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séparatisme

  • Bon, et alors, cette loi contre le séparatisme islamiste ça vient ?

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    Séparatisme. Il a dit lutte contre le séparatisme not’bon président. Et certains lui ont mis sous le nez les velléités de séparatisme corse, voire catalan, basque ou breton. Mais en fait le séparatisme en question et qu’il faut évidemment combattre, c’est le séparatisme des tenants (et victimes) de cette idéologie qu’est l’islam, car les religions ne sont que des idéologies qui se camouflent derrière une pseudo-transcendance. Le problème n’est pas la place de l’islam dans la société française – il y existe depuis longtemps et il y a toute sa place lorsqu’il respecte la laïcité – mais bien de la place que ne doit surtout pas y prendre l’islam fondamentaliste, quelle que soit la bannière derrière laquelle il se groupe.

    Cette pieuvre de l’islam fondamentaliste glisse ses tentacules partout où il peut. Et particulièrement auprès de la jeunesse « issue de l’immigration » comme on dit. Le porte-voix du gouvernement, le ci-devant Attal a mis le doigt sur certaines associations soi-disant culturelles, altruistes, sociales qui ne sont en fait que des officines de lavage de cerveaux ayant une influence dévastatrice sur cette jeunesse. Il parle de certaines « associations loi 1901 qui accueillent des enfants pour des cours de langue ou de soutien scolaire ». « Aujourd’hui, l’État n’a aucune ou très peu de possibilités de contrôler ce qu’il s’y passe, ce qu’il s’y dit. Vous avez pourtant parfois du lavage de cerveau qui se fait sur des enfants ou des familles »,

    Mais il n’y a qu’à les interdire ces « associations » ! Ou tout au moins les contrôler. Mais ça se fait déjà. Ben ouais mais… « Aujourd’hui il faut prévenir un mois à l’avance de la date et de l’heure du contrôle. C’est sûr que quand vous arrivez dans les locaux de l’association, il ne se passe pas ce qu’il s’y passe habituellement puisque la date et l’heure ont été annoncées. Il faut que les contrôles soient plus efficaces », a-t-il insisté.

    Un sondage particulièrement inquiétant constate que les trois quarts des jeunes de 16 à 24 ans placent les exigences de leur religion au-dessus des lois de la république. Voilà l’œuvre de ces « associations ». Vous voyez d’ici la bombe à retardement que cela implique…

    Le chef de l’État a indiqué sa volonté de bâtir un plan contre le « séparatisme islamiste » comprenant la fin des imams étrangers détachés et un contrôle du financement des mosquées. Il serait temps !

    Not’bon président semble avoir enfin compris le danger de cet islam politique. Il nous exhorte à la « vigilance » contre la radicalisation mais il faudrait d’abord qu’il donne l’exemple. En coupant toutes relations politiques, commerciales, militaires avec ceux qui sont les instigateurs et les financiers, partout dans le monde, de cet islam politique conquérant, fanatique et dangereux : les monarchies pétrolières du golfe, et en premier lieu l’Arabie saoudite et le Qatar. Et commencer par confisquer tous les biens que ces ennemis ont acquis sur notre territoire et expulser tous les agitateurs qu’ils nous envoient sous couvert d' « ONG musulmanes », d’associations pseudo-culturelles mais en fait cultuelles et d’imams qui sont autant de propagandistes ennemis qui agissent de façon nuisible dans nos banlieues.

    L’islam politique comprend plusieurs chapelles – si l’on peut dire ! - englobant les frères musulmans, les salafistes, les djihadistes, les wahhabites, etc. Ils se concurrencent dans leur haine de tout ce qui n’est pas eux et avant tout de notre mode de vie occidental mais se retrouvent sur l’essentiel pour eux : leur fantasme de l’islamisation du monde, à commencer par l’Europe déjà fortement occupée et recevant un flot continu de « réfugiés » musulmans à travers des réseaux organisés bénéficiant de complaisances voire de complicités locales parmi les politiques, les « intellos », et toute la bobosphère islamogauchiste. On a vu récemment défiler tous ces collabos aux cris d'allaouakbar, bras dessus bras dessous avec les pires des islamistes… lien

    Les médias dominants ne cessent de faire passer les islamistes pour des opprimés. Les islamistes choisissent eux-mêmes de pratiquer leur religion d’une manière inédite en France, d’une manière qu’il faut cesser de qualifier d’orthodoxe, et qu’il faut appeler par son nom : radicale. Les musulmans ne sont pas stigmatisés. La pratique rigoriste et sectaire d’une minorité d’entre eux est pointée du doigt, et légitimement. On ne doit pas confondre un culte et sa dérive sectaire, pas plus qu’on ne peut confondre des pratiquants avec des militants politiques. Et jusqu’à présent, dans notre régime républicain stipendié comme liberticide, c’est l’islamisme qui a tué, écrasé, mitraillé et égorgé. Pas l’islamophobie.

    Enfin, n’oublions pas que les premières et les plus nombreuses victimes de cette idéologie nuisible prônée par les fondamentalistes islamiques sont les musulmans. Comment voulez-vous exercer votre libre arbitre, voire seulement réfléchir lorsque tous les actes de votre vie quotidienne sont conditionnés par des rituels imposés par l’idéologie : ce qu’on doit manger et ce qu’on ne peut pas, comment se fringuer, comment baiser, et même comment pisser et se torcher le cul ! Et en plus on leur impose cinq « prières » quotidiennes d’allégeance, de soumission totale à des préceptes datant de quatorze siècles ! Quant aux « écoles » coraniques, elles consistent à annoner par coeur des préceptes d'un autre âge. Qui peut résister à ce lavage de crâne ?

    Pour ces « séparatistes », la laïcité est un concept inacceptable pour un vrai musulman. Il n’y a donc pas de façon pour un bon musulman d’être un bon citoyen français. Il y a incompatibilité. Aussi longtemps qu’on ne tient pas compte de cette incompatibilité, on est dans l’incompréhension ou l’hypocrisie… L’islam et notre vision occidentale du monde sont incompatibles. Il n’y a rien à gagner à vouloir les faire cohabiter. Le communautarisme à l'anglo-saxonne en est le repoussoir.

    Tout « bon » musulman ne peut se soumettre de bonne foi aux lois d’un pays comme la France où ne s’applique pas la charia. Il ne peut viser qu’à renverser cette gouvernance. Est-ce le citoyen que l’on veut ? Comment une personne qui ne peut reconnaître la légitimité absolue de la loi française en France, aurait-il sa place en France ?

    On attend ta loi, ci-devant président...


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