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religion - Page 5

  • La France plus généreuse avec ses terroristes qu’avec ses chômeurs !

    migrants

     

    Le tueur au hachoir qui a attaqué et grièvement blessé deux journalistes qu’il croyait être de Charlie hebdo a été très généreusement accueilli, nourri, hébergé, éduqué, soigné par la France. Pour quelle reconnaissance ?

    « Aujourd’hui, vendredi 25 septembre, je vais les condamner ». « Je » c’est le dénommé Zaheer Hassan Mehmood, 25 ans, sujet pakistanais entré frauduleusement en France il y a trois ans en se faisant passer pour mineur alors qu’il avait 22 ans. Les fonctionnaires qui l’ont réceptionné devaient avoir des lunettes en peau de saucisson… Ou bien ils font preuve d’un laxisme coupable… « Les » ce sont les « blasphémateurs » de Charlie hebdo mais aussi tous les « koufars », c’est-à-dire soixante et quelques millions de Français…

    Le dénommé Mehmood est une victime. Attention pas une victime « sociale », une victime du « racisme », une victime de « l’islamophobie » comme bavent les idiots utiles, pardon les crétins nuisibles nazislamistes de cette gauche devenue la putain de l’islamisme. Le dénommé Mehmood qui se faisait passer pour un mineur, était pris en charge depuis 2018, par le Conseil du département du Val-d’Oise qui le logeait, le nourrissait, le soignait. Il coûtait 50 000 euros par an au département ! Il n’était donc pas si malheureux que ça en France. Alors victime de quoi le dénommé Zaheer Hassan Mehmood ? Mais de cette idéologie obscurantiste, arriéré, essentiellement intolérante, violente appelée « islam » c’est-à-dire « soumission ».

    Ainsi le « jeune » pakistanais Zaheer Hassan Mehmood, a été élevé dans le pays le plus sinistrement rétrograde de la planète où la moindre critique du « prophète » est punie de mort. Il est donc normal, dans sa petite cervelle karchérisée à l’islam depuis son premier vagissement, de donner la mort à tous ces mécréants qui osent se moquer de leur « führer ».

    Certains intellos islamocompatibles essaient de nous vendre un islam « religion de paix et d’amour », mais partout où cette idéologie sévit ce sont des conflits incessants, mortifères, la haine et la violence envers les minorités religieuses et ethniques, l’inégalité entre l’homme et la femme reléguée généralement au rang de reproductrice et de viande à plaisir. Mais cette violence, ce rejet de tout ce qui ne se soumet pas, de tous ceux qui prétendent réfléchir par eux-mêmes est explicite dans la Fatiha, la première sourate, obligatoirement connue par cœur et récitée plusieurs fois par jour par les victimes de cette idéologie. Elle dit : « Al Hamdulillahi rabbi-l-`alamin »… etc. Ce qui veut dire : « Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux. Louange à Allah, Seigneur de l’univers. Le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux, Maître du Jour de la rétribution. C’est Toi [Seul] que nous adorons, et c’est Toi [Seul] dont nous implorons secours. Guide-nous dans le droit chemin, Le chemin de ceux que Tu as comblés de faveurs, non pas de ceux qui ont encouru Ta colère, ni des égarés. »

    Les égarés, c’est nous ! Et il est donc normal de nous imposer le « droit chemin » et sinon de nous détruire.

    Au Pakistan, Mehmood est fêté comme un héros. Son père, Arshad Mahmood proclame sur les médias pakistanais : « Je suis fier de ce que mon fils a fait. J’ai cinq fils et je les sacrifierais tous pour Mahomet ! »Ici, Mehmood a triché – normal, c’est la Taqqiya, la dissimulation – il a été soigné, hébergé, nourri, éduqué, protégé, etc. À hauteur de 50 000 euros par an, à la charge de l’État et des Collectivités locales, donc de nos impôts. Heu-reux en terre mécréante !

