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  • Gastronomie: les alibofis de toros.

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    Ce bonobo à de quoi nous rendre modestes...

     

    Les aliboffis, vous connaissez ? En Provence, ce sont les couillons. Pas au figuré, non, les couilles, les testicules si vous préférez le terme politiquement correct. J’ai coutume de dire que « quand elles se vident, c’est le bonheur, tous le monde comprend pourquoi, et quand elles gonflent, c’est la rabia. »

    Bon. Après ces petites précisions physiologiques, savez-vous que les aliboffis, c’est excellent à manger ?

    Tè ! Je vais vous expliquez comment les faisait mon père (les aliboffis sont un plat que seul un homme peut cuisiner. Les femmes, on préfère qu’elles nous les caressent, bien que parfois elles nous les cassent… C’est dans leur nature, faut faire avec…)

    Alors voilà. Respectez évidemment celles de notre frère Bonobo ! Si vous êtes ambitieux, si vous êtes allé à la Féria de Nîmes et si vous ne craignez pas les comparaisons hasardeuses, demandez des aliboffis de taureaux, enfin des « toros » des corridas, demandez à un boucher local. A défaut, chez votre tripier (on en trouve encore), demandez deux belles paires d’aliboffis d’agneau.Trempez-les deux heures dans l’eau froide vinaigrée pour les faire dégorger. Puis blanchissez-les une petite minute à l’eau bouillante salée. Sortez-les avec une écumoire, passez-les rapidement à l’eau froide, puis coupez-les en deux et enlevez la peau.

    Dans un faitout, sur feu doux, mettez une cuillère à soupe d’huile d’olive. Lorsqu’elle est chaude, jetez-y quatre belles gousses d’ail pelées et écrasées avec le plat du couteau. Faites revenir juste le temps de boire un canon de rosé. Ajoutez un demi-litre d’eau et un verre de vin blanc, deux cuillères à soupe de concentré de tomate, une cuillère à café de harissa, une cuillère à café de cumin en poudre, autant de paprika, autant de sel et le jus d’un demi citron. Pendant que ça monte à ébullition, coupez les aliboffis en dés grossiers d’environ trois centimètres. Jetez-les dans la préparation précédente lorsqu’elle bout. Couvrez et laissez cuire à feu doux pendant vingt minutes. Après ce temps, si la sauce est trop liquide, faites réduire à feu vif en maniant l’appareil délicatement à la spatule bois pour éviter que ça attache. Goûtez et rectifiez l’assaisonnement qui doit être de haut goût. Servez très chaud en agrémentant la couleur avec du persil plat haché et des tranches de citron. Ce plat s’accompagne de riz blanc de Camargue. Avec un rosé bien frais, vous m’en direz des nouvelles !

    Ah ! J’oubliais : prévoyez quelqu’un pour une petite sieste crapuleuse après ce met gaillard !

    Vive les aliboffis !

     

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  • Au bistro de la toile : accueillir les « revenants » de Daech ? Aux fous !

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    - Eh , Victor, la cour de « justice » de La Haye adjoint parait-il la France de reprendre sur son sol les femmes parties faire le jihad en Syrie et des enfants « pour la cause ». Qu’est-ce que t’en pense ?

    - « enjoint », Loulle, pas « adjoint ». Ce que j’en pense ? Que le crétinisme de ces « juges » de mes deux atteint des sommets. Et les dégoulinantes verbales de toutes les « belles âmes » qui se lamentent sur le sort de ces « malheureuses » me donnent des boutons. Elles oublient que « ces pauvres femmes françaises » sont parties volontairement - en crachant sur leur pays, la France - en Syrie proposer aux tueurs de Daech leurs ventres dans les Lebensborn islamiques comme trous à bites et engendreurs de lardons. Elles sont des terroristes par leur ventre, Loulle. Et nous devrions les faire revenir ? Les nourrir en zonzon où elles feront du prosélitisme et du recrutement ? On en entend, on en lit obséquieusement interviewées dans leur camp prison chez les Kurdes, se lamentant sur leur sort. Sort qu’elles ont choisi, ces Sophie, ces Margot, ces Jennifer (mais qui avait dû rejeter, avec leurs inséminateurs daechiens, ces prénoms bien trop français !).

    Ces femmes ont choisi de trahir leur pays, de prendre les armes contre lui, au minimum de servir de repos du guerrier et de truies gravides pour fabriquer une génération de Grimlocks, et lorsque le vent tourne, elles se rappellent qu’elles sont nées, ont été élevées, soignées, éduquées dans un pays libre appelé la France. Pays sur lequel elles crachent leur fiel mais où elles voudraient bien revenir maintenant que leurs nombreux et divers « maris » égorgeurs sont morts et surtout alors qu’elles sentent la mortelle caresse de la cravate de chanvre qui les guette !

