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migrants - Page 2

  • Zaheer Hassan Mehmood : « Aujourd’hui, vendredi 25 septembre, je vais les condamner ».

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    « Je » c’est le dénommé Zaheer Hassan Mehmood, 25 ans, sujet pakistanais entré frauduleusement en France il y a trois ans en se faisant passer pour mineur alors qu’il avait 22 ans et qui a attaqué au hachoir de boucher des passants qu'il croyait être des journalistes de Charlie Hebdo. Les fonctionnaires qui l’ont réceptionné devaient avoir des lunettes en peau de saucisson… Ou bien ils font preuve d’un laxisme coupable… « Les » ce sont les « blasphémateurs » de Charlie hebdo mais aussi tous les « koufars », c’est-à-dire soixante et quelques millions de Français…

    Obtenir le Graal, c’est-à-dire être reconnu « mineur non accompagné », comment ça se passe ? Si c’est à Paris, c’est la Croix Rouge qui se charge de faire « reconnaître la minorité » du jeune. Notons que ces « mineurs isolés » sont à 95 % des hommes. Dans les « territoires » c’est l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE). Il doit aussi se rendre à la préfecture pour un relevé d’empreintes. Un minimum tout de même… Ces « jeunes » savent tous à l’avance à quelles portes taper pour se faire aider, par exemple l’ADJIE (accompagnement et défense des jeunes isolés étrangers) ou Médecins sans frontières (MSF) ou encore le Gisti, la Cimade, et les Midis du Mie En voici ici une liste non-exhaustive.

    S’ils n’ont pas de papiers d’identité – ce qui est généralement et volontairement le cas - l’administration française est sensée tout faire pour les aider à les retrouver mais, dans les faits, c’est extrêmement rare. « T’as pas de papiers ? Tu dis que t’es mineur ? Allez viens, c’est open bar » ! Un mineur n’est pas expulsable, et s’il a raconté des konneries sur son âge, ce qui est souvent le cas, il pourra faire appel, et la décision du juge sera donnée… qui sait quand ?

    Et puis, une fois accepté comme demandeur d’asile, le « mineur » peut faire venir ses parents, ses frères et sœurs, et tutti quanti…

    L’Assemblée des Départements de France (ADF) a communiqué des chiffres : ils seraient plus de 41 000 migrants prétendument âgés de moins de 18 ans et se trouveraient en France sans adulte responsable à être pris en charge par les services sociaux.

    Des migrants qui sont, rappelons-le, pour environ 95 % d’entre eux, des hommes. Et qui ne coûtent pas moins de 2 milliards d’euros par an aux collectivités selon les données de l’année 2018 !

    Pour chaque migrant « mineur », c’est une somme estimée à 50 000 euros qui est dépensée chaque année. Un budget dans lequel sont compris le logement, la nourriture, les frais d’éducation et de formation. De cette somme, l’Assemblée des Départements de France déplore la très faible part remboursée par l’État.

    Ce phénomène des « mineurs non accompagnés » mais aussi des migrants adultes est facilité par les ONG qui encouragent toutes les migrations vers l’Europe et alimentent ainsi l’idée du « monde sans frontières ». Certaines ONG les aident avant même qu’ils atteignent l’Europe. Elles leur fournissent des informations, facilement accessibles sur Internet ou sur des applications téléphoniques, pour guider ces futurs « Européens » dans leurs démarches. On leur donne ainsi des conseils pour rentrer en Europe et sur les propos à tenir une fois sur place. Au fil du temps, les migrants ont une conscience de plus en plus claire de ce qui va leur arriver et de ce qu’ils peuvent obtenir. Le bouche-à-oreille dans leur pays d’origine et les informations glanées auprès de ceux qui ont réussi le voyage y sont pour beaucoup. Mais cela s’explique aussi par cette tendance actuelle à expliquer aux migrants comment rester en Europe, quelle que soit la légitimité de leur demande d’asile.

    Ils arrivent en pays ouvert avant d’être conquis, mais en introduisant ou en réintroduisant dans nos sociétés des problèmes culturels que nous avions espéré ne plus jamais devoir affronter.

