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Au bistro de la toile :Noël odorant.
- Eh ! T'as vu Loulle, en Allemagne, une étable a explosé à cause...des pets de vaches !- Les pets, c'est du méthane, et ça brûle ! Dans un lieu confiné, ça peut produire sinon uneexplosion, du moins des flammes. Comme dans les marais...- ...ting ! Il va falloir que je surveille ma femme !- Ça me rappelle une histoire savoureuse...- Tè ! Je te sers un canon. Raconte.- C'était un soir de Noël, quelque part en Ariège. On fêtait donc à la fois Noël et lebaptême d'Arnaud, un nouveau venu dans la tribu. La cérémonie devait avoir lieu au coursde la messe de minuit, dans la petite église de Loubens. Pour l'occasion, le jeune curé,frais émoulu de la fabrique, avait bien fait les choses : crèche vivante avec sainte-vierge etun âne. Voilà donc tout le monde, vers onze heures, après le cassoulet de préparation auxmystères de la religion, qui se pointe à l’église. Cérémonie émouvante, le petit baptisé,puis voilà la messe de minuit dans la petite chapelle pleine à craquer. Dehors soufflait unvent glacial. C'était beau Loulle. Le petit cureton et son encensoir, la sainte vierge,émouvante avec sa robe immaculée et son voile bleu ciel, les enfants de choeur pleins dedentelles blanches et rouges, et puis l'âne.Ce bourricot, il s'était gavé d'herbe toute la journée dans le petit cimetière autour del'église. Serait-ce les sonorités éthérées de l'harmonium, la présence proche de la jeune etjolie vierge ou le bonheur de la digestion, voilà que notre bourricot, oreilles en arrière,entame un rêve cochon. Et il se met à bander...comme un âne. Gloussements discretsdans l'assistance, coups d’oeil effarés mais admiratifs de la sainte vierge, affolement dupetit curé... Mais la dilatation de la partie noble de l'âne eut pour contrepartie unrelâchement de ses sphincters ! Il fallait bien évacuer les gaz emmagasinés tout l'aprèsmidi...Mais l'âne à cette particularité : il pète en silence ! Mais pas sans parfum... Dansl'église se répand une lourde fragrance.Paulette, croyant que c'était son homme qui se soulageait, donne un grand coup de coudedans les côtes d'Elie en lui chuchotant, coléreuse : « As pas crinte ! Pudriès te teni unpoù, millo dieù ! » A côté, Mamé, victime de la même méprise, morigène son hommePépé Alfré : « Ounte te crésès ! Podès pas ana deforo per péta, bougre de granporcas ! » Et dans toute l'église, les femmes s'en prennent de même à leurs hommes.- Comme si elles ne pétaient pas, elles. Belle hypocrisie féminine...- Mais les hommes se pensent alors : « Merde, à me faire engueuler, autant que ce soitpour quelque chose ».Et chacun, entre avés et paters de travailler du sphincter pour moduler discrètement dedélicates brises d'anus.- Dès lors les choses se précipitent. Les puissantes effluves de cassoulets montent etroulent en vagues invisibles. Au contact des cierges, voilà que se forment de légèresflammèches bleue, verte, orangée qui, tels d'éphémères feu-follets, montent vers lesvoûtes et s'évanouissent...- « Miracle ! » crient quelques paroissiennes pâmées.- « Ite missa est » s'écrie le curé en se ruant pour ouvrir les portes !- Oh ! Oh ! Oh ! La belle histoire Victor ! Pétard, tè ! Je fais péter ma tournée ! -
Allah, Jésus Christ, même kon bas...
Quand les livres « sacrés » appellent au meurtre et autres joyeusetés… Du bon usage d’une lecture critique et sarcastique de la bible et du coran.
