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Au bistro de la toile : accueillir les « revenants » de Daech ? Aux fous !

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- Eh , Victor, la cour de « justice » de La Haye adjoint parait-il la France de reprendre sur son sol les femmes parties faire le jihad en Syrie et des enfants « pour la cause ». Qu’est-ce que t’en pense ?

- « enjoint », Loulle, pas « adjoint ». Ce que j’en pense ? Que le crétinisme de ces « juges » de mes deux atteint des sommets. Et les dégoulinantes verbales de toutes les « belles âmes » qui se lamentent sur le sort de ces « malheureuses » me donnent des boutons. Elles oublient que « ces pauvres femmes françaises » sont parties volontairement - en crachant sur leur pays, la France - en Syrie proposer aux tueurs de Daech leurs ventres dans les Lebensborn islamiques comme trous à bites et engendreurs de lardons. Elles sont des terroristes par leur ventre, Loulle. Et nous devrions les faire revenir ? Les nourrir en zonzon où elles feront du prosélitisme et du recrutement ? On en entend, on en lit obséquieusement interviewées dans leur camp prison chez les Kurdes, se lamentant sur leur sort. Sort qu’elles ont choisi, ces Sophie, ces Margot, ces Jennifer (mais qui avait dû rejeter, avec leurs inséminateurs daechiens, ces prénoms bien trop français !).

Ces femmes ont choisi de trahir leur pays, de prendre les armes contre lui, au minimum de servir de repos du guerrier et de truies gravides pour fabriquer une génération de Grimlocks, et lorsque le vent tourne, elles se rappellent qu’elles sont nées, ont été élevées, soignées, éduquées dans un pays libre appelé la France. Pays sur lequel elles crachent leur fiel mais où elles voudraient bien revenir maintenant que leurs nombreux et divers « maris » égorgeurs sont morts et surtout alors qu’elles sentent la mortelle caresse de la cravate de chanvre qui les guette !

Victimes ces femmes ? Eh ! Oh ! Elles savaient parfaitement ce qu’elles faisaient en se « mariant » avec des égorgeurs de daech ou autres sectes de tueurs d’allah. Alors comme ça, on oublierait tout ? « Non mais, c’était pour rigoler ! » Ils rigolaient les malheureux que leurs tringleurs barbus égorgeaient ? Ces femmes se seraient laissées abuser ? Elles n’ont pas de volontés propres ? Elles ne sont pas responsables ? C’est l’amour qui leur a tourné la tête ? Tè, fume !

Et puis gambergeons un peu, ça changera. Que vont devenir ces « revenantes » et leurs progénitures en France ? On les mettra où ? Quel est le maire qui les acceptera de gaîté de cœur sur son territoire ? En banlieue ? Sûrement pas : elles seront accusées de lâcheté pour avoir fui.

- Ouais, mais les gosses, Victor, ils n’ont pas choisi, eux…

- Les enfants ? Qui ont été éduqués dès leur premier âge en ingurgitant des vidéos d’égorgement, de décapitations, qui voyaient des armes à la maison, qui entendaient quotidiennement les récits sanglants de leurs tueurs de pères, dont la cervelle malléable a été manipulée de façon à haïr le « koufir », c’est-à-dire toi, moi. Combien d’années de coûteux suivis psychologiques vont-ils nécessiter ? Pour quel résultat hasardeux ? Ils seront autant de bombes à retardement. De la graine de tueurs pleins de haine en liberté et une recrudescence d’attentats à venir.

Ces gens, jeunes, moins jeunes, hommes, femmes et même enfants - nés et élevés pour en faire des machines à tuer – qui partent s’engager dans les rangs de nos ennemis, qui tuent les ennemis de nos ennemis, donc nos amis, doivent savoir que s’ils partent, c’est un billet sans retour. En temps de guerre, les citoyens d’un pays qui passent à l’ennemi sont des traîtres, des déserteurs et doivent être traités comme tels, c’est-à-dire « éliminés ». En bon français, on devrait dire tués.

- Le retour de la peine de mort en somme. Quand même, c’est dégueulasse, Victor…

- C’est dégueulasse ? Bien sûr que c’est dégueulasse, mais on ne fait pas la guerre en dentelle. La guerre, c’est la mort, c’est la trouille, c’est l’angoisse, la peur panique, les cris, le bruit, la souffrance, le deuil, les massacres, les flammes qui brûlent, la fumée qui aveugle, les bouts de fer qui hachent la viande. La guerre, ça sent la merde du pauvre type qui se chie dessus de peur, ça sent cette odeur âcre, doucereuse des corps gonflés qui grouillent de vers, ce sont les tripes irisées sous le soleil, ça sent la poudre, le feu, la mort, la mort, toujours la mort. Va demander aux Ukrainiens...

On s’empêtre dans des considérations morales contre des ennemis qui se torchent allègrement l’oignon avec toute morale. On cède devant les jérémiades de « droit-de-l’hommistes » bêlants qui sont autant d’idiots utiles des nazislamistes. Avec en perspective des « Bataclan », des « Nice » et des palanquées d’assassinats au couteau.

- Macrounet, tu crois qu’il va céder aux injections de ce « machin » de l’Europe ?

- « Injonctions » Loulle. Il a déjà commencé, des femmes et leurs lardons arrivent discrètement. Si on est responsable, on n’accepte pas de prendre le risque de voir dix, cent, mille traîtres abrutis par la propagande ennemie rentrer « au pays » et y semer la mort la plus lâche, celle des attentats aveugles. Macrounet nous rebat les oreilles en nous disant que nous sommes en guerre. Alors en temps de guerre, utilisons les lois de la guerre. C’est dur mais c’est comme ça. Ces gens qui sont partis faire le « jihad », il faut les détruire, les tuer dès qu’on les a « logés » comme disent les flics. Il faut qu’ils sachent qu’ils ne rentreront jamais « au bercail », sinon les pieds devant…

À force de tout voir, on finit par tout supporter.
À force de tout supporter, on finit par tout tolérer.
À force de tout tolérer, on finit par tout accepter.
À force de tout accepter, on finit par tout approuver.

(Augustin d’Hippone dit Saint Augustin)

Illustration: merci au regretté Chimulus

 



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