    Ainsi le « jeune » pakistanais Zaheer Hassan Mehmood, a été élevé dans le pays le plus sinistrement rétrograde de la planète où la moindre critique du « prophète » est punie de mort. Il est donc normal, dans sa petite cervelle karchérisée à l’islam depuis son premier vagissement, de donner la mort à tous ces mécréants qui osent se moquer de leur « führer ».

    Quel responsable politique osera donner un coup de pied dans la fourmilière de toutes ces associations « altruistes » qui font leur beurre avec le fric de nos impôts en ouvrant la porte à « toute la misère du monde » comme disait l’autre ?

    Combien de morts aléatoires la population française devra-t-elle subir avant que des décisions radicales soient prises : statistiques ethniques, abolition de la double nationalité, expulsion immédiate et effective de tout étranger condamné, durcissement de la politique des visas avec les pays qui nous envoient leurs migrants, fermetures des mosquées salafistes, fermeture de ces "écoles" salafistes qui sont autant d'officines de lavage de cerveaux, expulsion des imams fauteurs de troubles, etc.  mais aussi et surtout rupture totale avec ces pays du golfe qui endoctrinent, financent et arment les tueurs d’allah et organisent cet islam politique qui veut la peau de notre république.

    Faute de quoi combien de Mehmood, combien de Merah, combien de Kouachi, combien de Bouhiel viendront "égorger nos fils et nos compagnes"?

    On peut toujours rêver, en attendant, on cauchemarde avec toutes ces « chances pour la France » comme Zaheer Hassan Mehmood.


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  • Pendant le confinement, les distractions d’Abdallah Ahmed-Osman, tueur.

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    Julien venait de descendre ouvrir ses volets ce matin-là. Comme tous les jours. En échangeant quelques paroles avec sa femme et son fils. Le confinement, finalement, resserrait les liens familiaux. Survient un individu jeune, agité, vociférant des imprécations agressives. Aux cris de Allaou akbar, l’étranger plonge un couteau dans le corps de Julien qui s’écroule dans une mare de sang, sous les yeux horrifiés de sa femme et de son fils de treize ans.

    Le tueur continue, poignardant au hasard les rares passants bravant le confinement. Il entre dans une boucherie, saute par dessus le comptoir et se saisit d’un autre couteau. Il continue son périple assassin, plongeant ses armes dans des corps de mécréants dans la boulangerie, au bureau de tabac, dans la rue. Puis les flics sont arrivés. Le tueur s’est alors agenouillé, a lâché son arme et s’est mis à psalmodier en arabe...

    Résultat de ce parcourt : deux personnes sont mortes, deux blessés en soins intensifs, une est passée en salle de réveil et deux ont quitté l’hôpital.

    Ouais mais attention, pas d’amalgames, pas de stigmatisation. Il faut comprendre ce pauvre réfugié, loin de son Soudan natal, malheureux d’être obligé de vivre dans « un pays de mécréants ». Ce brave homme dit «ne pas se souvenir de ce qui s’est passé  ». Plusieurs témoins ont affirmé aux enquêteurs que celui-ci "ne se sentait pas bien depuis plusieurs jours" et était "assez aigri" à cause du confinement, mis en place le 17 mars dernier. Compatissons aux affres de ce brave homme. Accompagné par les services de l’État et le Secours catholique, Abdallah Ahmed-Osman avait suivi un contrat de professionnalisation et une formation dans la maroquinerie, indique Le Dauphiné Libéré. "Rien, absolument rien ne laissait présager l’acte immonde dont il serait l’auteur. Il partait travailler à vélo, était poli avec mes services et moi-même, n’a posé aucune difficulté sur notre commune", indique le maire de la commune de Moras-en-Valloire, dans le nord du département de la Drôme, où le suspect a vécu plusieurs mois. 

    Comme toujours le déni de réalité fait que les autorités ont demandé une expertise psychiatrique pour chercher le pourquoi des motivations ayant poussé au crime ce monsieur si poli, si discret, inconnu des services de police ou de renseignement français ou européens, selon le Parquet national antiterroriste (PNAT) qui a ouvert une enquête notamment pour « assassinats en relation avec une entreprise terroriste » et « association de malfaiteurs terroriste criminelle ».