Le tueur de bébés n’a pas crié « Allah o akbar » mais « Au nom de Jésus Christ »… La tentative d’assassinat de bébés, ce terrible fait-divers qui secoue le pays, illustre le ravage que peuvent faire sur des esprits obtus, les textes dits « sacrés » de ces névroses collectives appelés « religions ». Moi qui m’honore de compisser toutes les religions, c’est avec délectation que je viens de dégoter cette perle dans un blog québécois. Ah ! Ils sont bons nos cousins d’Amérique ! C’est dans la bible, le livre « sacré » des chrétiens.
Je vous livre in extenso ce qu’écrivent nos cousins d’outre Atlantique:
« Récemment une célèbre animatrice radio US fit remarquer que l’homosexualité est une perversion. C’est ce que dit la bible dans le livre du Lévitique, chapitre 18, verset 22 : « Tu ne coucheras pas avec un homme comme on couche avec une femme : ce serait une abomination ».
La bible le dit. Un point c’est tout, affirma-t-elle.
Quelques jours plus tard, un auditeur lui adressa une lettre ouverte qui disait :
« Merci de mettre autant de ferveur à éduquer les gens à la Loi de dieu. J’apprends beaucoup à l’écoute de votre programme et j’essaie d’en faire profiter tout le monde. Mais j’aurais besoin de conseils quant à d’autres lois bibliques.
Par exemple, je souhaiterais vendre ma fille comme servante, tel que c’est indiqué dans le livre de l’Exode, chapitre 21, verset 7. À votre avis, quel serait le meilleur prix ?
Le Lévitique aussi, chapitre 25, verset 44, enseigne que je peux posséder des esclaves, hommes ou femmes, à condition qu’ils soient achetés dans des nations voisines. Un ami affirme que ceci est applicable aux Mexicains, mais pas aux Canadiens. Pourriez-vous m’éclairer sur ce point ? Pourquoi est-ce que je ne peux pas posséder des esclaves canadiens ?
J’ai un voisin qui tient à travailler le samedi. L’Exode, chapitre 35, verset 2, dit clairement qu’il doit être condamné à mort. Suis-je obligé de le tuer moi-même ? Pourriez-vous me soulager de cette question gênante d’une quelconque manière ?
Autre chose : le Lévitique, chapitre 21, verset 18, dit qu’on ne peut pas s’approcher de l’autel de Dieu si on a des problèmes de vue. J’ai besoin de lunettes pour lire. Mon acuité visuelle doit-elle être de 100 % ? Serait-il possible de revoir cette exigence à la baisse ?
Un dernier conseil. Mon oncle ne respecte pas ce que dit le Lévitique, chapitre 19, verset 19, en plantant deux types de culture différents dans le même champ, de même que sa femme qui porte des vêtements faits de différents tissus, coton et polyester. De plus, il passe ses journées à médire et à blasphémer. Est-il nécessaire d’aller jusqu’au bout de la procédure embarrassante de réunir tous les habitants du village pour lapider mon oncle et ma tante, comme le prescrit le Lévitique, chapitre 24, verset 10 à 16 ? On ne pourrait pas plutôt les brûler vifs au cours d’une simple réunion familiale privée, comme ça se fait avec ceux qui dorment avec des parents proches, tel qu’il est indiqué dans le livre sacré, chapitre 20, verset 14 ?
Je me confie pleinement à votre aide. »
Merci amis canadiens !
Et pour ne pas faire de jaloux, allons voir ce que dit le coran, livre « sacré » des mahométans :
Voici quelques extraits de sourates qui montrent ce que le coran dit des femmes :
« Vos épouses sont pour vous un champ de labour ; allez à votre champ comme et quand vous voulez et œuvrez vous-mêmes à l’avance. (Coran, 2 : 223.)
