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  • Ouiquinde confiné. Le saviez-vous ?

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    1.- Sur tous les jeux de cartes, les 4 Rois représentent les 4 grands Rois de l’histoire :
    Pique : Le Roi David
    Trèfle : Alexandre le Grand
    Cœur : Richard Cœur de Lion
    Carreau : Jules César

    2.- 111.111.111 x 111.111.111 = 12.345.678.987.654.321

    3.- Lorsque vous voyez une statue équestre dans un parc, si
    Le cheval a ses 2 pattes en l’air, le personnage représenté est mort au combat.
    Le cheval a une patte en l’air, le personnage est mort des suites de blessures reçues au
    Combat.
    Le cheval a les 4 pattes au sol, le personnage est mort de causes naturelles.

    4.- Si on écrit tous les nombres en anglais (one, two, three, four……..) jusqu’où faut-il
    aller pour trouver la lettre « A » ?
    réponse : 1000 (one thousAnd).

    5.- Qu’ont en commun les gilets pare-balles, les escaliers de secours, les essuie-glace,
    les imprimantes laser ?
    Tous ont été inventés par des femmes

    6.- Quel est le seul aliment qui ne se gâte pas ?
    Le miel.

    7.- Une coutume vieille de 4000 ans à Babylone, voulait que, pendant le mois qui suivait le mariage, le père de la mariée devait offrir à son beau-fils autant de «mead» qu’il pouvait. Le « mead » étant une bière à base de miel et, comme le calendrier était basé sur les cycles lunaires, cette période était appelée le mois du miel d’où, de nos jours, la lune de miel.

    8.- Sous l’ancienne Angleterre, si on n’était pas membre de la famille Royale, on ne pouvait pas avoir de relations sexuelles sans l’accord du Roi
    Pour avoir un bébé, il fallait demander audience auprès du Roi, qui vous remettait un panneau à clouer sur votre porte pendant le rapport.
    Sur le panneau était écrit « F.U.C.K. » pour Fornication Under Consent of King.
    Vous connaissez maintenant l’origine du mot.

    9. – Les Écossais ont inventé un jeu, il y a des années, qui était intitulé :
    Gentlemen Only, Ladies Forbidden
    (Réservé aux hommes, interdit aux femmes)

    G. O. L. F. C’est ainsi que le mot est entré dans le dictionnaire.

     

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  • Au e.bistro de la Toile. Voitures électriques : les dessous douteux de Zoë et de ses soeurs.

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    - Allo, Loulle ? Ayoli, ami mastroquet confiné ! Comment tu vas ? Comment tu torches « la bête » ?

    - Allo Victor. Ayoli à toi aussi e.ami ! Je vais bien, je nettoie mon antre, je repeins, je liquide les provisions et j’honore la maman.

    - Tu sais, ça me manque nos diatribes verbales agrémentées de nos estrambords au son des canons de rouge. Bon, alors, de quoi on parle ?

    - Moi aussi ça me manque, j’en ai la menteuse qui pègue… Si tu veux maïsser, on parle de tout ce que tu voudras sauf du Covid et des élections étasuniennes.

    - D’accord, mastroquet de mon cœur. Alors on va dire du mal de la dernière konnerie à la mode : la voiture électrique.

    - Ah ! Pourquoi ? Regarde, Bert en a acheté une, et fabriqué en France en plus, une Yaris ch’ai pas quoi, et il en a l’air content.

    - Mouais… Sa caisse, c’est pas une « électrique » pure et dure, c’est une i.bride, ou hybride. C’est-à-dire une caisse qui combine les avantages de la motorisation essence ou diesel et de la motorisation électrique. Mais qui en combine surtout les inconvénients ! Et ils sont gratinés, Loulle.

    - Ah ! Dis-moi.

    - Eh bien dans une i.bride, tu as un moteur, une boîte à vitesses, un différentiel, un réservoir, classiques, comme toute bagnole dite « thermique ». Et en plus, tu as une motorisation électrique, une grosse batterie spéciale, et un système de générateur costaud. Et tout ça, ça pèse Loulle ! Et ça pèse d’autant plus que pour supporter tout ça, il te faut de la place, donc une caisse plus grande et plus épaisse pour être plus solide, donc plus lourde. Résultat, tu as une mauvaise voiture électrique, avec une autonomie dérisoire et une mauvaise bagnole thermique, vu le surpoids. T’es perdant sur tous les tableaux. Mais ce n’est pas tout Loulle. Si tu as un « i.bride » non rechargeable, eh bien il faut bien la recharger ta batterie. Quand, comment ? « Au freinage » qu’ils te disent les marchands. Ben voyons… La batterie pour la propulsion électrique se recharge avant tout lorsque tu roules avec le moteur thermique. Et donc tu bouffes pas mal d’énergie, donc de carburant pour charger ta batterie ! On touche là à une forme subtile d’escroquerie !