    Abdallah Ahmed-Osman, l’auteur de l’attaque né en 1987, est donc ce que d’aucuns considèrent comme « une chance pour la France ». Au point que L'Ofpra, l'Office Français de Protection des Réfugiés et Apatrides, lui a accordé le statut de réfugié le 29 juin 2017 et un titre de séjour de dix ans le mois suivant.

    Deux autres Soudanais proches du tueur, probablement malheureux eux aussi de devoir vivre dans un pays de mécréants, ont été interpellés et placés en garde à vue. S’ils sont complices, ils ne sont pas seuls car que dire de ces officines payées par nos deniers qui facilitent, organisent, financent l’arrivée et l’implantation de ces « chances pour la France ». Mais, pas d’amalgames, pas de stigmatisation, voyons ! Ces agissement proclament les esprits éclairés, militants de la théorie qui veut qu'en tous actes délictueux, ce n'est jamais la responsabilité de celui qui les commet mais que les coupables sont à rechercher au sein d'une société permissive, dépravée, consumériste qui n'a pas su offrir à ces pauvres êtres perdus tout ce qu'ils attendaient parce cela leur était dû.

    Regardons les choses en face. Les massacres en France, aux États-Unis, en Allemagne, mais aussi et encore plus à Kaboul, Bagdad ou au Nigeria ne sont pas commis par des mécréants, comme dit le distingué Abdallah Ahmed-Osman, ni par des athées, des agnostiques, des païens, des apostats. Ils sont commis par des individus mâles se réclamant de l’islam. Ils sont le fait de musulmans, canal sunnite ou chiite, mais c’est pareil. Et toutes les circonvolutions sémantiques, toutes les dénégations des autorités et des idiots utiles nazislamistes qui sévissent chez les islamo-bobo-gauchos n’y feront rien. Tous les meurtres, poignardages, écrasements, explosions, égorgements, éviscérations, décapitations actuels le sont au nom de la religion. Et particulièrement au nom de la religion mahométane. Les beaux esprits se gaussent de cet adage « tous les musulmans ne sont pas des terroristes, mais tous les terroristes sont des musulmans ». Et d’autres temps et d’autres lieux, ce fut, c’est des chrétiens, des hindouistes, des bouddhistes. Mais c’est toujours au nom d’une de ces terribles névroses collectives appelées religion qu’une partie de la population s’en prend à l’autre sous prétexte de faire son bonheur !

    Le visage de la religion, c'est celui de la haine. Haine de tout ce qui fait notre art de vivre, d'aimer, de jouir, d'inventer, de créer, de rire. De vivre quoi !

    Il est un truc qui m’a fait sauter de rage sur ma chaise en d’autres temps, suite aux massacres au camion de Nice, c’est cette phrase effarante : « Pray for Nice », « Priez pur Nice ». Ah les kons ! Les sinistres kons ! Il faudrait prier un quelconque dieu à cause de ceux qui massacrent au nom… de ces dieux !

    La konnerie humaine est vraiment, comme disait Einstein la seule approche que l’on puisse avoir de l’infini.

    Allez, je repars me confiner et préparer le boudin aux pommes pour manger à midi.



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  • Massacre à Villeurbanne. Terroriste ? Non… « Déséquilibré… »

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    Un « déséquilibré » poignarde, éventre, mutile, saigne des gens qui attendaient à une station de métro de Villeurbanne. Un jeune homme de 19 ans est mort, huit autres passants ont été blessés dont trois grièvement. Simple fait divers commis pas un « déséquilibré » proclament les autorités, relayées comme toujours dans le déni de réalité par les médias. Il aurait dit, en maniant le couteau dans de la viande forcément mécréante : « Ils ne lisent pas le coran ! » Il a été maîtrisé et remis aux flics par des employés de la société de transport et des passants, certains d’origine maghrébine, des résistants. Il faut aussi savoir que l’égorgeur est un « demandeur d’asile » afghan. Et donc une personne à laquelle notre pays a ouvert ses frontières et ses aides. « Faï de ben a Bertrand, té lou ren en cagan ! » dit-on chez nous (« Fait du bien à Bertrand, il te le rend en te chiant dessus »).

    Ingratitude ? Non, Taqîya, une doctrine qui autorise tout musulman à faire usage de tromperie afin de se défendre ou afin de répandre l’islam.