    Obtenir le Graal, c’est-à-dire être reconnu « mineur non accompagné », comment ça se passe ? Si c’est à Paris, c’est la Croix Rouge qui se charge de faire « reconnaître la minorité » du jeune. Notons que ces « mineurs isolés » sont à 95 % des hommes. Dans les « territoires » c’est l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE). Il doit aussi se rendre à la préfecture pour un relevé d’empreintes. Un minimum tout de même… Ces « jeunes » savent tous à l’avance à quelles portes taper pour se faire aider, par exemple l’ADJIE (accompagnement et défense des jeunes isolés étrangers) ou Médecins sans frontières (MSF) ou encore le Gisti, la Cimade, et les Midis du Mie En voici ici une liste non-exhaustive.

    S’ils n’ont pas de papiers d’identité – ce qui est généralement et volontairement le cas - l’administration française est sensée tout faire pour les aider à les retrouver mais, dans les faits, c’est extrêmement rare. « T’as pas de papiers ? Tu dis que t’es mineur ? Allez viens, c’est open bar » ! Un mineur n’est pas expulsable, et s’il a raconté des konneries sur son âge, ce qui est souvent le cas, il pourra faire appel, et la décision du juge sera donnée… qui sait quand ?

    Et puis, une fois accepté comme demandeur d’asile, le « mineur » peut faire venir ses parents, ses frères et sœurs, et tutti quanti…

    L’Assemblée des Départements de France (ADF) a communiqué des chiffres : ils seraient plus de 41 000 migrants prétendument âgés de moins de 18 ans et se trouveraient en France sans adulte responsable à être pris en charge par les services sociaux.

    Des migrants qui sont, rappelons-le, pour environ 95 % d’entre eux, des hommes. Et qui ne coûtent pas moins de 2 milliards d’euros par an aux collectivités selon les données de l’année 2018 !

    Pour chaque migrant « mineur », c’est une somme estimée à 50 000 euros qui est dépensée chaque année. Un budget dans lequel sont compris le logement, la nourriture, les frais d’éducation et de formation. De cette somme, l’Assemblée des Départements de France déplore la très faible part remboursée par l’État.

    Ce phénomène des « mineurs non accompagnés » mais aussi des migrants adultes est facilité par les ONG qui encouragent toutes les migrations vers l’Europe et alimentent ainsi l’idée du « monde sans frontières ». Certaines ONG les aident avant même qu’ils atteignent l’Europe, dans leurs pays d’origine, se faisant ainsi les rabatteuses des mafias de passeurs. Elles leur fournissent des informations, facilement accessibles sur Internet ou sur des applications téléphoniques, pour guider ces futurs « Européens » dans leurs démarches. On leur donne ainsi des conseils pour rentrer en Europe et sur les propos à tenir une fois sur place. Au fil du temps, les migrants ont une conscience de plus en plus claire de ce qui va leur arriver et de ce qu’ils peuvent obtenir. Le bouche-à-oreille dans leur pays d’origine et les informations glanées auprès de ceux qui ont réussi le voyage y sont pour beaucoup. Mais cela s’explique aussi par cette tendance actuelle à expliquer aux migrants comment rester en Europe, quelle que soit la légitimité de leur demande d’asile. Et s’ils sont déboutés du droit d’asile, ils restent à 90 % sur le territoire.

    Ils arrivent en pays ouvert avant d’être conquis, mais en introduisant ou en réintroduisant dans nos sociétés des problèmes culturels que nous avions espéré ne plus jamais devoir affronter.

    Quel responsable politique osera donner un coup de pied dans la fourmilière de toutes ces associations « altruistes » qui font leur beurre avec le fric de nos impôts en ouvrant la porte à « toute la misère du monde » comme disait l’autre ?

    Combien de morts aléatoires la population française devra-t-elle subir avant que des décisions radicales soient prises : statistiques ethniques et religieuses, abolition de la double nationalité, expulsion immédiate et effective de tout étranger condamné, durcissement de la politique des visas avec les pays qui se débarrassent de leurs chômeurs, de leurs délinquants en nous envoyant leurs migrants, fermetures des mosquées salafistes, expulsion des imams fauteurs de troubles mais aussi et surtout rupture totale avec ces pays du golfe – en premier lieu Arabie saoudite et Qatar - qui endoctrinent, financent et arment les tueurs d’allah.

    On peut toujours rêver, en attendant, on cauchemarde avec toutes ces « chances pour la France » comme Zaheer Hassan Mehmood.