    Victimes ces femmes ? Eh ! Oh ! Elles savaient parfaitement ce qu’elles faisaient en se « mariant » avec des égorgeurs de daech ou autres sectes de tueurs d’allah. Alors comme ça, on oublierait tout ? « Non mais, c’était pour rigoler ! » Ils rigolaient les malheureux que leurs tringleurs barbus égorgeaient ? Ces femmes se seraient laissées abuser ? Elles n’ont pas de volontés propres ? Elles ne sont pas responsables ? C’est l’amour qui leur a tourné la tête ? Tè, fume !

    Et puis gambergeons un peu, ça changera. Que vont devenir ces « revenantes » et leurs progénitures en France ? On les mettra où ? Quel est le maire qui les acceptera de gaîté de cœur sur son territoire ? En banlieue ? Sûrement pas : elles seront accusées de lâcheté pour avoir fui.

    - Ouais, mais les gosses, Victor, ils n’ont pas choisi, eux…

    - Les enfants ? Qui ont été éduqués dès leur premier âge en ingurgitant des vidéos d’égorgement, de décapitations, qui voyaient des armes à la maison, qui entendaient quotidiennement les récits sanglants de leurs tueurs de pères, dont la cervelle malléable a été manipulée de façon à haïr le « koufir », c’est-à-dire toi, moi. Combien d’années de coûteux suivis psychologiques vont-ils nécessiter ? Pour quel résultat hasardeux ? Ils seront autant de bombes à retardement. De la graine de tueurs pleins de haine en liberté et une recrudescence d’attentats à venir.

    Ces gens, jeunes, moins jeunes, hommes, femmes et même enfants - nés et élevés pour en faire des machines à tuer – qui partent s’engager dans les rangs de nos ennemis, qui tuent les ennemis de nos ennemis, donc nos amis, doivent savoir que s’ils partent, c’est un billet sans retour. En temps de guerre, les citoyens d’un pays qui passent à l’ennemi sont des traîtres, des déserteurs et doivent être traités comme tels, c’est-à-dire « éliminés ». En bon français, on devrait dire tués.

    - Le retour de la peine de mort en somme. Quand même, c’est dégueulasse, Victor…

    - C’est dégueulasse ? Bien sûr que c’est dégueulasse, mais on ne fait pas la guerre en dentelle. La guerre, c’est la mort, c’est la trouille, c’est l’angoisse, la peur panique, les cris, le bruit, la souffrance, le deuil, les massacres, les flammes qui brûlent, la fumée qui aveugle, les bouts de fer qui hachent la viande. La guerre, ça sent la merde du pauvre type qui se chie dessus de peur, ça sent cette odeur âcre, doucereuse des corps gonflés qui grouillent de vers, ce sont les tripes irisées sous le soleil, ça sent la poudre, le feu, la mort, la mort, toujours la mort. Va demander aux Ukrainiens...

    On s’empêtre dans des considérations morales contre des ennemis qui se torchent allègrement l’oignon avec toute morale. On cède devant les jérémiades de « droit-de-l’hommistes » bêlants qui sont autant d’idiots utiles des nazislamistes. Avec en perspective des « Bataclan », des « Nice » et des palanquées d’assassinats au couteau.

    - Macrounet, tu crois qu’il va céder aux injections de ce « machin » de l’Europe ?

    - « Injonctions » Loulle. Il a déjà commencé, des femmes et leurs lardons arrivent discrètement. Si on est responsable, on n’accepte pas de prendre le risque de voir dix, cent, mille traîtres abrutis par la propagande ennemie rentrer « au pays » et y semer la mort la plus lâche, celle des attentats aveugles. Macrounet nous rebat les oreilles en nous disant que nous sommes en guerre. Alors en temps de guerre, utilisons les lois de la guerre. C’est dur mais c’est comme ça. Ces gens qui sont partis faire le « jihad », il faut les détruire, les tuer dès qu’on les a « logés » comme disent les flics. Il faut qu’ils sachent qu’ils ne rentreront jamais « au bercail », sinon les pieds devant…

    À force de tout voir, on finit par tout supporter.
    À force de tout supporter, on finit par tout tolérer.
    À force de tout tolérer, on finit par tout accepter.
    À force de tout accepter, on finit par tout approuver.

    (Augustin d’Hippone dit Saint Augustin)

    Illustration: merci au regretté Chimulus

     



  • Au bistro de la Toile : l'argent braguette et la guerre des utérus.