    - Ouais. Vu sous cet angle évidemment. Mais la Zoë de Bert, tout électrique, ou l’i.bride rechargeable, que tu peux charger la nuit, dans ton garage, c’est pas mal, non ?

    - Pas si sûr que ça, Loulle. Pour recharger chez toi ; « at home », ou plutôt « atome », il faut avoir une maison individuelle avec un garage spécialement équipé, et ça coûte un bras. Si tu crèches en appartement et que tu n’aies pas la chance d’avoir une prise de recharge dédiée dans les box de ton immeuble, tu es marron. Parce que le réseau de bornes de recharge reste très embryonnaire et… il réserve des sacrées surprises ! On ne reparlera. Donc, avec ton i.bride « branchable », tu vas rouler le plus souvent avec la batterie vide. En consommant sensiblement plus de pétrole puisqu’il te faut te trimballer un énorme surpoids.

    Eh puis il faut regarder le prix Loulle. L’entrée de gamme de Renault, la Zoé comme Bert, elle coûte 23 700 balles. Prix auquel il faut rajouter l’achat de la batterie, 8 900 euros. Il faut donc débourser au minimum 32 600 euros pour l’offre intégrale, hors bonus écologique de 6 000 euros, ce qui ne couvre même pas le coût de la batterie seule. Et sinon, tu peux louer la batterie, selon ton kilométrage ça tourne autour de 80 à 100 balles par mois !

    Alors que certaines voitures diesel dépassent les 1 000 km d’autonomie en consommant moins de 7 litres aux 100 km, vendre une citadine à ce prix-là pour une autonomie de 200 km en théorie, mais moins en pratique, avec un temps de recharge rédhibitoire, c’est une escroquerie.

    - Ouais mais faut être écolo, Victor. Faut la sauver notre belle planète bleue !

    - Alors là, on est en plein délire Loulle. Pour stocker de l’électricité dans une batterie et la recharger, il faut produire du courant et l’acheminer à la voiture. Centrales nucléaires + centrales thermiques + énergies renouvelables subissent des pertes énormes. Au bilan, la voiture électrique engloutit plus d’énergie primaire que la voiture thermique. Ensuite, il faut prendre en compte les problèmes de fabrication de batteries au lithium-ion, une denrée rare qui va devenir de plus en plus chère si le parc automobile électrique explose. Selon l’ADEME, Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie, la voiture électrique consomme deux fois plus d’énergie que sa consœur thermique durant la phase de production. Les batteries sont trop lourdes, l’autonomie insuffisante, le temps de recharge trop long et le coût démentiel.

    - Ouais mais tu n’émets pas de ces particules fines qui nous refilent le cancer.

    - Tu crois ça Loulle ? Selon le magazine Science et Vie, « les pneus, les freins et l’usure des routes émettent presque autant de microparticules que le diesel ».

    Et puis il y a la cerise sur le pudding, ou le pue-dingue Loulle. C’est le prix du « plein » d’électricité sur route et surtout sur autoroute. Les bornes « ultrarapides », demi-heure tout de même, proposées par le principal opérateur européen, Ionity, vont débiter un courant électrique hors de prix ! Exit le forfait fixe de 8 euros. Pour recharger sa voiture électrique sur autoroute, il faut désormais payer au kilowattheure consommé et la facture finale est bien plus salée. Il en est ainsi sur les bornes de recharge Ionity, sur l’ensemble du réseau européen. L’opérateur a décidé de changer ses prix depuis le 31 janvier et facture l’énergie consommée, soit 0,79 euro par kilowattheure (kWh). Pour faire simple, prenons l’exemple d’une Renault Zoé qui a besoin de « faire le plein » d’énergie électrique. Jusqu’au 30 janvier, cela coûtait donc 8 € puis, à partir du 31 du même mois, le prix a fait un bond colossal pour atteindre 41,08 € car, la capacité de la batterie de la citadine au losange est de 52 kWh ! Pour faire moins de 200 bornes.

    - Alors là, Victor, ça m’espante. C’est effectivement une gigantesque arnaque.

    - Je te le fais pas dire Loulle. Et attends, Monsieur l’État n’a pas encore décidé de taxer l’électricité « de transport ». Mais il faudra bien qu’il remplace la manne des taxes sur les produits pétroliers, qui rapporte dans les 35 milliards par an. Et ça va flamber sur les bornes de recharge !

    - Ouais mais si tu recharges chez toi ?

    - Et pourquoi tu crois qu’on nous a imposé le compteur « intelligent » Linky ? Comme il est intelligent, il saura déterminer la part de courant servant à charger ta caisse électrique. Et tonton Létat taxera, et tu casqueras sur ta facture d’électricité. Elle est pas belle la vie ?

    - Fatche…

    - Rouler à l’électrique, Loulle, c’est rouler au CHARBON en Allemagne et au NUCLÉAIRE en France, parce qu’il faut trouver une utilisation à l’électricité produite en continu par nos chères centrales nucléaires, à nos très chers EPR. Et n’oublions pas le coût écologique de la fabrication puis du recyclage des batteries.