Polygamie :
« Et si vous craignez de n’être pas juste envers les orphelins… Il est permis d’épouser, deux, trois ou quatre femmes, parmi les femmes qui vous plaisent, mais si vous craignez de n’être pas juste avec celles-ci, alors une seule, ou des esclaves que vous possédez. Cela afin de ne pas faire d’injustice (Coran 4:3)
Répudiation :
La sourate 65 est consacrée à la répudiation, qui permet à l’homme de répudier sa femme ou ses femmes par un simple mot prononcé devant témoins « talaq ». Il faut l’énoncer trois fois de suite, par la parole, par l’écrit ou – faut être moderne – par courrier électronique. Bien plus simple que le divorce de chez nous…
La déficience des femmes :
- Nombreux sont les hommes à avoir atteint la perfection, mais aucune femme n’a atteint ce degré à part Assia, femme de Pharaon et Marie, fille d’Imran. écrit Bukhari. Mais le fondateur de l’islam est né 600 ans après Marie et plus de 2 000 ans après Assia, comment Bukhari peut juger de l’intelligence de ces deux femmes citées !
- Parlant des femmes, Bukhari dit : « Je n’ai pas vu une plus déficiente en intelligence et en religion que vous ».
La femme en islam vaut la moitié d’un homme :
« Demandez le témoignage de deux témoins parmi vos hommes. Si vous ne trouvez pas deux hommes, choisissez un homme et deux femmes parmi ceux que vous agréez comme témoins, en sorte que si l’une d’elles s’égare, l’autre puisse lui rappeler. (Coran : 2, 282)
L’héritage. « Allah vous ordonne d’attribuer au garçon une part égale à celle de deux filles ». (Coran, 4,11)
Comment peut-on apprécier une religion qui écarte la moitié de l’humanité ?
La konnerie humaine est la seule approche que l’on puisse avoir de l’univers, disait en substance Einstein. Mais la konnerie véhiculée par les livres dits « sacrés » donne une approche quantique des multivers !
Finalement, vive la crise de foi.
Illustration X - Droits réservés
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Regardez en face la TERRIBLE réalité VEGANE !
ATTENTION !
Les images qui suivent peuvent choquer les enfants
et les âmes sensibles.
Dans les abattoirs végan, ils accrochent les fruits et les légumes vivants à des crochets et les découpent en petits morceaux au mépris du respect dû à la vie. Ces images de malheureuses pastèques coupées en deux vivantes, suspendues à des crocs de bouchers, coupées vives en petits morceaux baignant dans leur jus vital par des sadiques qui se cachent et ricanent sont insupportables. Et pourtant elles représentent la réalité que l’on ne voit pas parce qu’on ne veut pas voir la souffrance de nos sœurs pastèque, de nos frères poireau.
Entendez-vous le cri d’horreur et de souffrance de l’innocente carotte arrachée vivante à sa terre nourricière avant d’être coupée en rondelles ou râpée vive ?
Arrachées à la main...
...ou avec des instruments de torture
...puis exposées en trophés sanglants dans des mains sadiques
Et la détresse du poireau torturé avant d’être extirpé de la terre de ses frères pour être jeté vif dans de l’eau bouillante et – comble du sadisme – salée pour multiplier la souffrance ?
Les tortionnaires initient leurs enfants à leur cruauté
Et les pleurs du pommier, du prunier, du fraisier dont les enfants leur sont arrachés brutalement pour mourir déchiquetés sous les crocs des terribles VEGANs.
Une main assassine...
...avec le sourire rictus.
...et en bandes organisées.
Et que dire de l’abandon, de la solitude impuissante de ces pauvres melons, arrachés à l’affection de leurs plantes pour être jetés vifs dans de grandes remorques chargées des cadavres frémissants de ces malheureux cucurbitacées…
Et que fait l’ONU ? Et que fait Macron ? Et que fait le gouvernement ? Et que dit Ciotti ?
Tous sont victimes du sadisme d’une terrible créature :
le prédateur VEGAN !
HALTE A LA CRUAUTÉ !
STOP AUX ABATTOIRS VEGAN !
Poireaux, carottes, navets, melons, fruits, légumes de tous les pays
UNISSEZ-VOUS !
Debout les damnés de la terre !
Regroupons-nous sous la bannière
#balancetonveg