    Mais les « zautorités » refusent de considérer cet acte barbare comme un attentat terroriste. Déni de réalité, impuissance devant la menace islamique, lâcheté.

    Si ce tueur est un déséquilibré c’est pour une raison simple : il est la première victime - avant même ceux qu’il a agressé et tué parce « qu’ils ne lisaient pas le coran » – de l’islam, cette idéologie moyenâgeuse, mortifère, fanatique, intolérante, profondément inégalitaire et injuste, véritable cancer de l’esprit.

    Le demandeur d’asile tueur, cette « chance pour la France » vivant à nos crochets, na pourtant fait que se conformer à la lettre de son coran saignant, Il n’a fait qu’appliquer ce qui est prescrit explicitement dans le Coran :

    « Sourate 3, verset 59
    En quelques lieux, qu’ils soient, ils [les infidèles] seront couverts de malédiction. On les tuera partout où on les trouvera.

    Sourate 4, verset 56
    Ceux qui ne croient pas à Nos Versets, (le Coran) Nous les brûlerons bientôt dans le Feu. Chaque fois que leurs peaux auront été consumées, Nous leur donnerons d’autres peaux en échange afin qu’ils goûtent au châtiment. Allah est Puissant et Sage ! »

    Il y en a des centaines comme ça d’appels au meurtre. Pour réfléchir à cet état de fait : je vous conseille de lire, relire et méditer le livre de Michel Onfray – « Traité d’athéologie » – chez Grasset, dont voici quelques feuilles :

    « […] Près de deux cent cinquante versets - sur les six mille deux cent trente-cinq du Livre - justifient et légitiment la guerre sainte, le djihad. Assez pour que se trouvent noyées les deux ou trois phrases bien inoffensives qui invitent à la tolérance, au respect de l’autre, à la magnanimité ou au refus de la contrainte en matière de religion (!). Dans un pareil océan de sang, qui peut encore prendre la peine de s’arrêter sur deux ou trois phrases qui invitent plutôt à l’humanité qu’à la barbarie ? D’autant que la biographie du Prophète témoigne : on y trouve constamment le meurtre, le crime, l’épée et l’expédition punitive. Trop de pages invitent à l’antisémitisme, à la haine des juifs, à leur spoliation et leur extermination pour qu’un combattant musulman ne se croie pas légitimé à passer les juifs par le fil de l’épée.

    /… 

    Au sein même de la communauté musulmane de prétendus semblables, la hiérarchie persiste : les hommes dominent les femmes, les religieux dominent les croyants, les fidèles pieux dominent les pratiquants tièdes, les vieux dominent les jeunes. Phallocratie, théocratie, gérontocratie, le modèle tribal et primitif des origines ne cesse pas depuis treize siècles. Il est fondamentalement incompatible avec les sociétés issues des Lumières. Le musulman n’est pas fraternel : frère du coreligionnaire, oui, mais pas des autres, tenus pour rien, quantités négligeables ou détestables.

    /…

    Un livre datant des premières années de 630, hypothétiquement dicté à un gardeur de chameaux illettré, décide dans le détail du quotidien de milliards d’hommes à l’heure de la vitesse supersonique, de la conquête spatiale, de l’informatisation généralisée de la planète, du temps réel et universel des communications généralisées, du séquençage du génome humain, de l’énergie nucléaire, des premières heures du post-humain… La remarque vaut pour les loubavitchs accrochés à la Torah et au Talmud qui partagent eux aussi une semblable ignorance du temps qui passe.

    Expliquer que l’égalité des sexes, les droits de l’homme ET DE LA FEMME ont vocation à être généraux, transnationaux et supérieurs aux édits religieux, quels qu’ils soient, c’est peine perdue.

    Expliquer que la liberté d’apostasie, de blasphème, la caricature, l’humour noir jaune ou rose sont impératifs en démocratie c’est se retrouver face à un mur d’incompréhension.

