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LANTIFADAS - Page 13

  • C'est la journée du sourire !

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    Ecoute ! Ecoute !

    C’est un mec qui a toutes les galères du monde : il vient de se faire lourder de sa boite, sa femme le trompe, son chien à la gale et son fils vient de prendre la carte des jeunes UMP. Il va dans la forêt avec une corde, la fixe à une branche et s’apprête à se la passer au cou.

    Arrive un prêtre qui s’interpose : « Allons mon fils. Ne faites pas ça ! Dieu prend soin de tous ses enfants. Tenez, prenez cette bible. Ouvrez-là à n’importe quelle page et vous trouverez toujours la réponse à vos problèmes. »

    Le curé, content d’avoir sauvé une vie et peut-être une âme, continue sa promenade en forêt.

    Le mec prend la bible, l’ouvre au hasard et lit : « Repends-toi ! »



    Ecoute ! Ecoute !

     

    Allez, un peu d’humour noir !

     Ils viennent d'embaucher un nouvel apprenti aux Pompes Funèbres.
    Celui-ci est en train de préparer un cadavre lorsqu'il appelle un employé plus ancien que lui dans le boulot:
    - Eh ! Regarde ma morte: elle a une crevette à la place du sexe !
    Le préparateur plus ancien dans le métier vient voir ce que veut lui montrer le jeunot et dit:
    - C'est pas une crevette, espèce de débile c'est son clitoris!

    Alors le plus jeune reprend :
    - Son clitoris? Vraiment? Pourtant je t'assure que ça a le goût de la crevette !



    Ecoute ! Ecoute !

     

     

    Un homme arrive chez Cartier, Place Vendôme à Paris, en compagnie d'une jeune femme splendide, et ensemble, ils choisissent un bijou de 50 000 euros pour elle. 
    Au moment de payer, l'homme sort son carnet de chèques et, sans sourciller, le rédige. 
    Le vendeur, lui, est un peu ennuyé car c'est la première fois qu'il voit ce couple à la bijouterie. 
    L'homme s'aperçoit du malaise du vendeur et, avec beaucoup d'aplomb, lui dit: 
    - J'ai le sentiment, très cher, que vous pensez que ce chèque est peut-être sans provision, n'est-ce pas ?... 
    - Heu... Et bien... 
    - Bien !voici ce que nous allons faire : vu qu'aujourd'hui c'est samedi et que ma banque est fermée, je vous propose que vous gardiez ce chèque ainsi que le bijou. Dès lundi, procédez à son encaissement et lorsque le paiement sera honoré, faites livrer le bijou chez Mademoiselle. D'accord ?... 
    Le vendeur, rassuré, donne son aval à cette solution sans l'ombre d'une hésitation, assurant même, que la bijouterie prendrait à sa charge la livraison du bijou et qu'il s'assurerait en personne du bon déroulement de l'opération. 
    Le lundi matin, à la présentation du chèque à la banque, celui-ci est bien évidemment en bois !!! 
    En colère, le vendeur appelle le client qui lui répond : 
    - Mais ce n'est pas grave ! Cela ne vous a rien coûté et moi j'ai baisé tout le week-end !!!... Merci beaucoup pour votre collaboration et sans rancune !

     



    Ecoute ! Ecoute !

     

    Un petit garçon de 6 ans dit à sa sœur de 10 ans : 
    - Tu sais comment on fait les enfants toi ? 
    - Bien sûr, c'est fastoche ! 
    - Alors vas-y, dis moi. 
    - Eh bien c'est simple, le papa il met la graine dans le ventre de la maman ... 
    - Et après ? 
    - Et après il la pousse bien au fond avec sa bite.

     

     

    Ecoute ! Ecoute !

     Quelle est la différence entre un train électrique et des seins ? 
    - Y'en a pas, ils sont tous les deux faits pour les enfants et c'est papa qui joue avec.



    Ecoute ! Écoute !

    Deux femmes discutent.

    - Alors, cette expédition en Afrique ? 

    - Il m'est arrivé un truc incroyable ! Un jour, il y a un gorille qui a surgi de la jungle et qui m'a emmenée avec lui. J'ai cru qu'il allait me dévorer toute crue, et je me suis évanouie. A mon réveil, il avait arraché mes vêtements. Il m'a alors fait l'amour 19 fois de suite, et ça pendant, snif, vingt jours, et puis mes amis m'ont retrouvé, snif...
    - Oui, mais ne pleure plus, c'est fini tout ça... 

    - Ben justement, c'est pour ça que je pleure...

