

    Les uns sèment la mort au bout de leurs missiles

    Au nom de la Charia, sur les champs et les villes,

    Les autres, sous l'abri moral de la Shoa,

    Massacrent des enfants, explosant corps et bras.

    Ces sordides tueurs, ces brutes sanguinaires

    Devraient bien méditer ces vers de Baudelaire :

    "Et cependant voilà des siècles innombrables

    Que vous vous combattez sans pitié ni remords,

    Tellement vous aimez le carnage et la mort,

    Ô lutteurs éternels, ô frères implacables ! "

    N'êtes-vous pas fourbus et noyés dans les larmes ?

    Y aura-t-il toujours, entre frères, une lame ?

    Ne serait-il pas temps de rejeter la haine

    Et se dire « Bonjour ! » à défaut de « Je t'aime ! »



    VictorAyoli

     

    Photo X Droit réservé



     



  • Attal interdit l’abaya à l’école. Enfin une bonne décision !

    Ce n’est qu’un premier pas courageux autant que lucide, car c’est en fait l’islam qu’il faut interdire non seulement à l’école, mais sur tous les territoires de la république et dans toute l’Europe. L’islam est un totalitarisme – bien pire que ceux d’Hitler et de Staline - qui se camoufle derrière un mot : religion.

    Cette idéologie, dont le droit fondamental est la charia, est incompatible avec le droit européen et donc avec le droit français. Par arrêt du 31 juillet 2001, la Cour européenne des droits de l’homme a proclamé l’incompatibilité entre la charia et les droits de l’homme, tels que mentionnés dans la déclaration universelle des droits de l’homme édictée par l’ONU en 1948. Cet arrêt a été confirmé par la Grande Chambre de la Cour européenne le 13 février 2003. En France, la loi de 1905 sur la laïcité font obligation à la République de garantir la liberté de conscience. Article 1er de la loi de 1905 et la Constitution de 1958 édictent: « La République assure la liberté de conscience ». Or l’Islam non seulement refuse la liberté de conscience mais il l’interdit et il la sanctionne. Un musulman ne peut sortir de l’islam. Apostat, il est condamné à mort et n’importe quel croyant peut exécuter la sentence. Et c’est héréditaire : un enfant de musulman sera obligatoirement musulman avec la même obligation de demeurer dans l’islam. Quant à la fille d’un musulman, elle ne peut épouser un non-Musulman. Quant à ses droits, la pauvre femme...

    Ceci est en contradiction fondamentale avec notre droit. Et on tolère ça ? Mettez-vous en contradiction avec les lois de la république et vous verrez ce qui vous arrivera…

    On entend les collabos mélanchoniens ou écolobobos hurler à la ségrégation, au racisme, à l’islamophobie. Tant mieux. Ils se déconsidèrent un peu plus.

    Le musulman est enfermé dans un filet d'injonctions et d'interdictions dont il ne peut se sortir sans y laisser sa peau. Pour déterminer sa conduite, il ne fait pas appel à la rflexion, à l’échange d’idéees ; à la raison mais à la « loi »islamique, ce qu’il en connaît et surtout ce que lui en disent les « pros » du bourrage de crâne, imams, oulemas et autres. Il est programmé par une inintelligence artificielle. L’islam ne marche pas vers le progrès, il se replie vers un passé mythifié des origines. C'est d'ailleurs la signification du mot salafi.

    L’islam est en guerre avec tout ce qui n’est pas lui. Ses textes fondateurs font obligation aux musulmans de combattre les autres peuples jusqu'à leur soumission ou leur destruction. Mais le recours à l’affrontement armé ne doit avoir lieu que si l’on est sûr de l’emporter. Jusqu’à ce rapport de force positif, le « bon » musulman peut et doit utiliser l’hypocrisie, la dissimulation, la ruse, le mensonge, la corruption, la trahison. Il a à sa disposition tous les moyens de la taqiyya et de la corruption. Voler un infidèle n’est pas un péché. Non plus que contrevenir à ses lois par le trafic ou en trichant, profiter de sa naïveté, l’abuser de mille manières. « Caresse la main de ton ennemi jusqu’à ce que tu puisses la mordre. »

    En France, où en est-on ? Autour de six millions de musulmans, au moins. Vingt pour cents sont intégrés et on doit leur manifester la plus haute considération compte tenu du courage qu’il faut pour s'extirper du carcan de l’islam ; vingt pour cent sont islamistes, donc ennemis déclarés ; et soixante pour cent attendent pour savoir vers où tournera le vent. Ça fait tout de même 80 % d’hostilité ouverte où latente dans cette guerre de conquête à bas bruit.

