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humour - Page 3

  • Au bistro de la toile : les épais pets de Pépé.

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    - Eh ! T'as vu Loulle, en Allemagne, une étable a explosé à cause...des pets de vaches !

    - Les pets, c'est du méthane, et ça brûle ! Dans un lieu confiné, ça peut produire sinon une explosion, du moins des flammes. Comme dans les marais...

    - ...ting ! Il va falloir que je surveille ma femme !

    - Ça me rappelle une histoire savoureuse...

    - Tè ! Je te sers un canon. Raconte.

    - C'était un soir de Noël, quelque part en Ariège. On fêtait donc à la fois Noël et le baptême d'Arnaud, un nouveau venu dans la tribu. La cérémonie devait avoir lieu au cours de la messe de minuit, dans la petite église de Loubens. Pour l'occasion, le jeune curé, frais émoulu de la fabrique, avait bien fait les choses : crèche vivante avec sainte-vierge et un âne. Voilà donc tout le monde, vers onze heures, après le cassoulet de préparation aux mystères de la religion, qui se pointe à l’église. Cérémonie émouvante, le petit baptisé, puis voilà la messe de minuit dans la petite chapelle pleine à craquer. Dehors soufflait un vent glacial. C'était beau Loulle. Le petit cureton et son encensoir, la sainte vierge, émouvante avec sa robe immaculée et son voile bleu ciel, les enfants de chœur pleins de dentelles blanches et rouges, et puis l'âne.

    Ce bourricot, il s'était gavé d'herbe toute la journée dans le petit cimetière autour de l'église. Serait-ce les sonorités éthérées de l'harmonium, la présence proche de la jeune et jolie vierge ou le bonheur de la digestion, voilà que notre bourricot, oreilles en arrière, entame un rêve cochon. Et il se met à bander...comme un âne. Gloussements discrets dans l'assistance, coups d’œil effarés mais admiratifs de la sainte vierge, affolement du petit curé... Mais la dilatation de la partie noble de l'âne eut pour contrepartie un relâchement de ses sphincters ! Il fallait bien évacuer les gaz emmagasinés tout l'après-midi... Mais l'âne à cette particularité : il pète en silence ! Mais pas sans parfum... Dans l'église se répand une lourde fragrance.

    Paulette, croyant que c'était son homme qui se soulageait, donne un grand coup de coude dans les côtes d'Elie en lui chuchotant, coléreuse : « As pas crinte ! Pudriès te teni un poù, millo dieù ! » A côté, Mamé, victime de la même méprise, morigène son homme Pépé Alfré : « Ounte te crésès ! Podès pas ana deforo per péta, bougre de gran porcas ! » Et dans toute l'église, les femmes s'en prennent de même à leurs hommes.

    - Comme si elles ne pétaient pas, elles. Belle hypocrisie féminine...

    - Mais les hommes se pensent alors :  « Merde, à me faire engueuler, autant que ce soit pour quelque chose ».

    Et chacun, entre avés et paters de travailler du sphincter pour moduler discrètement de délicates brises d'anus.

    - Dès lors les choses se précipitent. Les puissantes effluves de cassoulets montent et roulent en vagues invisibles. Au contact des cierges, voilà que se forment de légères flammèches bleue, verte, orangée qui, tels d'éphémères feu-follets, montent vers les voûtes et s'évanouissent...

    - « Miracle ! » crient quelques paroissiennes pâmées.

    - « Ite missa est » s'écrie le curé en se ruant pour ouvrir les portes !

    - Oh ! Oh ! Oh ! La belle histoire Victor ! Pétard, tè ! Je fais péter ma tournée !

     

    ane

    Photos X - Droits réservés

  • Au bistro de la toile : « Debout, sobressubis de la terre ! »

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    - Salut à vous, camarades Sobressubis ! Levons sobrement nos verres mais sans économiser la bonne tétée d’octobre que nous verse sournoisement ce suppôt de la surconsommation, le ci-devant Loulle, capitaliste propriétaire de cet antre de la dépravation ultra consommatrice qu’est son - notre - rade, « Le Bistro de la Toile » !