    Expliquer aux nouveaux arrivants que nos lois, nos usages et nos habitudes s’appliquent de façon absolue sur notre territoire et que c’est à prendre ou à laisser (repartir si pas d’accord) aurait dû être obligatoire et aurait dû s’accompagner de la signature d’un engagement en ce sens pour chaque nouvel arrivant. Cela aurait dû être mis en place depuis des décennies et nous n’en serions pas là aujourd’hui. Nous pourrions dire « Vous avez signé, vous saviez qu’il n’y aurait aucune discussion possible sur ces points, si vous n’êtes plus d’accord, au revoir et merci ».

    Faute d’avoir fait cela, nous nous retrouvons avec quelques millions de personnes qui n’auront de cesse de torpiller morceau par morceau l’ensemble de nos valeurs pour introduire les leurs. D’accommodement en accommodement notre société se renie et se saborde.

    Mais si vous proclamez ces évidences, vous tombez immédiatement sous le coup de « l’excommunication » moderne : on vous traite d’islamophobe, terme bidon mais que ses adeptes s’ingénient à assimiler à « raciste ».

    Expliquer à un bobo/gaucho/humaniste que l’islamophobie n’a rien, mais alors rien à voir avec du racisme c’est peine perdue. L’islamophobie est un racisme imaginaire. Elle n’est que la conclusion intellectuelle qui s’impose tout naturellement si l’on veut défendre les valeurs intangibles, celles que nous devons préserver à tout prix… Au moins ici.

    « Islamophobe » ! Ce mot, loin de désigner un quelconque racisme – une religion est-elle une « race » ? - a été inventé de toutes pièces par les islamogauchistes pour disqualifier ceux qui résistent aux intégristes de tous poils. Pourquoi ne devrai-je pas avoir peur de l’idéologie chrétienne, de l’idéologie musulmane, comme de l’idéologie trumpienne, marxiste ou ultralibérale ?

    Pourtant, dès que vous prétendez critiquer cette dangereuse névrose collective qu’est l’islam (sans majuscule) on vous jette cet anathème définitif, censé vous rouler dans la fosse de la honte et de l’opprobre : « vous êtes islamophobe ! » Voilà l’arme nucléaire des islamogauchismes qui - hélas – sévissent dans bien des milieux « autorisés » et particulièrement dans les médias, du Monde à Libération (journaux de milliardaires) sans oublier – hélas – Médiapart.

    Les islamogauchistes, que j’appelle d’un nom plus précis - les « nazislamistes » - sont ces archéo-nostalgiques du Grand Soir. Comme ils ont léché le cul de Staline en d’autres temps, ils lèchent les babouches des tueurs d’allah (sans majuscule bien sûr). Ils voudraient nous rouler dans la culpabilisation : « Ces malheureux (ils parlent des tueurs, pas des victimes) sont victimes du colonialisme, ils ont subi l’esclavage, nous pillons leurs pays », et gnagnagna…

    En fait, ces planqués sont des lâches et de vulgaires collabos : ils pensent qu’en léchant les babouches de cette minorité de fanatiques voulant imposer partout la terreur théocratique, leurs « maîtres » leur seront reconnaissants et les remercieront chaleureusement… Comme les « idiots utiles » de Staline.

    Y a-t-il au monde peuples plus colonialistes que les arabo-musulmans ? Ils ont colonisé une partie du monde, de l’Indonésie à l’Atlantique, du Caucase à l’Atlas ! La colonisation la plus brutale qui soit : massacre systématique des hommes, table rase de toute trace de civilisation précédant leur arrivée, création de sous-hommes, les « dhimmis », établissement de l’esclavage à grande échelle, mépris des femmes, etc.

    Y a-t-il au monde peuples plus esclavagistes que les arabo-musulmans ? Les razzias des arabo-musulmans ont saigné l’Afrique bien avant et bien plus que la sordide traite atlantique. Et elle dure toujours, en Mauritanie, en Arabie saoudite entre autres ! Dans les sociétés musulmanes, l’esclave était (est ?) considéré comme une chose, un meuble, un outil. Il peut donc être vendu, donné, légué, loué. Il n’est, à ce titre qu’une « simple marchandise ». Il se range, en règle générale, dans la même catégorie que les animaux.

    Bon, n’en jetons plus, la coupe est pleine. Et pendant ce temps faut-il s’étonner que « La Bête » se réveille ?


    Illustration: Merci à Danzigzer