    Dans cette guerre, chaque « arrangement raisonnable », chaque concession, chaque reculade est une victoire pour les islamistes. Attal, tient bon ! Leur stratégie est à long terme. Il convient d'abord d’habituer les Français au fait musulman. C’est l’abaya, le voile, le burkini, les horaires séparés dans les piscines, les menus hallal, les dérogations pour la gym des filles à l'école, etc. Il s’agit de grignoter des parcelles de droits puis de territoires, ces fameux territoires perdus de la république. Territoires où le droit républicain est remplacé par celui de la kalach des trafiquants de drogue avec la caution « morale » des islamistes. Tout cela avec la complicité, et même la collaboration de certains élus locaux qui, pour avoir la paix sociale et un électorat dévoué, se soumettent aux désidératas des islamistes. A LFI et chez les écolobobos on en sait quelque chose.

    L’immigration massive, appelée de ses vœux par le patronat depuis des décennies, la non intégration des deuxième et troisième génération combinés à la guerre des utérus font entrevoir un avenir où le drapeau vert de la République Islamique de France risque de remplacer le drapeau bleu blanc rouge…

    Sauf si la France, l’Europe, l’Occident ouvrent enfin les yeux et se donnent la volonté et les moyens d'interdire ce totalitarisme, d’en expulser ses propagandistes, d’en neutraliser ses soldats, d’en tarir son financement, de verrouiller ses frontières à tous les tenants de cette idéologie.

    La Reconquista, quoi. Les Espagnols l’ont bien réalisé, en d’autres temps. Mais il faut dire qu’ils « en » avaient, eux.

     

    Victor Ayoli

  • Au bistro de la toile : accueillir les « revenants » de Daech ? Aux fous !

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    - Eh , Victor, la cour de « justice » de La Haye adjoint parait-il la France de reprendre sur son sol les femmes parties faire le jihad en Syrie et des enfants « pour la cause ». Qu’est-ce que t’en pense ?

    - « enjoint », Loulle, pas « adjoint ». Ce que j’en pense ? Que le crétinisme de ces « juges » de mes deux atteint des sommets. Et les dégoulinantes verbales de toutes les « belles âmes » qui se lamentent sur le sort de ces « malheureuses » me donnent des boutons. Elles oublient que « ces pauvres femmes françaises » sont parties volontairement - en crachant sur leur pays, la France - en Syrie proposer aux tueurs de Daech leurs ventres dans les Lebensborn islamiques comme trous à bites et engendreurs de lardons. Elles sont des terroristes par leur ventre, Loulle. Et nous devrions les faire revenir ? Les nourrir en zonzon où elles feront du prosélitisme et du recrutement ? On en entend, on en lit obséquieusement interviewées dans leur camp prison chez les Kurdes, se lamentant sur leur sort. Sort qu’elles ont choisi, ces Sophie, ces Margot, ces Jennifer (mais qui avait dû rejeter, avec leurs inséminateurs daechiens, ces prénoms bien trop français !).

    Ces femmes ont choisi de trahir leur pays, de prendre les armes contre lui, au minimum de servir de repos du guerrier et de truies gravides pour fabriquer une génération de Grimlocks, et lorsque le vent tourne, elles se rappellent qu’elles sont nées, ont été élevées, soignées, éduquées dans un pays libre appelé la France. Pays sur lequel elles crachent leur fiel mais où elles voudraient bien revenir maintenant que leurs nombreux et divers « maris » égorgeurs sont morts et surtout alors qu’elles sentent la mortelle caresse de la cravate de chanvre qui les guette !

