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santé - Page 2

  • Au bistro de la toile : il n’y a pas que le foot !

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    - Oh putaing ! Victor. Il nous gonflent les aliboffis avec leur foot.

    - Il y a des choses plus réjouissantes que les exploits et les larmes de Mbappé dans le journal. Tè ! Je vous lis :

    « D’après une étude réalisée sur 200 femmes suivie pendant un an, suivant le même régime alimentaire et ayant un cadre de vie identique sous la direction du professeur Ingrid Fleischer de l’université de Hambourg en Allemagne « les femmes pratiquant la fellation et qui avalent le sperme de leurs compagnons réussissent à maigrir jusqu’à deux fois plus vite que les autres ». Ces vertus amincissantes du sperme sont dues à la présence d’une substance nommée alcaline qui ne fonctionne aussi efficacement comme agent anti-graisse qu’en présence des autres composantes du sperme masculin. 
    Mais ses vertus ne s’arrêtent pas là puisqu’il permettrait aussi l’équilibre des hormones féminines et protègerait, semble-t-il, efficacement des cancers de type hormonal. En effet, une étude a été réalisée en Californie du Sud sur
    15 000 femmes âgées de 25 à 45 ans dont 6 246 pratiquaient la fellation de manière régulière depuis 5 à 10 ans et 9 728 femmes qui ne pratiquaient la fellation que peu ou pas du tout. Dans le groupe qui pratiquait régulièrement la fellation seulement 1,9 % d’entre elles avaient été touchées par un cancer du sein contre 10,4% dans l’autre groupe. Cette étude démontre que la fellation réalisée 2 fois par semaine diminuerait le risque du cancer du sein de 40 %.  La source est Doctissimo. »

    - Fatche ! Donc Victor, on peut dire que nous sommes un peu docteur ! Chaque fois que Madame – ou quelque belle gourgandine ! - nous gratifie de quelques aller-retours sur la grande bleue et déguste notre bonheur sans retenue, nous la soignons !

    - Exactement Loulle! Faudrait peut-être se faire rembourser par la Sécu !

    - Je vois tout de même dans cette excellente nouvelle une grande injustice.

    - Ah ! Dis-moi…

    - Eh bien les femmes qui sont seules, qui n’ont pas sous la main – et sous la langue – un instrument dispensateur de bonheur et de santé, sont désavantagées…

    - C’est vrai ça Loulle. Faut faire quelques choses pour elles. S’il faut se dévouer, on le fera. C’est un peu comme le don du sang. Faut faire preuve de civisme autant que d’altruisme.

    - Voilà qui est bien dit Victor ! Et si on créait une ONG ! Par exemple « Les turlutes du cœur » ou « Foutre sans frontière » !

    - En voilà une idée qu’elle est bonne Loulle ! Les Turlutes du Cœur ! …taing ! Ça sonne bien ! Sans compter que c’est pas les donneurs qui manqueraient…

    - Justement. Il me vient une autre idée qui permettrait de boucher le fameux trou de la Sécu.

    - Oh ! Loulle, si tu trouves ça, à coup sût, t’es le prochain ministre de la santé . ! Et comment tu fais ?

    - Ben ! Tu prends quelques ronds aussi bien aux donneurs qu’aux bénéficiaires !

    - ???!!!???!!!

    - Écoutes Victor. Quand tu vas te faire souffler dans la canule par Mado-langue-de-velours, Natalia-bouche-d’or ou Nadia-carte-bleue, ça te coûte combien ?

    - Ben, moi je ne consomme que ponctuellement, mais ces dames, qui sont de bonnes clientes de ton rade, prennent entre 30 et 40 euros pour ce service.

    - Bon. Eh bien suppose que tu demandes à tes « donneurs » une participation, disons, de 15 euros, ou plutôt 20 pour ne pas casser le marché des pros. Participation payée à la Sécu et pas par la Sécu, ça fera vite du pognon ! Et suppose que tu demandes pareil à la bénéficiaire de ces soins, payée à la Sécu et pas par la Sécu, pris en charge éventuellement par les mutuelles. Si tu rajoutes les économies énormes réalisées par la même Sécu puisqu’il y aura beaucoup moins de malades à traiter, le trou de la Sécu serait vite comblé !

    - Génial Loulle! Génial. Mais il reste à résoudre le côté pratique. Comment faire puisque le traitement n’a de valeur que si le médicament est pris directement, à la source ? Et que donneurs comme receveurs doivent garder un strict anonymat ? Pas facile non ?

    - Pas impossible Victor. Pas impossible !