    Enfin, un fait soigneusement caché par les thuriféraires de la bagnole électrique, c’est le danger d’explosion de la batterie et d’embrasement immédiat de la bagnole en cas d’accident.

    - Bon. Bè, je vais garder ma bonne vieille caisse diesel, Victor. Allez levons nos verres, même confinés et à distance !

    - À la nôtre ! Mastroquet confiné de mon cœur.

     

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  • « Après les hydrocarbures, l’exportation des imams a débuté ! »

    amine-zaoui.jpgAh qu'il est bon, qu'il est jouissif, qu'il est réconfortant en ces temps perturbés, de lire un texte comme celui-ci, publié par le journal francophone algérien « Liberté-Algérie », l'humour et le second degré étant si rares - et si dangereux pour ceux qui s'y hasardent - en terres d'islam.

    Merci, mille merci Ami Amin.

    « Nous sommes devenus, et louange à Dieu, un pays exportateur d’un produit rare et unique. Une marque inégalée dans le monde du commerce international. Nous exportons, et louange à Dieu, et pour la première fois dans l’histoire de l’Algérie indépendante une marchandise hors nos exportations en hydrocarbures, le gaz et le pétrole ! Et nous sommes fiers !
    Nous sommes, le premier pays au monde exportateur d’un produit appelé : les imams. Nous exportons cette production rare vers notre ancien colonisateur, la France. Un colonisé exporte vers un ancien colonisateur ! Un colonisateur importe d’un ancien colonisé !
    Mais qu’est-ce que signifie ce : produit imam ? Un produit emballé dans du carton, dans de la cellophane ou placé dans des barils ou dans des jerricans ? Un produit inflammable ou biologique ? Sucré ou salé ? Soluble ou liquéfié ?
    Une sorte de médicament pour l’estomac ? Un remède pour le cœur ? Une préparation pour le rhume ? Un antidote contre les douleurs de tête, une sorte d’aspirine ou d’Aspro ?
    Nous sommes devenus un pays exportateur, et louange à Dieu tout puissant et miséricordieux!!
    Nous exportons des imams vers la France afin qu’ils enseignent aux petits français, le vivre ensemble, le respect de la nature, l’égalité homme-femme, l’hygiène, la laïcité, le respect du travail et les horaires du travail !
    La France, notre colonisatrice d’hier, a besoin de notre marchandise imam! Sans notre produit magique la France ira tout droit dans le mur de l’Histoire !
    Parce que nous sommes une société où la philosophie du vivre ensemble est respectée, célébrée et défendues par nos imams d’abord, nous exportons cette crème intellectuelle !
    Cette soupe intellectuelle !
    Parce que nos imams n’insultent ni les juifs ni les chrétiens les vendredis, les samedis, les dimanches, les lundis, les mardis et les mercredis, cinq fois par jour, nous exportons ce produit imam pour enseigner comment lutter contre l’antisémitisme et contre le racisme !
    Parce que nos imams tolèrent et respectent ceux et celles qui optent pour un changement de religion, notre pays exporte ses imams pour dire aux Français chrétiens, ceux qui ont choisi la religion islamique, que chez nous : on respecte ceux qui partent de l’islam vers le christianisme ou vers le judaïsme !
    On exporte vers la France nos imams frappés par le seau de Tora Bora et du wahhabisme pour enseigner le vivre ensemble. Parce que chez nous, dans notre société clémente, on dit au premier juif rencontré au coin de la rue, s’il existe encore un : shalom ! Et au chrétien : bonjour ! Et aux minorités sociales : vous êtes chez vous, votre liberté individuelle est protégée. Et on dit aux femmes : Respect madame sans harcèlement aucun !
    Je me demande : Y-a-t-il un marché international pour les imams à l’image de celui consacré au pétrole, au gaz et à l’or ? Comment appelle-t-on cette bourse qui réglemente les cours des prix des imams ?
    Des spécialistes de la bourse internationale du marché des imams, affirment que dès que Daech avance le prix des imams augmente ! C’est bizarre !
    Quand Al Nosra frappe en Syrie ou en Égypte ou en France le prix des imams augmente aussi et automatiquement ! C’est magique !
    Quand les frères musulmans menacent la démocratie, les artistes et les femmes le prix du produit imam made in Algeria se multiplie par quatre ! Subhanallah !
    Et je me demande : Pourquoi est-ce que, ces jours-ci, le marché international des imams se trouve-t-il en mauvaise santé ? Tout simplement, parce que ces Russes, tête de boule de neige, perturbent les cours des prix de cette énergie céleste !
    Je suis fier de voir, en fin, notre pays se libérer de l’exportation des hydrocarbures. Il passe de l’exportation de l’énergie des hydrocarbures à l’énergie imam ! »