    Victimes ces femmes ? Eh ! Oh ! Elles savaient parfaitement ce qu’elles faisaient en se « mariant » avec des égorgeurs de daech ou autres sectes de tueurs d’allah. Alors comme ça, on oublierait tout ? « Non mais, c’était pour rigoler ! » Ils rigolaient les malheureux que leurs tringleurs barbus égorgeaient ? Ces femmes se seraient laissées abuser ? Elles n’ont pas de volontés propres ? Elles ne sont pas responsables ? C’est l’amour qui leur a tourné la tête ? Tè, fume !

    Et puis gambergeons un peu, ça changera. Que vont devenir ces « revenantes » et leurs progénitures en France ? On les mettra où ? Quel est le maire qui les acceptera de gaîté de cœur sur son territoire ? En banlieue ? Sûrement pas : elles seront accusées de lâcheté pour avoir fui.

    - Ouais, mais les gosses, Victor, ils n’ont pas choisi, eux…

    - Les enfants ? Qui ont été éduqués dès leur premier âge en ingurgitant des vidéos d’égorgement, de décapitations, qui voyaient des armes à la maison, qui entendaient quotidiennement les récits sanglants de leurs tueurs de pères, dont la cervelle malléable a été manipulée de façon à haïr le « koufir », c’est-à-dire toi, moi. Combien d’années de coûteux suivis psychologiques vont-ils nécessiter ? Pour quel résultat hasardeux ? Ils seront autant de bombes à retardement. De la graine de tueurs pleins de haine en liberté et une recrudescence d’attentats à venir.

    Ces gens, jeunes, moins jeunes, hommes, femmes et même enfants - nés et élevés pour en faire des machines à tuer – qui partent s’engager dans les rangs de nos ennemis, qui tuent les ennemis de nos ennemis, donc nos amis, doivent savoir que s’ils partent, c’est un billet sans retour. En temps de guerre, les citoyens d’un pays qui passent à l’ennemi sont des traîtres, des déserteurs et doivent être traités comme tels, c’est-à-dire « éliminés ». En bon français, on devrait dire tués.

    - Le retour de la peine de mort en somme. Quand même, c’est dégueulasse, Victor…

    - C’est dégueulasse ? Bien sûr que c’est dégueulasse, mais on ne fait pas la guerre en dentelle. La guerre, c’est la mort, c’est la trouille, c’est l’angoisse, la peur panique, les cris, le bruit, la souffrance, le deuil, les massacres, les flammes qui brûlent, la fumée qui aveugle, les bouts de fer qui hachent la viande. La guerre, ça sent la merde du pauvre type qui se chie dessus de peur, ça sent cette odeur âcre, doucereuse des corps gonflés qui grouillent de vers, ce sont les tripes irisées sous le soleil, ça sent la poudre, le feu, la mort, la mort, toujours la mort. Va demander aux Ukrainiens...

    On s’empêtre dans des considérations morales contre des ennemis qui se torchent allègrement l’oignon avec toute morale. On cède devant les jérémiades de « droit-de-l’hommistes » bêlants qui sont autant d’idiots utiles des nazislamistes. Avec en perspective des « Bataclan », des « Nice » et des palanquées d’assassinats au couteau.

    - Macrounet, tu crois qu’il va céder aux injections de ce « machin » de l’Europe ?

    - « Injonctions » Loulle. Il a déjà commencé, des femmes et leurs lardons arrivent discrètement. Si on est responsable, on n’accepte pas de prendre le risque de voir dix, cent, mille traîtres abrutis par la propagande ennemie rentrer « au pays » et y semer la mort la plus lâche, celle des attentats aveugles. Macrounet nous rebat les oreilles en nous disant que nous sommes en guerre. Alors en temps de guerre, utilisons les lois de la guerre. C’est dur mais c’est comme ça. Ces gens qui sont partis faire le « jihad », il faut les détruire, les tuer dès qu’on les a « logés » comme disent les flics. Il faut qu’ils sachent qu’ils ne rentreront jamais « au bercail », sinon les pieds devant…

    À force de tout voir, on finit par tout supporter.
    À force de tout supporter, on finit par tout tolérer.
    À force de tout tolérer, on finit par tout accepter.
    À force de tout accepter, on finit par tout approuver.

    (Augustin d’Hippone dit Saint Augustin)

    Illustration: merci au regretté Chimulus