    - Ah ! Alors dis-nous !

    - On va y réfléchir. Il y assez d'énarques pour ça, non? En attendant, c’est ma tournée. Pour se rincer la bouche !

  • C'est la journée du sourire !

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    Ecoute ! Ecoute !

    C’est un mec qui a toutes les galères du monde : il vient de se faire lourder de sa boite, sa femme le trompe, son chien à la gale et son fils vient de prendre la carte des jeunes UMP. Il va dans la forêt avec une corde, la fixe à une branche et s’apprête à se la passer au cou.

    Arrive un prêtre qui s’interpose : « Allons mon fils. Ne faites pas ça ! Dieu prend soin de tous ses enfants. Tenez, prenez cette bible. Ouvrez-là à n’importe quelle page et vous trouverez toujours la réponse à vos problèmes. »

    Le curé, content d’avoir sauvé une vie et peut-être une âme, continue sa promenade en forêt.

    Le mec prend la bible, l’ouvre au hasard et lit : « Repends-toi ! »



    Ecoute ! Ecoute !

     

    Allez, un peu d’humour noir !

     Ils viennent d'embaucher un nouvel apprenti aux Pompes Funèbres.
    Celui-ci est en train de préparer un cadavre lorsqu'il appelle un employé plus ancien que lui dans le boulot:
    - Eh ! Regarde ma morte: elle a une crevette à la place du sexe !
    Le préparateur plus ancien dans le métier vient voir ce que veut lui montrer le jeunot et dit:
    - C'est pas une crevette, espèce de débile c'est son clitoris!

    Alors le plus jeune reprend :
    - Son clitoris? Vraiment? Pourtant je t'assure que ça a le goût de la crevette !



    Ecoute ! Ecoute !

     

     

    Un homme arrive chez Cartier, Place Vendôme à Paris, en compagnie d'une jeune femme splendide, et ensemble, ils choisissent un bijou de 50 000 euros pour elle. 
    Au moment de payer, l'homme sort son carnet de chèques et, sans sourciller, le rédige. 
    Le vendeur, lui, est un peu ennuyé car c'est la première fois qu'il voit ce couple à la bijouterie. 
    L'homme s'aperçoit du malaise du vendeur et, avec beaucoup d'aplomb, lui dit: 
    - J'ai le sentiment, très cher, que vous pensez que ce chèque est peut-être sans provision, n'est-ce pas ?... 
    - Heu... Et bien... 
    - Bien !voici ce que nous allons faire : vu qu'aujourd'hui c'est samedi et que ma banque est fermée, je vous propose que vous gardiez ce chèque ainsi que le bijou. Dès lundi, procédez à son encaissement et lorsque le paiement sera honoré, faites livrer le bijou chez Mademoiselle. D'accord ?... 
    Le vendeur, rassuré, donne son aval à cette solution sans l'ombre d'une hésitation, assurant même, que la bijouterie prendrait à sa charge la livraison du bijou et qu'il s'assurerait en personne du bon déroulement de l'opération. 
    Le lundi matin, à la présentation du chèque à la banque, celui-ci est bien évidemment en bois !!! 
    En colère, le vendeur appelle le client qui lui répond : 
    - Mais ce n'est pas grave ! Cela ne vous a rien coûté et moi j'ai baisé tout le week-end !!!... Merci beaucoup pour votre collaboration et sans rancune !

     



    Ecoute ! Ecoute !

     

    Un petit garçon de 6 ans dit à sa sœur de 10 ans : 
    - Tu sais comment on fait les enfants toi ? 
    - Bien sûr, c'est fastoche ! 
    - Alors vas-y, dis moi. 
    - Eh bien c'est simple, le papa il met la graine dans le ventre de la maman ... 
    - Et après ? 
    - Et après il la pousse bien au fond avec sa bite.

     

     

    Ecoute ! Ecoute !

     Quelle est la différence entre un train électrique et des seins ? 
    - Y'en a pas, ils sont tous les deux faits pour les enfants et c'est papa qui joue avec.



    Ecoute ! Écoute !

    Deux femmes discutent.

    - Alors, cette expédition en Afrique ? 

    - Il m'est arrivé un truc incroyable ! Un jour, il y a un gorille qui a surgi de la jungle et qui m'a emmenée avec lui. J'ai cru qu'il allait me dévorer toute crue, et je me suis évanouie. A mon réveil, il avait arraché mes vêtements. Il m'a alors fait l'amour 19 fois de suite, et ça pendant, snif, vingt jours, et puis mes amis m'ont retrouvé, snif...
    - Oui, mais ne pleure plus, c'est fini tout ça... 