    Not’bon Président semble avoir enfin compris la situation… Un enfumage de plus ? On attend les actes.

    Ouate Inde Scie…


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  • Quand les livres « sacrés » appellent au meurtre et autres joyeusetés…

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    Un peu de religiophobie primaire : du bon usage d’une lecture critique de la bible et du coran.

    Moi qui m’honore de compisser toutes les religions, c’est avec délectation que je viens de dégoter cette petite perle dans un blog québécois. Ah ! Ils sont bons nos cousins d’Amérique ! Un bonheur ! C’est dans la bible, le livre « sacré » des chrétiens.

    Je vous le livre in extenso :

    « Récemment une célèbre animatrice radio US fit remarquer que l’homosexualité est une perversion. C’est ce que dit la bible dans le livre du Lévitique, chapitre 18, verset 22 : « Tu ne coucheras pas avec un homme comme on couche avec une femme : ce serait une abomination ».

    La bible le dit. Un point c’est tout, affirma-t-elle.

    Quelques jours plus tard, un auditeur lui adressa une lettre ouverte qui disait :

    « Merci de mettre autant de ferveur à éduquer les gens à la Loi de dieu. J’apprends beaucoup à l’écoute de votre programme et j’essaie d’en faire profiter tout le monde. Mais j’aurais besoin de conseils quant à d’autres lois bibliques.

    Par exemple, je souhaiterais vendre ma fille comme servante, tel que c’est indiqué dans le livre de l’Exode, chapitre 21, verset 7. À votre avis, quel serait le meilleur prix ?

    Le Lévitique aussi, chapitre 25, verset 44, enseigne que je peux posséder des esclaves, hommes ou femmes, à condition qu’ils soient achetés dans des nations voisines. Un ami affirme que ceci est applicable aux Mexicains, mais pas aux Canadiens. Pourriez-vous m’éclairer sur ce point ? Pourquoi est-ce que je ne peux pas posséder des esclaves canadiens ?

    J’ai un voisin qui tient à travailler le samedi. L’Exode, chapitre 35, verset 2, dit clairement qu’il doit être condamné à mort. Suis-je obligé de le tuer moi-même ? Pourriez-vous me soulager de cette question gênante d’une quelconque manière ?

    Autre chose : le Lévitique, chapitre 21, verset 18, dit qu’on ne peut pas s’approcher de l’autel de Dieu si on a des problèmes de vue. J’ai besoin de lunettes pour lire. Mon acuité visuelle doit-elle être de 100 % ? Serait-il possible de revoir cette exigence à la baisse ?

    Un dernier conseil. Mon oncle ne respecte pas ce que dit le Lévitique, chapitre 19, verset 19, en plantant deux types de culture différents dans le même champ, de même que sa femme qui porte des vêtements faits de différents tissus, coton et polyester. De plus, il passe ses journées à médire et à blasphémer. Est-il nécessaire d’aller jusqu’au bout de la procédure embarrassante de réunir tous les habitants du village pour lapider mon oncle et ma tante, comme le prescrit le Lévitique, chapitre 24, verset 10 à 16 ? On ne pourrait pas plutôt les brûler vifs au cours d’une simple réunion familiale privée, comme ça se fait avec ceux qui dorment avec des parents proches, tel qu’il est indiqué dans le livre sacré, chapitre 20, verset 14 ?

    Je me confie pleinement à votre aide. »

    Merci amis canadiens !

     

    Et pour ne pas faire de jaloux, allons voir ce que dit le coran, livre « sacré » des mahométans :

    Voici quelques extraits de sourates qui montrent ce que le coran dit des femmes :

    « Vos épouses sont pour vous un champ de labour ; allez à votre champ comme et quand vous voulez et œuvrez vous-mêmes à l’avance. (Coran, 2 : 223.)