     















     

     

  • Au bistro de la Toile : « Mangez vos morts ! » Faut-il en faire tout un plat…

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    - Oh ! Loule, ça sent bon. Qu'est-ce qu tu nous prépares pour ce midi ?

    - La blanquette Victor. La blanquette de veau. Un des plats les plus emblématiques de la cuisine française.

    - Tu devrais en envoyer une portion à l’Assemblée nationale, à la députée mélenchonienne Danielle Obono qui a conseillé aux femmes qui manifestaient pour soutenir les Iraniennes luttant au péril de leur vie contre le voile islamiste, « mangez vos morts ! »

    - C’est vrai qu’à l’Assemblée nationale, ils ont l’habitude de se manger le foie. Et puis, mangez les vivants, ils courent trop vite! Mais qu'est-ce que les propos de cette ravagée du bulbe ont à voir avec ma blanquette ?

    - J’ai un peu creusé la question et je vous rapporte ce qu’en dit William Buehler Seabrook. Journaliste au New York Times après la Première Guerre mondiale, il voyagea de par le monde, et notamment en Afrique, où il s’interrogea sur le cannibalisme au point de vouloir tenter lui-même l’expérience.

    - Ça c’est de la conscience professionnelle.

    - Il finit par rencontrer une tribu d’anthropophages qui mangeaient leurs ennemis tués au combat. Un des guerriers lui expliqua quelles parties étaient le plus appréciées : pour la viande, tout le dos (ce qui correspond, chez le bœuf, à l’entrecôte, au filet et au rumsteak), pour les abats, le foie, le cœur et le cerveau étaient considérés comme les morceaux de choix. Un guerrier lui avoua que, pour lui, “la paume des mains était le plus tendre et délicieux morceau de tous”. Néanmoins, Seabrook ne put satisfaire son envie : on lui servit du singe.

    Mais l’homme était têtu. Revenu en France, il réussit à se procurer un morceau de chair auprès d’un interne de la Sorbonne et, dans la villa du baron Gabriel des Hons, à Neuilly, se livra enfin à son expérience, devant témoins. Seabrook cuisina la viande comme il l’aurait fait pour du bœuf, s’attabla avec un verre de vin et une assiette de riz, et goûta : “Cela ressemblait à de la bonne viande de veau bien développé, pas trop jeune mais pas encore un bœuf. C’était indubitablement comme cela, et cela ne ressemblait à aucune autre viande que j’aie déjà goûtée. C’était si proche d’une bonne viande de veau bien développé que je pense que personne qui soit doté d’un palais ordinaire et d’une sensibilité normale n’aurait pu le distinguer du veau. C’était une viande bonne et douce, sans le goût marqué ou fort que peuvent avoir, par exemple, la chèvre, le gibier ou le porc. (…)  Et pour ce qui est de la légende du goût de porc, répétée dans un millier d’histoires et recopiée dans une centaine de livres, elle était totalement, complètement fausse.”

    - ...taing, Victor, heureusement que je connais bien mon boucher, sinon je me poserais des questions.

    - Bon, Loulle, moi ce que je t’en dis… Je n’en ai pas l’expérience. Mais d'autres l'on: Armin Meiwes, un informaticien allemand condamné à la prison à vie pour avoir tué en 2001 puis mangé une victime consentante (oui oui, consentante), avait tenté de décrire son repas de l'époque. Un repas fait de viande un peu dure avec un goût de porc, en un peu plus amer, plus fort.

    Tous les connaisseurs ne sont pas d’accord. Ainsi M. Nicolas Cocaign, surnommé «le cannibale de Rouen, reconnu coupable d'avoir tué en 2007 son codétenu et de lui avoir mangé une partie de poumon (qu'il a fait cuire), n'est en effet pas tout à fait du même avis. Face à un psychologue, celui qui purge actuellement une peine de 30 ans de réclusion criminelle avait alors trouvé que son bout de barbaque avait un goût de cerf et qu'il était particulièrement bon !

    - Ça ouvre des perspectives...

    - Ouais mais paraît que c’est pas très nourrissant. James Cole, archéologue à l'université de Brighton, chez les rosbifs !, s'est prêté au drôle de jeu d'évaluer l'apport calorique que pourrait avoir l'un ou l'une d'entre nous, découpé en petites rondelles, dans l'assiette. Résultat, notre viande ne représente que 1300 kilocalories par kilo.. Une broutille, par comparaison avec un sanglier (4 000 kcal par kg) ou même un oiseau (2 500 kcal par kg).

    - Si un jour on en trouve sur les marchés, faudrait tout de même pas rendre les clients malades.