    - Ben justement, c'est pour ça que je pleure...

     















     

     

  • « Emmerder les non vaccinés jusqu’au bout ! » Enfin une saine parole. BRAVO ci-devant Président !

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    « En démocratie, le pire ennemi, c’est le mensonge et la bêtise. Nous mettons une pression sur les non-vaccinés en limitant pour eux, autant que possible, l’accès aux activités de la vie sociale. D’ailleurs, la quasi-totalité des gens, plus de 90 %, y ont adhéré. C’est une toute petite minorité qui est réfractaire. Celle-là, comment on la réduit ? On la réduit, pardon de le dire, comme ça, en l’emmerdant encore davantage. Moi, je ne suis pas pour emmerder les Français. Je peste toute la journée contre l’administration quand elle les bloque. Eh bien, là, les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Et donc, on va continuer de le faire, jusqu’au bout. C’est ça, la stratégie. Je ne vais pas les mettre en prison, je ne vais pas les vacciner de force. Et donc, il faut leur dire : à partir du 15 janvier, vous ne pourrez plus aller au restau, vous ne pourrez plus prendre un canon, vous ne pourrez plus aller boire un café, vous ne pourrez plus aller au théâtre, vous ne pourrez plus aller au ciné… »

    Ces « irréductibles » qui prennent leur crétinisme pour de la résistance occupent à 85 % les lits de réanimation dans les hôpitaux. À cause d’eux Tristan, 21 ans souffre depuis 10 ans, d’un méningiome, c’est-à-dire d’une tumeur au cerveau. Le 14 décembre 2021, Tristan devait être opéré aux Hospices civils de Lyon. Oui mais voilà : à cause de l’épidémie de Covid-19, son intervention a été déprogrammée… pour la troisième fois. Et il n’est pas le seul. Combien d’opérations vitales de malades - vaccinés, eux – sont déprogrammées. Pire, combien de malades âgés, considérés comme « obsolètes » laisse-t-on crever – discrètement et en pleine hypocrisie bien sûr - en les bourrant de morphine pour qu’une mort fine libère des places pour ces encovidés de frais réfractaires aux vaccins ! Parce que les lits sont occupés par les « résistants » à la vaccination. Parce que le personnel hospitalier est débordé, harassé à cause des mêmes « défenseurs des libertés ».

    Les antipass vaccinal, criminels en toute innocence et totale mauvaise foi et leurs complices braillards à l’Assemblée qui déconsidèrent la démocratie, ont-ils conscience de cet état de fait ? Ils s’en foutent car ce qu’ils appellent « leur liberté » - celle du chacal dans le poulailler – n’est que la manifestation d’un égoïsme étroit, petit et mesquin.

    Faut-il dès lors rendre la vaccination obligatoire ? Macron répond : « Si demain je dis : « pour tous les adultes, il faut être vacciné ». Comment on le contrôle et quelle est la sanction ? C’est ça, le vrai sujet. Je vais forcer des gens à aller se faire vacciner ? Les emprisonner et puis les vacciner ? Vous allez me dire : « vous êtes quelqu’un de bizarre vous… » On ne fera pas ça. Leur mettre des amendes ? Si j’ai des gens très modestes qui ne sont pas vaccinés, je vais leur mettre 1 000 euros, 2 000 euros, d’amende ? »

    Macrounet n’a jamais été ma tasse de thé vert ni mon ballon de rouge mais là il parle vrai, clairement et sans langue de bois. C’est tellement rare dans ces sphères politiciennes que c’est à souligner, en bien.

    Ces « résistants » que Macron veut emmerder jusqu’au bout crient à la discrimination, à la stigmatisation – c’est la mode, c’est courant cette victimisation de la part de tous les complotistes et autres ennemis de la république – mais alors, ils devraient faire connaître leurs convictions, par exemple en portant gaillardement un badge signalant qu’ils ne veulent surtout pas être soignés en cas de Covid. On les soignera tout de même. Mais il serait juste que le prix très élevé des soins pour les sauver malgré eux de leur konnerie soit à leur charge et pas à celui de la Sécu, donc de la collectivité qui, à 90 %, accepte avec soulagement le vaccin.

    Et puis, allons plus loin : si ces « gens-là » contaminent les autres à cause de leur refus du vaccin, il serait logique et juste qu’ils soient poursuivis en justice pour mise en danger volontaire, réfléchie et assumée de la vie d’autrui.

     

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