    Polygamie :

    « Et si vous craignez de n’être pas juste envers les orphelins… Il est permis d’épouser, deux, trois ou quatre femmes, parmi les femmes qui vous plaisent, mais si vous craignez de n’être pas juste avec celles-ci, alors une seule, ou des esclaves que vous possédez. Cela afin de ne pas faire d’injustice (Coran 4:3)

    Répudiation :

    La sourate 65 est consacrée à la répudiation, qui permet à l’homme de répudier sa femme ou ses femmes par un simple mot prononcé devant témoins « talaq ». Il faut l’énoncer trois fois de suite, par la parole, par l’écrit ou – faut être moderne – par courrier électronique. Bien plus simple que le divorce de chez nous…

    La déficience des femmes :

    - Nombreux sont les hommes à avoir atteint la perfection, mais aucune femme n’a atteint ce degré à part Assia, femme de Pharaon et Marie, fille d’Imran. écrit Bukhari. Mais le fondateur de l’islam est né 600 ans après Marie et plus de 2 000 ans après Assia, comment Bukhari peut juger de l’intelligence de ces deux femmes citées !

    - Parlant des femmes, Bukhari dit : « Je n’ai pas vu une plus déficiente en intelligence et en religion que vous ».

    La femme en islam vaut la moitié d’un homme :

    « Demandez le témoignage de deux témoins parmi vos hommes. Si vous ne trouvez pas deux hommes, choisissez un homme et deux femmes parmi ceux que vous agréez comme témoins, en sorte que si l’une d’elles s’égare, l’autre puisse lui rappeler. (Coran : 2, 282)

    L’héritage. « Allah vous ordonne d’attribuer au garçon une part égale à celle de deux filles ». (Coran, 4,11)

    Comment peut-on apprécier une religion qui écarte la moitié de l’humanité ?

    La konnerie humaine est la seule approche que l’on puisse avoir de l’univers, disait en substance Einstein. Mais la konnerie véhiculée par les livres dits « sacrés » donne une approche quantique des multivers !

    Finalement, vive la crise de foi.

     

     

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  • Bon, et alors, cette loi contre le séparatisme islamiste ça vient ?

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    Séparatisme. Il a dit lutte contre le séparatisme not’bon président. Et certains lui ont mis sous le nez les velléités de séparatisme corse, voire catalan, basque ou breton. Mais en fait le séparatisme en question et qu’il faut évidemment combattre, c’est le séparatisme des tenants (et victimes) de cette idéologie qu’est l’islam, car les religions ne sont que des idéologies qui se camouflent derrière une pseudo-transcendance. Le problème n’est pas la place de l’islam dans la société française – il y existe depuis longtemps et il y a toute sa place lorsqu’il respecte la laïcité – mais bien de la place que ne doit surtout pas y prendre l’islam fondamentaliste, quelle que soit la bannière derrière laquelle il se groupe.

    Cette pieuvre de l’islam fondamentaliste glisse ses tentacules partout où il peut. Et particulièrement auprès de la jeunesse « issue de l’immigration » comme on dit. Le porte-voix du gouvernement, le ci-devant Attal a mis le doigt sur certaines associations soi-disant culturelles, altruistes, sociales qui ne sont en fait que des officines de lavage de cerveaux ayant une influence dévastatrice sur cette jeunesse. Il parle de certaines « associations loi 1901 qui accueillent des enfants pour des cours de langue ou de soutien scolaire ». « Aujourd’hui, l’État n’a aucune ou très peu de possibilités de contrôler ce qu’il s’y passe, ce qu’il s’y dit. Vous avez pourtant parfois du lavage de cerveau qui se fait sur des enfants ou des familles »,

    Mais il n’y a qu’à les interdire ces « associations » ! Ou tout au moins les contrôler. Mais ça se fait déjà. Ben ouais mais… « Aujourd’hui il faut prévenir un mois à l’avance de la date et de l’heure du contrôle. C’est sûr que quand vous arrivez dans les locaux de l’association, il ne se passe pas ce qu’il s’y passe habituellement puisque la date et l’heure ont été annoncées. Il faut que les contrôles soient plus efficaces », a-t-il insisté.

    Un sondage particulièrement inquiétant constate que les trois quarts des jeunes de 16 à 24 ans placent les exigences de leur religion au-dessus des lois de la république. Voilà l’œuvre de ces « associations ». Vous voyez d’ici la bombe à retardement que cela implique…

    Le chef de l’État a indiqué sa volonté de bâtir un plan contre le « séparatisme islamiste » comprenant la fin des imams étrangers détachés et un contrôle du financement des mosquées. Il serait temps !