    - Sobresuquoi , t’as dit Victor. Qu’est-ce que c’est encore cette cagade ?

    - Je ne fait que reprendre les propos de notre chère Agnès Pannier-Runacher,.

    - Qui c’est celle-là ?

    - C’est la ministre de la Transition écologique. C’est elle qui prône la sobriété. Elle a dit : « On ne demandera jamais à des Français en situation de sobriété subie de faire des économies ».

    - Si je comprend bien, Victor, ceux qu’elle appelle les Français en situation de sobriété subie, ce sont les crève-le-dalle, les pauvres, les misérables comme on n’avait pas peur de dire à l’époque du grand Victor Hugo.

    - Voilà, Loulle. Agnès Pannier-Runacher pense, dans son fort intérieur, parce qu’elle a un fort intérieur : les Français que nous avons appauvris pour privilégier les  Français en situation de richesse subie.

    Il faut aussi savoir que la belle Agnès est idéalement placée pour nous inciter à la la sobriété. Formatée aux moules de HEC et de l’ENA, cette « Haute fonctionnaire » est administratrice de l'entreprise Aprr qui a été créée en 1962. Le chiffre d'affaires de la société en 2020 s'élève à 1 633 200 000 €. Agnes PANNIER RUNACHER est également mandataire de six autres sociétés. Avec une fortune plus que conséquence, elle est plus du côté de la richesse choisie que de la sobriété subie.

    - Voilà une riche sobriété Victor. Pour nous, la sobriété – pas en matière de jus de la treille les aminches, ne vous gourez pas – est une évidence : ne pas dépenser son fric pour des choses dont on a pas besoin, être économe sans être radin, mais ne pas jeter un pognon de dingue par la fenêtre pour de l'esbroufe et de la futilité. Et même éteindre la lumière derrière soi. On a toujours fait ça.

    - Ouais, Loulle. Jusqu’à ce que la société de sur-consommation, d’abondance de l’inutile ne passe par là, imposée par une injonction à consommer, à gaspiller, à jeter dans des proportions faramineuses. Tout un appareil de propagande nous enjoint de sur-consommer, à coup de publicité, de marketing, de bourrage de crâne et même d’éducation « sponsorisé ».

    - Il faut privilégier les « zécogestes » Victor. Ils le disent dans les journaux et dans les étranges lucarnes et les machines à bruit. Ils disent qu’il ne faut pas tirer la chasse chaque fois qu’on va pisser, et même pisser sous la douche qu’on ne doit pas prendre tous les jours, qu’il faut dégivrer le congélateur, éteindre les appareils électriques plutôt que de les laisser en veille, etc.

    - Il faudrait aussi maximiser le cycle de l’eau, tant chez soi en utilisant l’eau des douches et de la vaisselle dans les chasses d’eau, que dans l’industrie et la distribution, en réutilisant les bouteilles de vins, les bocaux de conserves, en éliminant les emballages cartons et plastiques superflus, en privilégiant la location d’appareils électroniques et électriques d’usage épisodique, en imposant des appareils durables et réparables et non plus ces machins à « l’obsolescence programmée », etc.

    Sans négliger ces écogestes qui procèdent du bon sens autant que du sens civique, il faudrait aussi pratiquer une autre forme de sobriété consistant à réduire les écarts de salaires entre dirigeants et salariés de la base !

    - Alors là, Victor, c'est une autre paire de manches.. Allez, à la nôtre. Et sobrement !

     

    Illustration: merci au regretté Chimulus

     

  • C'est la journée du sourire !

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    Ecoute ! Ecoute !

    C’est un mec qui a toutes les galères du monde : il vient de se faire lourder de sa boite, sa femme le trompe, son chien à la gale et son fils vient de prendre la carte des jeunes UMP. Il va dans la forêt avec une corde, la fixe à une branche et s’apprête à se la passer au cou.