    - C’est une vraie question Loulle. Une tribu aborigène anthropophage de Papouasie-Nouvelle-Guinée en a fait les frais au milieu du 20e siècle. Les femmes et enfants de la tribu avaient pour habitude de manger le cerveau et le système nerveux central des défunts, répandant ainsi le kuru dans cette tranche de la population. En l'espace de quinze ans, ce rite anthropophagique mortuaire entraînera la mort de 2500 d'entre eux.

    - Fatche. Et nous qu’on se plaint quand on nous fait bouffer des lasagnes à la viande de canasson…

    - Allez, à la nôtre. Et levons nos verres à la santé de Danielle Obonneau.

    - Je préfère tout de même Au bon vin !

     

    Illustration: merci au toujours regretté Chimulus

  • Au bistro de la Toile : « Mais enfin, qu’est-ce qu’ils ont, ces populos d’Europe, a voter facho ? »

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    - Eh ! Victor, le matin brun nous guette. Après la Suède, pays de la social-démocratie, pays progressiste s’il en est, voilà l’Italie qui tombe à l’extrême droite, rejoignant la Pologne, la Hongrie, où ces partis sont au pouvoir, mais encore la Lettonie et la Slovaquie où ils participent aux gouvernements. C’est grave docteur ?

    - Ça pourrait l’être Loulle. D’autant plus que cette contagion a failli gagner la France et pourrait l’emporter la prochaine fois. Mais il faudrait peut-être se demander pourquoi les électeurs de ces pays cabussent vers ces droites extrêmes d’où sont sorties, au siècle dernier, Hitler et Mussolini.

    - On n’en est pas encore là, Victor.

    - Bien sûr. Les votes à l’extrême droite ne sont pas le signal d’un basculement des peuples vers le fascisme, comme nous en bassinent nos « zélites » de droite comme de « gôche » mais un coup de sang, un coup de semonce envers ces fameuses zélites bidon qui depuis des décennies veulent nous faire avaler que l’immigration sans frein, l’open-bar pour tous est une chance pour la France et donc pour l’Europe », que la libéralisation totale de l’économie, la concurrence « libre et non faussée » est LA solution alors que cette politique ne sert qu’à enrichir les multinationales et à raser de la carte les classes moyennes, à paupériser encore plus les classes populaires, voire mème à mettre sur la paille des États désormais incapables d’accomplir la première de leurs taches régaliennes : protéger les populations

    - Allons, allons Victor. N’oublie tout de même pas que les « valeurs de l’Union » c’est avant tout le dogme de la libre circulation des hommes, des marchandises et des capitaux.

    - Tu manies le second degré avec maestria Loulle. N’oublie pas non plus, le travail en loucedé pour élargir encore plus l’Europe à de nombreux autres pays, ce qui fera autant de nouveaux marchés pour les multinationales, et encore moins de protections sociales. L’Europe est devenue une grosse larve bouffie et – grave, très grave - incapable de se défendre.

    Les Suédois, dans un grand élan de générosité – où de naïveté tangentant la konnerie - , ont accueilli plus d’un million de migrants surtout économiques venant d’Afrique et du Moyen-Orient, principalement des hommes et musulmans, apportant avec eux des manières de vivre aux antipodes de celles de la Suède. Avec pour résultat une insécurité devenus insupportable aux descendants des rugueux Viking qui commencent à prendre les patins, mais pas à glace !

    Quand à nos frères italiens, la dérégulation a eu raison de leur riche tissus industriel, si bien que leur PIB par habitant à baissé ! Beau résultat. Et puis ce sont eux qui se farcissent les arrivées de vagues de migrants avec la duplicité caritative d’ONG complices des passeurs trafiquants de viande humaine sur pied.

    - Et la gôche là-dedans Victor, qu’est-ce qu’elle dit ?

    - Elle est inaudible. Elle a oublié sa véritable raison d’être : la lutte sociale pour les classes populaires, la lutte pour les salaires, les conditions de travail, la paroles des travailleurs dans la direction des entreprises, le maintien de ces salaires différés que sont les retraites, etc. Au lieu de ça elle se vautre dans des bisbilles sociétales dans la roue de quelques intellos bobos parigos bidon…

    Et il y a pire, elle est devenue la complice pour ne pas dire la putain de l’islamisme. Qui a vu Mélenchon défilant, en 2019, sous le prétexte d’une lutte contre une islamophobie fantasmée, au cri d’ « Allah o akbar » ne peut oublier cette forfaiture.

    - Ben dis donc. Tout ça en plus de la guerre en Ukraine… Heureusement qu’on nous annonce une belle et bonne récolte pour le Côtes-du-Rhône primeur et le Beaujolais nouveau.

    - Allez, à la nôtre !

     

    Illustration: merci au regretté Chimulus