    Not’bon président semble avoir enfin compris le danger de cet islam politique. Il nous exhorte à la « vigilance » contre la radicalisation mais il faudrait d’abord qu’il donne l’exemple. En coupant toutes relations politiques, commerciales, militaires avec ceux qui sont les instigateurs et les financiers, partout dans le monde, de cet islam politique conquérant, fanatique et dangereux : les monarchies pétrolières du golfe, et en premier lieu l’Arabie saoudite et le Qatar. Et commencer par confisquer tous les biens que ces ennemis ont acquis sur notre territoire et expulser tous les agitateurs qu’ils nous envoient sous couvert d' « ONG musulmanes », d’associations pseudo-culturelles mais en fait cultuelles et d’imams qui sont autant de propagandistes ennemis qui agissent de façon nuisible dans nos banlieues.

    L’islam politique comprend plusieurs chapelles – si l’on peut dire ! - englobant les frères musulmans, les salafistes, les djihadistes, les wahhabites, etc. Ils se concurrencent dans leur haine de tout ce qui n’est pas eux et avant tout de notre mode de vie occidental mais se retrouvent sur l’essentiel pour eux : leur fantasme de l’islamisation du monde, à commencer par l’Europe déjà fortement occupée et recevant un flot continu de « réfugiés » musulmans à travers des réseaux organisés bénéficiant de complaisances voire de complicités locales parmi les politiques, les « intellos », et toute la bobosphère islamogauchiste. On a vu récemment défiler tous ces collabos aux cris d'allaouakbar, bras dessus bras dessous avec les pires des islamistes… lien

    Les médias dominants ne cessent de faire passer les islamistes pour des opprimés. Les islamistes choisissent eux-mêmes de pratiquer leur religion d’une manière inédite en France, d’une manière qu’il faut cesser de qualifier d’orthodoxe, et qu’il faut appeler par son nom : radicale. Les musulmans ne sont pas stigmatisés. La pratique rigoriste et sectaire d’une minorité d’entre eux est pointée du doigt, et légitimement. On ne doit pas confondre un culte et sa dérive sectaire, pas plus qu’on ne peut confondre des pratiquants avec des militants politiques. Et jusqu’à présent, dans notre régime républicain stipendié comme liberticide, c’est l’islamisme qui a tué, écrasé, mitraillé et égorgé. Pas l’islamophobie.

    Enfin, n’oublions pas que les premières et les plus nombreuses victimes de cette idéologie nuisible prônée par les fondamentalistes islamiques sont les musulmans. Comment voulez-vous exercer votre libre arbitre, voire seulement réfléchir lorsque tous les actes de votre vie quotidienne sont conditionnés par des rituels imposés par l’idéologie : ce qu’on doit manger et ce qu’on ne peut pas, comment se fringuer, comment baiser, et même comment pisser et se torcher le cul ! Et en plus on leur impose cinq « prières » quotidiennes d’allégeance, de soumission totale à des préceptes datant de quatorze siècles ! Quant aux « écoles » coraniques, elles consistent à annoner par coeur des préceptes d'un autre âge. Qui peut résister à ce lavage de crâne ?

    Pour ces « séparatistes », la laïcité est un concept inacceptable pour un vrai musulman. Il n’y a donc pas de façon pour un bon musulman d’être un bon citoyen français. Il y a incompatibilité. Aussi longtemps qu’on ne tient pas compte de cette incompatibilité, on est dans l’incompréhension ou l’hypocrisie… L’islam et notre vision occidentale du monde sont incompatibles. Il n’y a rien à gagner à vouloir les faire cohabiter. Le communautarisme à l'anglo-saxonne en est le repoussoir.

    Tout « bon » musulman ne peut se soumettre de bonne foi aux lois d’un pays comme la France où ne s’applique pas la charia. Il ne peut viser qu’à renverser cette gouvernance. Est-ce le citoyen que l’on veut ? Comment une personne qui ne peut reconnaître la légitimité absolue de la loi française en France, aurait-il sa place en France ?

    On attend ta loi, ci-devant président...


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