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Comment contrer la grève des ventres féconds

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- Eh ! T’as entendu Loulle la France est tombé dans le « baby crash » qu’ils disent depuis ce matin dans les machines à bruit. Les Françaises ne veulent plus faire d’enfants. Elles font comme si elles le faisait, tout bien comme il faut, avec les gâtés, less secousses, les soupirs, même les cris de bonheur s’il faut mais avec la piloche ou le con d’homme, pardon le « condom », eh bien pas de polichinelle dans le tiroir. Et la France va bientôt rejoindre les autres pays européens, notamment l’Allemagne et l’Italie, où les femmes semblent faire la grève du ventre fécond.

- Pas toutes les femmes Victor. Ailleurs dans le monde règne une démographie démente. Sache que pour chaque battement de notre palpitant, trois bébés naissent quelque part dans le monde ! Essaye d’imaginer ce fleuve, cette marée de nouveaux venus braillards sur cette pauvre boule de plus en plus puante qu’on appelle Terre !

- Cette reproduction zoologique peut avoir une cause sécuritaire pour les géniteurs :plus ils font d’enfants plus il en restera pour s’occuper d’eux lorsqu’ils seront vieux. C’est le cas dans bien des pays africains ou asiatiques où les notions de sécurité sociale sont inconnues. Mais elle peut aussi avoir une autre finalité, beaucoup plus vicelarde : la conquête par la guerre des utérus. Houari Boumedienne, ancien président de l’Algérie proclamait devant l’ONU ces propos aussi menaçants que prophétiques : «Un jour, des millions d'hommes quitteront l'hémisphère Sud pour aller dans l'hémisphère Nord. Et ils n'iront pas là-bas en tant qu'amis. Parce qu'ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire.» On y est Loulle. On y est.

- C’est ça que tu appelles la guerre des utérus ?

- Exactement Loulle. En deux ou trois générations, les populations exogènes, c'est-à-dire venues d’ailleurs, vont supplanter les populations indigènes. C’est mathématique. Ça n’a rien à voir avec un quiconque complot du « grand remplacement ». Dans nos civilisations occidentales où la religion a été remise à sa place et où les femmes sont éduquées, la démographie galopante n’existe plus. C’est bon pour la planète, mais c'est une faiblesse pour nous car en démocratie, ce sont les plus nombreux qui gagnent, d’où le réflexe de faire le plus d’enfants possibles pour écraser l’adversaire par le nombre. Lorsque nos femmes font un, deux, voire trois enfants, les femmes venues d’ailleurs  - majoritairement musulmanes donc maintenue dans l’inculture par l'idéologie machiste de l’islam – en font cinq, six, sept et plus si affinitéet allocations familiales.

- C’est l’argent braguette !

- Et la conquête sournoise, à bas bruit, où les conquis paient pour les conquérants. La konnerie à l’état pur…

- Mais alors comment faire Victor ? Supprimer les allocs ?

- Pas les supprimer, mais les encadrer strictement.

- Comment ?

- Le but, c’est de maintenir un remplacement des générations majoritairement indigène tout en faisant barrage à l’argent braguette, donc à l’asservissement par la guerre des utérus. Par exemple les allocs paient 400 euros par mois jusqu’à sa majorité pour un enfant, 500 euros pour un deuxième enfant, 600 euros pour un troisième enfant mais rien pour un quatrième enfant et une taxe de 400 euros pour le cinquième, 500 pour le sixième, 600 pour le septième, etc. L’argent braguette n’y survivra pas longtemps ! Et la France et l’Europe ne perdront pas la guerre des utérus.

- Voilà une idée qu’elle est bonne Victor ! On pourrait même considérer pour la mère cela comme un salaire ouvrant droit à retraite et autres prestations.

- Bien entendu Loulle.

- Eh ! Victor Macrounet aurait dû de prendre comme ministre de la famille dans son remaniement ! Mais je crois que ce n’est pas très « politiquement correct » ton système. ­Allez buvons un coup !



Victor Ayoli.





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