    Arrive un prêtre qui s’interpose : « Allons mon fils. Ne faites pas ça ! Dieu prend soin de tous ses enfants. Tenez, prenez cette bible. Ouvrez-là à n’importe quelle page et vous trouverez toujours la réponse à vos problèmes. »

    Le curé, content d’avoir sauvé une vie et peut-être une âme, continue sa promenade en forêt.

    Le mec prend la bible, l’ouvre au hasard et lit : « Repends-toi ! »



    Ecoute ! Ecoute !

     

    Allez, un peu d’humour noir !

     Ils viennent d'embaucher un nouvel apprenti aux Pompes Funèbres.
    Celui-ci est en train de préparer un cadavre lorsqu'il appelle un employé plus ancien que lui dans le boulot:
    - Eh ! Regarde ma morte: elle a une crevette à la place du sexe !
    Le préparateur plus ancien dans le métier vient voir ce que veut lui montrer le jeunot et dit:
    - C'est pas une crevette, espèce de débile c'est son clitoris!

    Alors le plus jeune reprend :
    - Son clitoris? Vraiment? Pourtant je t'assure que ça a le goût de la crevette !



    Ecoute ! Ecoute !

     

     

    Un homme arrive chez Cartier, Place Vendôme à Paris, en compagnie d'une jeune femme splendide, et ensemble, ils choisissent un bijou de 50 000 euros pour elle. 
    Au moment de payer, l'homme sort son carnet de chèques et, sans sourciller, le rédige. 
    Le vendeur, lui, est un peu ennuyé car c'est la première fois qu'il voit ce couple à la bijouterie. 
    L'homme s'aperçoit du malaise du vendeur et, avec beaucoup d'aplomb, lui dit: 
    - J'ai le sentiment, très cher, que vous pensez que ce chèque est peut-être sans provision, n'est-ce pas ?... 
    - Heu... Et bien... 
    - Bien !voici ce que nous allons faire : vu qu'aujourd'hui c'est samedi et que ma banque est fermée, je vous propose que vous gardiez ce chèque ainsi que le bijou. Dès lundi, procédez à son encaissement et lorsque le paiement sera honoré, faites livrer le bijou chez Mademoiselle. D'accord ?... 
    Le vendeur, rassuré, donne son aval à cette solution sans l'ombre d'une hésitation, assurant même, que la bijouterie prendrait à sa charge la livraison du bijou et qu'il s'assurerait en personne du bon déroulement de l'opération. 
    Le lundi matin, à la présentation du chèque à la banque, celui-ci est bien évidemment en bois !!! 
    En colère, le vendeur appelle le client qui lui répond : 
    - Mais ce n'est pas grave ! Cela ne vous a rien coûté et moi j'ai baisé tout le week-end !!!... Merci beaucoup pour votre collaboration et sans rancune !

     



    Ecoute ! Ecoute !

     

    Un petit garçon de 6 ans dit à sa sœur de 10 ans : 
    - Tu sais comment on fait les enfants toi ? 
    - Bien sûr, c'est fastoche ! 
    - Alors vas-y, dis moi. 
    - Eh bien c'est simple, le papa il met la graine dans le ventre de la maman ... 
    - Et après ? 
    - Et après il la pousse bien au fond avec sa bite.

     

     

    Ecoute ! Ecoute !

     Quelle est la différence entre un train électrique et des seins ? 
    - Y'en a pas, ils sont tous les deux faits pour les enfants et c'est papa qui joue avec.



    Ecoute ! Écoute !

    Deux femmes discutent.

    - Alors, cette expédition en Afrique ? 

    - Il m'est arrivé un truc incroyable ! Un jour, il y a un gorille qui a surgi de la jungle et qui m'a emmenée avec lui. J'ai cru qu'il allait me dévorer toute crue, et je me suis évanouie. A mon réveil, il avait arraché mes vêtements. Il m'a alors fait l'amour 19 fois de suite, et ça pendant, snif, vingt jours, et puis mes amis m'ont retrouvé, snif...
    - Oui, mais ne pleure plus, c'est fini tout ça... 

    - Ben justement, c'est pour ça que je pleure...