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    - Fatche, Victor, hier soir, je suis tombé sur une perle sur RMC télé : ils tchatchaient sur la fiche de paiement des allocations familiales d’une famille de diix enfants : six mille euros pour le mois ! ...taing ! C’est une situation florissante et envieuse que de faire des lardons ! Surtout pour le géniteur d’ailleurs parce que pour la pauvre mère, réduite à sa seule fonction procréatrice, c’est autre chose…

    - Il faut remettre les pendules à l’heure Loulle. La Caisse Nationale des Allocations Familiales indique que cette feuille est authentique et correspond bien à une famille vivant dans le Bas-Rhin. Elle précise qu’il s’agit d’une famille composée «d’un couple et de leurs dix enfants, âgés de 0 à 19 ans». Les parents sont tous deux bénéficiaires du RSA, et leurs enfants sont tous à charge. La CNAF signale également que cette feuille correspond à une situation particulière puisqu’elle inclut l’allocation de rentrée scolaire, qui est versée une seule fois par an, au mois d’août.

    En temps normal, cette famille de douze personnes touche une somme située «entre 3 600 et 3 700 euros» d’allocations mensuelles.

    - Ouais. Ça relativise la chose. Mais c’est tout de même une relative sécurité financière…

    - Mouais… Tu imagines la vie de cette mère ? Réduire la femme à sa seule fonction de reproductrice alors qu’il existe des moyens de contraception faciles et efficaces, c’est monstrueux et totalement irresponsable à notre époque où le principal problème, bien qu’il soit tabou d’en parler, c’est la surpopulation. Cette reproduction zoologique peut avoir une cause sécuritaire pour les géniteurs :plus ils font d’enfants plus il en restera pour s’occuper d’eux lorsqu’ils seront vieux. C’est le cas dans bien des pays africains ou asiatiques où les notions de sécurité sociale sont inconnues. Mais elle peut aussi avoir une autre finalité, beaucoup plus vicelarde : la conquête par la guerre des utérus. Houari Boumedienne, ancien président de l’Algérie proclamait devant l’ONU ces propos aussi menaçants que prophétiques : «Un jour, des millions d'hommes quitteront l'hémisphère Sud pour aller dans l'hémisphère Nord. Et ils n'iront pas là-bas en tant qu'amis. Parce qu'ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire.»

    - C’est ça que tu appelles la guerre des utérus ?

    - Exactement Loulle. En deux ou trois générations, les populations exogènes, c'est-à-dire venues d’ailleurs, vont supplanter les populations indigènes. C’est mathématique. Ça n’a rien à voir avec un quiconque complot du « grand remplacement ». Dans nos civilisations occidentales où la religion a été remise à sa place et où les femmes sont éduquées, la démographie galopante n’existe plus. C’est bon pour la planète, mais c'est une faiblesse pour nous car en démocratie, ce sont les plus nombreux qui gagnent, d’où le réflexe de faire le plus d’enfants possibles pour écraser l’adversaire par le nombre. Lorsque nos femmes font un, deux, voire trois enfants, les femmes venues d’ailleurs  - majoritairement musulmanes donc maintenue dans l’inculture par l'idéologie machiste de l’islam – en font cinq, six, sept et plus si affinité...et allocations familiales.

    - C’est l’argent braguette !

    - Et la conquête sournoise, à bas bruit, où les conquis paient pour les conquérants. La konnerie à l’état pur…

    - Mais alors comment faire Victor ? Supprimer les allocs ?

    - Pas les supprimer, mais les encadrer strictement.

    - Comment ?

    - Le but, c’est de maintenir un remplacement des générations majoritairement indigène tout en faisant barrage à l’argent braguette, donc à l’asservissement par la guerre des utérus. Par exemple les allocs paient 400 euros par mois jusqu’à sa majorité pour un enfant, 500 euros pour un deuxième enfant, 600 euros pour un troisième enfant mais rien pour un quatrième enfant et une taxe de 400 euros pour le cinquième, 500 pour le sixième, 600 pour le septième, etc. L’argent braguette n’y survivra pas longtemps ! Et la France et l’Europe ne perdront pas la guerre des utérus.

    - Voilà une idée qu’elle est bonne Victor ! On pourrait même considérer pour la mère cela comme un salaire ouvrant droit à retraite et autres prestations.

    - Bien entendu Loulle.

    - Eh ! Victor je crois que ce n’est pas très « politiquement correct » ça. ­Allez buvons un coup !


    Illustration: merci au regretté Chimulus